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Nous sommes le samedi 8 novembre 1969 et la télévision française diffuse un reportage très court de 28 secondes sur l'élection de la Reine de Graulhet dans le cadre de la Douzaine commerciale qui s'est déroulée le 7 novembre à l'Odéon !
Je vous laisse découvrir avec ces captures d'écran inédites. Si vous découvrez des noms faites le moi savoir !Petit rappel
En 1969 sous la houlette de son nouveau président Raymond ICART, la quinzaine rebaptisée juste pour cette année là : la Douzaine Commerciale en référence à l'industrie du cuir qui repartait de plus belle !
la Reine du Commerce cette année là fut MARYSE GALONNIER
Retrouvez l'histoire des Quinzaines commerciales ici
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Le mercredi 7 janvier 1970 a été diffusé à la télévision française un reportage de 6 minutes 50 secondes sur l’École de musique et la Fanfare de Graulhet.
Ces images tournées pour certaines en 1968 ou 1969 et que je vous laisse découvrir avec ces captures d'écran inédites. Avec l'aide de Michel Vaissière qui figure sur ces photos nous avons essayé de mettre des noms sur ces visages - A votre tour si vous découvrez des noms , faites le moi savoir !Le reportage commence par des éléves qui se retrouvent et qui avant d'arriver au cours se promènent dans Graulhet...On découvre le Pont Vieux, le square des Bains Douches et le Quartier médiéval de Panessac
PHOTO 2 : A droite sur la photo : Alain DUPEYRON
A gauche de face : Jean-Luc TROUCHEPHOTO 3 :
Le professeur attend les élèves sur le pas de la porte, Salle Gabriel Satgé à l'immeuble LE TERMINUS (aujourd'hui disparu)
PHOTO 4 : Salle Gabriel SATGE - École GAULENE
PHOTO 5 : Professeur de musique : Bernard ALQUIER
De nombreux graulhétois se reconnaîtront ! Aidez nous !
PHOTO 6
On bat la mesure
Devant les portraits des présidents un groupe de 5 trompettistes
PHOTO 7 : De droite à gauche
Didier DUROC - DELCROIX - Alain DUPEYRON - Christian CAMALET - X (Eric DUROC ? )Le professeur Bernard ALQUIER arrive...
Solo de Didier DUROC
PHOTO 8 : Viviane ESTEBAN
PHOTO 9 : Viviane ESTEBAN - Monsieur DONDEYNE
PHOTO 10 : De droite à gauche : Elisabeth MUNOZ - BONNET - Monsieur Dondeyne - Viviane ESTEBAN - VERDIER
PHOTO 11 : Jacqui HERAL (cravate rayée - face) - GONZALEZ (frères)
- Fille XDe droite à gauche : JEAN-LOUIS FABRE - JACQUI HERAL - GONZALEZ - JEAN-LUC TROUCHE - CHRISTIAN GIBERT - GONZALEZ (lunettes) - Fille inconnue
PHOTO 12 : De droite à gauche : X - Christian TEULET - X (pull blanc) - Richard HILAIRE - Devant : Antoine RODRIGUEZ - Bernard LARRUE
PHOTO 13 : De gauche à droite : Michel VIALE - VERDIER - X -
Michel ASPE- Richard HILAIRE - XPHOTO 14 : Bernard LARRUE (au premier plan)
PHOTO 15
PHOTO 16 : De gauche à droite : Jean-LUC TROUCHE - X
Christian GIBERT - Bernard LARRUE - Michel VAISSIEREPHOTO 17
PHOTO 18 : Bernard LARRUE
PHOTO 19 : De droite à gauche 1er rang : Bernard LARRUE - Michel VAISSIERE
Derrière : Michel VIALE - VERDIERPHOTO 20 : Premier plan : Michel VAISSIERE
PHOTO 21 : De gauche à droite / Devant : Michel VAISSIERE - Antoine RODRIGUEZ
Derrière : VERDIER - X - Michel ASPE - Richard HILAIREPHOTO 22
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PHOTO 26 : Raoul CATHALO
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PHOTO 29
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PHOTO 31
PHOTO 32PHOTO 33
PHOTO 34
PHOTO 35: 1er rang gauche : GAUBERT - HENRI GIBERT
- MARC HERAL - 2 rang gauche : MUNOZ - Antoine RODRIGUEZ - XPHOTO 36 : De gauche à droite : HENRI GIBERT - HENRI GIBERT
MARC HERALPHOTO 37 : HENRI GIBERT - MARC HERAL
PHOTO 38
PHOTO 39 : 1er rang : Marc HERAL et Henri GIBERT
2 rang : Marcel PARAYRE - Edmond DUPEYRON - Raoul CATHALO - X - Antoine RODRIGUEZ3 rang : André JAMMES - X- X - Christian TEULET
PHOTO 40
PHOTO 41 : Charles CATHALA
Un grand merci à Michel VAISSIERE pour avoir visionné ces photos et essayé de mettre un nom sur ces visages plus de 50 ans après
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Roger DURAND est un illustre graulhétois peu connu, aucune rue ou place porte son nom et pourtant sa vie est riche : titulaires de nombreux diplômes, professeur, carrière militaire, nombreuses citations et médailles, écrivain sous le nom de Roger CARLAC, publication de livres éducatifs et de dictionnaires, producteur de disques, journaliste pour des revues prestigieuses (Marianne, NEF, Arts et Décorations...)....Découvrons sa vie
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Comme l'indique son acte de naissance Roger DURAND est né au Moulin de la Bressolle le 27 décembre 1914, fils de Daniel DURAND (La famille DURAND faisait partie des jardiniers du Moulin) , cavalier de manège et de Lucienne RIVAYRAND (la famille Rivayrand avait une graineterie Place Neuve (Bosquet) sans profession.
Le Moulin de la Bressolle aujourd'hui
Roger DURAND et son père Daniel DURAND
Roger est élève à l'école Victor-Hugo avant de poursuivre ses études à Saint-Sulpice et à Montauban. Bachelier en philosophie en 1932 puis licencié ès lettres classiques supérieures à Toulouse et diplômé d'études supérieures en 1936 avec une thèse sur les Goncourt. Élève officier de réserve à Saumur de 1937 à 1938, il accomplit une partie de sa carrière militaire au Maroc.
De 1940 à 1942 il exerce en qualité de professeur au Lycée de Marrakech, rappelé sous les drapeaux il participe à l'organisation des Compagnies Muletières à Fez et prend part à la Campagne d'Italie...A partir de 1945 il reprend sa vie de professeur à Libourne avant de retourner au Maroc au Lycée Lyautey à Casablanca de 1949 à 1956.
Marié le 6 avril 1938 à Vitry-sur-Seine avec Paulette POURSAIN, le mariage sera dissous le 13 décembre 1945 par le Tribunal de Marrakech. Trois enfants naitront de sa seconde union avec Yvonne BODO le 10 janvier 1947 à Saint-Sulpice-de-Faleyrens (GIRONDE).
Titulaire d'une licence et d'un diplôme d'italien , Roger Durand est nommé professeur au Lycée Carnot à Paris de 1956 à 1957 et achève sa carrière au Lycée Van Gogh à Ermont. Il obtient également un diplôme d'études supérieures d'italien ainsi qu'un diplôme élémentaire d'arabe. De tels bagages et dispositions permettent à Roger DURAND de signer de nombreux ouvrages sous le nom de ROGER CARLAC, par fidélité à son quartier graulhétois où il vécut rue Dauraste : " Il y a des cailloux sur toutes les routes " recueil de nouvelles paru en 1935 à Casablanca - En 1960 paraît "Étrange chose d'aimer" roman publié aux Éditions du Scorpion.
Très ami avec Pierre BORDAS (Pierre Bordas est un éditeur français, né à Carcassonne le 5 juillet 1913, et mort à Barbizon le 5 octobre 2000. Il est le fondateur des Éditions Bordas.), Roger DURAND fera paraître sous son nom (en rajoutant un H après son prénom pour Hermant qui est son second prénom) à la fin des années 60, deux ouvrages aux éditions du même nom sur l'histoire de la civilisation et de la littérature italienne en collaboration avec Madame J. BLONCOURT ainsi qu'un Vocabulaire italien par l'image.
En 1967 aux Éditions BORDAS Sélections Sonores dans la collection Mythes et Légendes un disque 33 tours : L'Iliade et l'Odyssée jouée par François PERIER , Jean TOPART paraît sous la direction entre autres de Roger DURAND.
On peut retrouver la signature de Roger DURAND dans divers hebdomadaires et revues tels que " Marianne "(celui d'avant-guerre : Marianne journal politique et littéraire orienté à gauche qui fut publié à Paris dans les années 1930. Pacifiste, il se présente comme « l'hebdomadaire de l'élite intellectuelle française et étrangère ») dans la NEF et autres publications sous divers articles : tel que cet inédit texte retrouvé par le blog MÉMOIRES DE GRAULHET et paru dans MARIANNE le 7 septembre 1938 " L'âme du bled marocain" . Mais également dans la revue Arts et Décoration où sa maison sera photographiée et revue à laquelle Roger DURAND participe. On pourra l'apercevoir également dans une émission de Danièle Gilbert.
Roger DURAND recevra de nombreuses citations et médailles toute au long de sa carrière : Chevalier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre avec trois citations, Croix de Combattant, Officier des Palmes Académiques.
Dans les dernières années de sa vie active Roger DURAND ouvre une agence immobilière à Sarzeau et passe ensuite une paisible retraite en Bretagne. Il décède à Sarzeau dans le Morbihan le 19 septembre 2007 où il est enterré.-------------------------------------------------------------------------------------------
Un grand merci à Madame Dany BAZIN - Henry Manavit (+) - Archives Départementales du Tarn
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mardi 2 février ...7 h du matin...ça monte encore !
Photos du photographe masqué Jardin de la rivière - Passerelle St Jean
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GRAULHET SGC
LA FÊTE DE L’AMITIÉ
pour la deuxième fois, le SPORTING a reçu
le mardi 17 mai 1966, l'Ovale CINZANORouge et noir les joueurs du Sporting illuminent la vaste et coquette Salle du Foyer Léo-Lagrange de Graulhet qui accueille les amis du club tarnais et les invités de la CDC à l'occasion de la remise de l'Ovale Cinzano aux demi-finalistes du championnat et vainqueurs du challenge de l’Espérance.
Aux côtés de MM.Marcel Batigne président du SCG et M.François Chantôme directeur du service propagande CDC, MM.Dumontier maire de Graulhet ; Vieu président de la Chambre de commerce de Castres ; Albert, président du Conseil Général du Tarn ; Spénale, député du Tarn; Cayron, secrétaire général de la préfecture du Tarn; Delpech, adjoint au maire de Toulouse; Aybram, représentant la F.F.R ont pris place sur l'estrade devant les trophées remportés par les rugbymen graulhétois.
Au premier rang d'une assistance considérable, MM Raymond Sautet, secrétaire général du jury des journalistes; Grimal, inspecteur départemental à la jeunesse et aux sports ; Pontier, conseiller général ; Vaissière, président de la Chambre syndicale des patrons mégissiers; le capitaine Araud, responsable des sports au 5e train de Toulouse, champion de France militaire; Francis Rouzières et Jean Satgé, entraîneurs du Sporting, sont entourés de tous les joueurs graulhétois, des " anciens" E.Saint-Ignian, L.Bourdariés, G.satgé, A.Pauthe, Oriols, Zarazola entre nombreux autres; des " amis" du club, parmi lesquels nous avons remarqué MM.Gabarrou et Garrigues, présidents du Castres-Olympique et de l'U 3Montauban ; Fourcade du FC Lourdes.
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Adieu à " BLANCHETTE "
un graulhétois à New-York
Fernand PAGES graulhétois, grand chef saucier au restaurant La Grenouille à New-York vient de nous quitter, MEMOIRES DE GRAULHET lui rend hommage à travers cet article publié il y a quelques années
dans la Dépêche. Je me souviens d'une conversation téléphonique au début de la création de mon blog où il avait évoqué pour moi sa carrière à New-York.-----------
Fernand et son épouse
Retraité à Philadelphie, Fernand Pages a longtemps été chef saucier à « La Grenouille » le restaurant français le plus côté de New-York. Il a régalé les grands de ce monde.
L'équipe du restaurant LA GRENOUILLE
Je suis né en 1929, dans la commune libre de St Jean ! ». Fernand Pages, comme chaque année passe le mois d'août en France, partagé entre Graulhet et l'Alsace pays d'origine de Jacqueline son épouse. « C'est l'occasion de se ressourcer, de voir les amis, de retrouver cette ville que j'ai quittée alors qu'elle rayonnait, de parler le patois et de me régaler de cette cuisine d'ici. » Le mot est lancé. Le regard malicieux s'allume. « Je m'enflamme pour un cassoulet, facilement ! »
Du poisson pour Nixon
Pourtant rien ne prédestinait l'ouvrier mégissier aux fourneaux. En 1962, ses activités de syndicaliste l'embarquent pour New-York et il étudie pendant neuf mois l'économie américaine.
Il en revient bouleversé. Il se marie et repart deux ans plus tard, en quête d'un travail. Jacqueline entre aux bureaux de la SNCF, mais lui cherche, échoue dans la filière cuir... Jusqu'au jour ou il se présente devant un restaurant français qui vient d'ouvrir, « La Grenouille ».
Il se convertit à la cuisine en même temps que l'enseigne devient l'une des plus célèbres d'outre Atlantique. Le tout New-York défile.
Salvador Dali déjeune toute les semaines d'une quenelle de brochet au Porto, Gala préférant le pamplemousse grillé au miel. Joséphine Baker gratifie le Graulhétois d'un « Qu'il est mignon ce petit !» En se délectant de son « nègre en chemise ». John Wayne, à deux tables de Grégory Peck, déguste invariablement son foie de veau aux oignons.Richard Nixon alors président des Etats-Unis se régale d'un poisson poché au beurre blanc.
Fier de ses racines
Fort de sa réputation, « Blanchette » finira sa carrière dans deux grandes maisons. Au « Water-Club » rendez-vous des grands de ce monde, à deux pas du siège des Nations Unies, puis au « Georges Washington Manor » qui sert parfois jusqu'à 2 000 couverts pour les repas de fête de personnalités.
Aujourd'hui à la retraite, le couple s'est retiré non-loin de Philadelphie, tout près de leur fille et de leurs deux petits enfants. « Et nous insistons pour qu'ils apprennent le français. » Fernand tient à garder ses racines autant que son accent du Sud-Ouest. « L'Amérique m'a donné beaucoup d'opportunités. La France et le Français y ont toujours autant la cote. »
Un pays, au même nom que le paquebot qui l'a, un jour de 1965, emporté vers un exceptionnel destin et qu'il porte toujours aussi fort dans son coeur.
© LA DEPECHE / GERARD DURAND
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Tous les ans, à la fin des années 40 et dans les années 50, se déroulait à Graulhet un meeting aérien très réputé. Sur cette vidéo on peut voir de nombreux avions et un public enthousiaste. La majorité des gens "montait à l'aviation" pour assister à ce spectacle. On découvre en fin de film, un personnage en tenue d'aviateur. Il s'agit d'un cascadeur. Il montait dans les airs assis sur l'aile de l'avion et sautait en chute libre avant d'ouvrir son parachute sous les yeux ébahis des spectateurs. Merci au Docteur Jean ROUZET qui vient de nous quitter, d'avoir filmé, entre autres, ce meeting aérien, film d'ailleurs d'excellente qualité pour l'époque. C'est grâce à des personnes comme lui que l'on peut connaitre notre Graulhet d'antan.
Texte et vidéo : Merci à Robert PY
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Merci à la Dépêche qui me consacre à sa demande un article le lundi 4 janvier 2021...pour débuter l'année des 10 ans de ce blog. Merci aux nombreux visiteurs-lecteurs et à tous ceux qui depuis 10 ans suivent ce blog et me permettent de l'enrichir. Bonne année !
Mes collections que je suis heureux de partager avec vous à travers les articles, les enquêtes de ce blog mais aussi avec d'autres documents : photos, programmes, des séries inédites : Graulhétois(e)s illustres , résultats inédits d'élections graulhétoises et aussi une Une qui se modifie en fonction des publications...un vrai blog journal ! Des questions, des cartes à partager, à échanger ou des documents à me prêter...n'hésitez pas ! Vous pouvez me laisser un message ici - Consultez les différentes rubriques proposées à droite.
177 000 visiteurs en 10 ans sur le blog
« Mémoires de Graulhet »Parisien 90 % de l’année, pourquoi avoir créé ce blog ?
« Je ne me suis jamais coupé de mes racines graulhétoises. Comme collectionneur de cartes postales, j’avais, en 2011, la possibilité d’éditer un ouvrage avec mes cartes postales. J’ai trouvé que partager mes collections à travers un blog était le meilleur moyen ».
Pensiez-vous au départ qu’il aurait autant de succès ?
« On n’imagine jamais le succès on l’espère c’est tout ».
Comment établissez-vous vos choix de sujets ?
« Je traite rarement de l’actualité mais j’utilise l’actualité pour parler du passé. J’ai une liste de sujets dont je veux parler et j’ai toujours quelques articles en réserve. Beaucoup de rencontres que je provoque. J’apprécie les participations de certains comme Pierre Austruy ou dernièrement Michel Viale, mais aussi des gens qui viennent vers moi pour me proposer des photos et des idées »
Les sujets dont vous êtes le plus satisfait ?
« Les « études » sur les résultats des élections municipales depuis 1945, avec l’interview des trois anciens maires élus qui restent et que je remercie à nouveau ici : Messieurs Picarel, Bousquet et Fita. L’article sur Mademba Sy ou j’ai eu le plaisir de rencontrer son fils, l’article sur Bartome (René Azémar) qui a fait un tabac et également l’article sur l’entreprise Weishardt. Beaucoup de documents inédits : le programme d’inauguration de l’aérodrome de 1935, toutes les photos des équipes de rugby ».
Et prochainement ?
« Des articles sur des personnalités : Roger Carlac, Charles Cathala, une étude sur les élections législatives à Graulhet et Graulhet en chansons »
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GRAULHETOIS(E)
le saviez-vous ?
. Que l'ancienne école Gambetta s’élève sur l'ancien cimetière de la ville.
. Que la Caisse d’Épargne construite de 1900 à 1902 et inaugurée en 1903 fut dessinée par l'architecte A.Mélissent.
. Que la construction du Pont Neuf date de 1858
. Que Graulhet comptait 85 usines et 2050 ouvriers en...1914.
. Que c'est en 1962 que Graulhet passe le cap des 10.000 habitants
. et en 1972 Graulhet compte 12073 habitants
. Qu'Aux élections municipales de 1947 deux femmes sont élues conseillères
. Que c'est en 1922 que fut construit le Pont de Saint-Pierre
. Et en 1925 les écoles de Graulhet sont électrifiées.
. Qu'en 1970 sera construit le Central téléphonique
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Souvenirs d'un graulhétois...de l'école des Tambours à La Courbe
Michel Viale m'a transmis quelques photos et souvenirs de sa vie à Graulhet Vous pouvez l'aider à retrouver des noms sur les visages...Je suis né le 1er mai 1954 à Albi mais j’ai passé mon enfance à Graulhet ou mon père exploitait un garage « éléctricité auto » , ma mère l’aidant à tenir sa comptabilité.
J’étais d’ailleurs très honoré de voir que la Mairie hissait les drapeaux le jour de mon anniversaire.
Après l’école maternelle rue Gambetta j’ai fait ma scolarité primaire à l’école des Grands (Victor Hugo, alias « Les tambours ». J’ai eu entre autres, comme instituteurs, Mme PUGINIER (l’épouse du Directeur), M. BERTHOUMIEU (spécialiste de la règle en bois tant pour montrer sur le tableau que taper sur les doigts…), Mme et M. CAMBOUNET grâce à qui j’ai passé quelques heures dans le couloir à attendre la fin du cours.
Je suis allé ensuite en 6 éme « au CEG du Stade » et inauguré le nouveau CES en 5ème. De cette dernière année, je me souviens de mon prof principal M. ESPINASSE (Anglais) et de Mme BASSE (Français).
Mes parents voulant absolument que j’apprenne l’allemand, j’ai rejoint le lycée Lapérouse à ALBI en 4ème et y suis resté jusqu’au bac (1972) en internat.La Courbe : Les moniteurs
Nombre de Graulhétois m’ y ont rejoint en seconde.
Je me souviens avoir assidûment fréquenté « La Courbe » en tant que colon et une année en tant qu’aide moniteur (1968-69?).
J’ai arrêté « La Courbe » pour passer mes vacances d’ado à travailler chez « MONTLAUR », la première « grande surface » de Graulhet, place Bosquet. On y était mieux payé...Goûter école de musique : 1964-65 ?
Debouts contre le mur : Gabriel Satgé et Bernard Alquier (au fond)
sax Bénos x
trompettes : ?,Tournier Michel (?), Camalet
clarinettes : ?, Héral Jacky, Cathalau, ?
Table à gauche :
banc contre le mur : Didier DUROC 3 ème
banc vers le centre : Fabri 1er
Table au fond : devant avec le Melodica
à gauche (tête tournée) : moi
en face Michel Alibert
Concert Ste Cecile : Harmonie des jeunes 1970
Adultes : Raoul Cathalo (au fond à g), Marc Héral (de dos, père de Jacky)
Trompettes (g à droite) : Dumontier (?), Duroc Didier, Delmas (?)
Trombones : Michel Viale, ?, Hilaire, ?
Sax :?, Gibert (baryton), Rodriguez (de dos), ?, ?
Flutes : Esteban (? cachée), ?
Cors : ?, Vaissière, Imart
J’ai fréquenté l’école de musique et ensuite l’Union Musicale dés mon plus jeune âge et j’y venais encore lorsque j’étais étudiant et que je rentrais le week-end la maison pour me régénérer.
Mon premier souvenir concerne Gabriel SATGE. En tant que Président de l’école de musique, il nous avait reçu dans son château de Damiatte et à cette occasion, il avait remis à chaque nouvel élève un livret (caisse d’Epargne) avec 5 francs…
Tous les ans , il nous offrait aussi un goûter. (cf la photo jointe).
Je me souviens aussi des cours de « solfège » dans l’école donnant rue Pasteur, de mon redoublement de classe ( le seul endroit ou j’ai redoublé…) et de l’attente interminable avant de prendre un instrument. Pas le niveau en solfège : pas d’instrument…On en prenait minimum pour 3 ans.
Pour arranger le tout, le cours de solfège était dispensé en même temps que le catéchisme. En sortant du cours, la mine défaite, je rencontrais mes camarades qui se faisaient un malin plaisir de me raconter les blagues qu’ils faisaient à « Monsieur le Curé » comme ils disaient.
Pour certainement rendre l’attente de la prise d’instrument moins longue, Bernard ALQUIER avait décidé de nous faire jouer quelques morceaux au Melodica. La flûte à bec n’était encore de mise et le Melodica était quand même autre chose.. On peut voir quelques élèves montrer fièrement le leur au fond de la classe.
Puis est arrivé M. DONDEYNE, comptable le jour, prof d’instrument et directeur de l’Union Musicale le soir, la nuit et les week-end. C’est lui qui , vers mes 14 ans, a décidé que je jouerai du trombone .... Histoire de morphologie ? Anticipation d’une faiblesse à venir dans le pupitre de l’Harmonie ? Il m’appris les rudiments et m’a permis d’intégrer le pupitre.
A partir de la, se sont enchaînés les défilés du 14 Juillet, les concerts sous le kiosque place du Jourdain, puis sous le préau du stade et les commémorations diverses.Concert Kursaal Prien am Chiemsee 1972- 73 ? Harmonie des jeunes
Trombones : Michel Viale, Régnier, Martinez (?)
Trompette : Didier Duroc (1er devant), ????
Cors : Imart, Vaissière
A titre anecdotique, c’est grâce à une commémoration d’un 11 Novembre, que mon ordinaire de lycéen s’est trouvé grandement amélioré.
Chaque année, nous commémorions le 11 Novembre à Saint Paul Cap de Joux. Une année, à l’arrivée au monument aux morts (certainement dans l’énorme Traction Avant familiale de M. Régnier où peut-être dans la DS Break de M. CALVEL), je reconnais un des portes-drapeaux anciens combattants. C’est lui qui distribuait le goûter aux pensionnaires : pain systématiquement de la veille (au mieux) accompagné alternativement de chocolat ou pâte de coing. Nous nous sommes rencontrés à la fin de la cérémonie. A compter de ce jour ce fût pain tendre avec chocolat ET pâte de coing à volonté tous les jours...Compte tenu de la richesse des effectifs de l’école de musique , il a été décidé de mettre en place une « Harmonie des jeunes ». Cela devait être vers 1970. Ce groupe répétait le Samedi en fin d’après-midi (à côté de l’école Victor Hugo) et s’est produit en multiples occasions et a même effectué en Allemagne, avec concert à Prien am Chiemsee (Allemagne) dans le cadre du jumelage avec Graulhet. Le groupe s’était déplacé en bus Déjà présent en Allemagne, je l’avais rejoint, royal, au volant de ma 2cv.
Même si cela n’était pas toujours facile de concilier vie d’ado pensionnaire et apprentissage d’un instrument, je ne regrette pas ces efforts car je n’ai jamais arrêté de jouer du trombone .
Je pense d’ailleurs avoir effectué un bref passage dans ce qui était déjà (?) ou allait devenir « Integral Orchestra » , orchestre qui recrutait largement dans les rangs de l’Harmonie (des jeunes) pour constituer une section de cuivres digne des arrangements de Claude François. C’était au tout début et je garde seulement en mémoire le départ dans le minibus Peugeot devant la maison Sicard (mécène principal si mes souvenirs sont exacts) et le travail que représentaient les montage/démontage de la sono.Voilà quelques éléments de mon parcours Graulhétois. Il y en certainement beaucoup d’autres, mais pour l’heure, il sont enfouis quelque part au fond de ma mémoire. Peut-être remonteront-ils à la surface à l’occasion de mes visites sur le blog…(Michel VIALE)
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Camille Bonnet
doyen du rugby françaisjoueur et entraîneur à Graulhet
1918-2020
Debout de gauche à droite :Camille BONNET - DAYDE - BENEZET - AZEMAR ( dit Le Carpan) - VILLEROUGE (qui a joué la demi-finale) - Marcel ROQUES - RIVALS - André LARRUE - ROUZIERES . Accroupis de gauche à droite : DELILLE - Jacqui FERRAZ - ORRIOLS - VIDAL - Guy PAUTHE - OLIVIER - José PLANES - CORPS
N°1 Jean SERRA - N°2 René FERRASSE - N°3 André SEVERAC
N°4 Lucien PHALIPPOT - N°5 Louis ROUVELLAT - N°6 Jean SATGE
N°7 Inconnu - N°8 Jean ALQUIER - N°9 François COMBRES
N°10 René AZEMAR (Carpan) - N°11 Inconnu - N°12 Roger GALIBERT
N°13 Jean MAURIES - N°14 Camille BONNET - N°15 ABADIE - N°16 MURATET - N°17 Inconnu - N°18 DEFANTIAssis au premier rang de g à d : Camille Bonnet, Guy Maurel, Charles Calbet. Derrière la fameuse seconde ligne Albert Ferrasse-Robert Landes.
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Le doyen du rugby tricolore Camille Bonnet, champion de France avec Agen en 1945, est décédé le 17 novembre 2020 du Covid-19 à l'âge de 102 ans.
Camille Bonnet est né le 31 août 1918 à Nogaro
Camille Bonnet, trois-quart de talent, doté d'un coup de pied remarquable, avait porté le club d'Agen lors des phases finales du championnat de France 1945. Il avait inscrit un drop lors de chaque match éliminatoire (5 au total) dont un en finale contre Lourdes (7-3) au Parc des Princes.
Ensuite, Camille Bonnet avait ensuite rejoint le SC Graulhet en 1948, comme joueur, puis comme entraîneur à succès. Avec le club tarnais, il fût notamment champion de France de troisième division, puis de deuxième division.
Retiré dans la Drôme, il était apparu publiquement une dernière fois le 2 février 2020, invité à donner le coup d'envoi fictif du premier match du dernier Tournoi des 6 Nations contre l'Angleterre au Stade de France.
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22 novembre
La Sainte Cécile patronne des musiciens fêtée par l'Union musicale de Graulhet :
les jolis programmes1937
1932
1948
Sainte Cécile (au centre) peinte par Raphaël.
Cécile de Rome, une des saintes Cécile, ou sainte Aziliz dans le calendrier breton des saints, est une sainte chrétienne. Elle aurait vécu à Rome, aux premiers temps du christianisme. Sa légende en fait une vierge qui, mariée de force, participa à la conversion de son mari et l'amena à respecter son vœu de virginité. Sa fête a été fixée au 22 novembre. Sainte Cécile est la patronne des musiciens et des musiciennes ainsi que des brodeurs
En France, la cathédrale d'Albi est la seule cathédrale à porter le vocable de sainte Cécile. Cette cathédrale est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, et possède le plus grand orgue classique de France. Cécile y est honorée chaque année lors de sa solennité avec vénération des reliques lors de la messe solennelle de la sainte Cécile.
Le reliquaire et la statue de sainte Cécile, à l'intérieur de la cathédrale d'Albi
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Le mercredi 18 septembre 1968 restera la date de l'inauguration de la piscine municipale . La télévision française réalise un petit reportage de 32 secondes (sans son - certainement avec une voix off)- Voici plus de 52 ans après les captures d'écran de ce document tiré des trésors de l'iNA.
De nombreux enfants sont là, en effet cette année là, la rentrée des classes s'effectuera le 30 septembre !
vue d'ensemble du bassin
Les officiels...on reconnait Monsieur André PONTIER le 4ième en partant de la droite (premier adjoint)
Le bar buvette
L'employée chargée des vestiaires
Le grand plongeoir
La foule nombreuse
Les nageurs
Les étés suivants en photos inédites
Les étés suivants en cartes postales
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