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    Nous sommes le samedi 8 novembre 1969 et la télévision française diffuse un reportage très court de 28 secondes sur l'élection de la Reine de Graulhet dans le cadre de la Douzaine commerciale qui s'est déroulée le 7 novembre à l'Odéon !
    Je vous laisse découvrir avec ces captures d'écran inédites. Si vous découvrez des noms  faites le moi savoir !

    Petit rappel

    En 1969 sous la houlette de son nouveau président Raymond ICART, la quinzaine rebaptisée juste pour cette année là : la Douzaine Commerciale en référence à l'industrie du cuir qui repartait de plus belle !

    - TV -Election de la Reine 1969

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    la Reine du Commerce cette année là fut MARYSE GALONNIER

    Retrouvez l'histoire des Quinzaines commerciales ici

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    - TV : L'Ecole de musique et la fanfare !


    Le mercredi 7 janvier 1970 a été diffusé à la télévision française un reportage de 6 minutes 50 secondes sur l’École de musique et la Fanfare de Graulhet.
    Ces images tournées pour certaines en 1968 ou 1969 et que je vous laisse découvrir avec ces captures d'écran inédites.  Avec l'aide de Michel Vaissière qui figure sur ces photos nous avons essayé de mettre des noms sur ces visages - A votre tour si vous découvrez des noms , faites le moi savoir !

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    Le reportage commence par des éléves qui se retrouvent et qui avant d'arriver au cours se promènent dans Graulhet...On découvre le Pont Vieux, le square des Bains Douches et le Quartier médiéval de Panessac

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    PHOTO 2 : A droite sur la photo : Alain DUPEYRON
    A gauche de face : Jean-Luc TROUCHE

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    PHOTO 3 :

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    Le professeur attend les élèves sur le pas de la porte, Salle Gabriel Satgé à l'immeuble LE TERMINUS  (aujourd'hui disparu)

    - Reportage TV

    - Reportage TV

    PHOTO 4 : Salle Gabriel SATGE - École GAULENE

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    PHOTO 5 : Professeur de musique : Bernard ALQUIER

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    De nombreux graulhétois se reconnaîtront ! Aidez nous !

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    PHOTO 6

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    On bat la mesure

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      Devant les portraits des présidents un groupe de 5 trompettistes

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    PHOTO 7 : De droite à gauche
    Didier DUROC - DELCROIX - Alain DUPEYRON - Christian CAMALET - X (Eric DUROC ? )

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    Le professeur Bernard ALQUIER arrive...

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    Solo de Didier DUROC

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    PHOTO 8 : Viviane ESTEBAN

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    PHOTO 9 : Viviane ESTEBAN - Monsieur DONDEYNE

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    PHOTO 10 : De droite à gauche  : Elisabeth MUNOZ  - BONNET - Monsieur Dondeyne - Viviane ESTEBAN - VERDIER

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    PHOTO 11 : Jacqui HERAL (cravate rayée - face) - GONZALEZ (frères)
    - Fille X

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    De droite à gauche : JEAN-LOUIS FABRE - JACQUI HERAL - GONZALEZ - JEAN-LUC TROUCHE - CHRISTIAN GIBERT - GONZALEZ (lunettes) - Fille inconnue

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    PHOTO 12 : De droite à gauche : X - Christian TEULET - X (pull blanc) - Richard HILAIRE - Devant : Antoine RODRIGUEZ - Bernard LARRUE

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    PHOTO 13 : De gauche à droite : Michel VIALE - VERDIER - X -
    Michel ASPE- Richard HILAIRE - X

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    PHOTO 14 : Bernard LARRUE (au premier plan)

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    PHOTO 16 : De gauche à droite : Jean-LUC TROUCHE - X
     Christian GIBERT - Bernard LARRUE - Michel VAISSIERE

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    PHOTO 18 : Bernard LARRUE

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    PHOTO 19 : De droite à gauche 1er rang : Bernard LARRUE - Michel VAISSIERE
    Derrière : Michel VIALE - VERDIER

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    PHOTO 20 : Premier plan : Michel VAISSIERE

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    PHOTO 21 : De gauche à droite / Devant : Michel VAISSIERE - Antoine RODRIGUEZ
    Derrière : VERDIER - X - Michel ASPE - Richard HILAIRE

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    PHOTO 26 : Raoul CATHALO

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Reportage TV

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    PHOTO 35:  1er rang gauche : GAUBERT - HENRI GIBERT
    - MARC HERAL
    - 2 rang gauche : MUNOZ - Antoine RODRIGUEZ - X

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

     

    PHOTO 36 : De gauche à droite : HENRI GIBERT - HENRI GIBERT
     MARC HERAL

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    PHOTO 37 : HENRI GIBERT - MARC HERAL

    - Reportage TV

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    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    PHOTO 39 : 1er  rang : Marc HERAL et Henri GIBERT
    2 rang : Marcel PARAYRE - Edmond DUPEYRON - Raoul CATHALO - X - Antoine RODRIGUEZ

    3 rang : André JAMMES - X- X - Christian TEULET

     

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    PHOTO 40

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

    - Reportage TV

    PHOTO 41 : Charles CATHALA

    - Reportage TV

    Un grand merci à Michel VAISSIERE pour avoir visionné ces photos et essayé de mettre un nom sur ces visages plus de 50 ans après

    - Emission TV : L'Ecole de musique et la fanfare !

     

     


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  • - Roger CARLAC

    Roger DURAND est un illustre graulhétois peu connu, aucune rue ou place porte son nom et pourtant sa vie est riche : titulaires de nombreux diplômes, professeur, carrière militaire, nombreuses citations et médailles, écrivain sous le nom de Roger CARLAC, publication de livres éducatifs et de dictionnaires, producteur de disques, journaliste pour des revues prestigieuses (Marianne, NEF, Arts et Décorations...)....Découvrons sa vie

    ---------------------

    Comme l'indique son acte de naissance Roger DURAND est né au Moulin de la Bressolle le 27 décembre 1914, fils de Daniel DURAND (La famille DURAND faisait partie des jardiniers du Moulin) , cavalier de manège et de Lucienne RIVAYRAND (la famille Rivayrand avait une graineterie Place Neuve (Bosquet) sans profession.

    Le Moulin de la Bressolle

    - Roger CARLAC / DURAND

    Le Moulin de la Bressolle aujourd'hui

    - Roger CARLAC

    Roger DURAND et son père Daniel DURAND

    Roger est élève à l'école Victor-Hugo avant de poursuivre ses études à Saint-Sulpice et à Montauban. Bachelier en philosophie en 1932 puis licencié ès lettres classiques supérieures à Toulouse et diplômé d'études supérieures en 1936 avec une thèse sur les Goncourt. Élève officier de réserve à Saumur de 1937 à 1938, il accomplit une partie de sa carrière militaire au Maroc.
    De 1940 à 1942 il exerce en qualité de professeur au Lycée de Marrakech, rappelé sous les drapeaux il participe à l'organisation des Compagnies Muletières à Fez et prend part à la Campagne d'Italie
    ...

    A partir de 1945 il reprend sa vie de professeur à Libourne avant de retourner au Maroc au Lycée Lyautey à Casablanca de 1949 à 1956.

    Marié le 6 avril 1938 à Vitry-sur-Seine avec Paulette POURSAIN, le mariage sera dissous le 13 décembre 1945 par le Tribunal de Marrakech. Trois enfants naitront de sa seconde union avec Yvonne BODO le 10 janvier 1947 à Saint-Sulpice-de-Faleyrens (GIRONDE).

    - Roger CARLAC

    Titulaire d'une licence et d'un diplôme d'italien , Roger Durand est nommé professeur au Lycée Carnot à Paris de 1956 à 1957 et achève sa carrière au Lycée Van Gogh à Ermont. Il obtient également un diplôme d'études supérieures d'italien ainsi qu'un diplôme élémentaire d'arabe. De tels bagages et dispositions permettent à Roger DURAND de signer de nombreux ouvrages sous le nom de ROGER CARLAC, par fidélité à son quartier graulhétois où il vécut rue Dauraste :  " Il y a des cailloux sur toutes les routes " recueil de nouvelles paru en 1935 à Casablanca - En 1960 paraît "Étrange chose d'aimer" roman publié aux Éditions du Scorpion.

    - Roger CARLAC

    - Roger CARLAC

     

    - Roger CARLAC / DURAND

    - Roger CARLAC

    Très ami avec Pierre BORDAS (Pierre Bordas est un éditeur français, né à Carcassonne le 5 juillet 1913, et mort à Barbizon le 5 octobre 2000. Il est le fondateur des Éditions Bordas.), Roger DURAND fera paraître sous son nom (en rajoutant un H après son prénom pour Hermant qui est son second prénom) à la fin des années 60, deux ouvrages aux éditions du même nom sur l'histoire de la civilisation et de la littérature italienne en collaboration avec Madame J. BLONCOURT ainsi qu'un Vocabulaire italien par l'image.

     

    - Roger CARLAC

    - Roger CARLAC

    En 1967 aux Éditions BORDAS Sélections Sonores dans la collection Mythes et Légendes un disque 33 tours : L'Iliade et l'Odyssée jouée par François PERIER , Jean TOPART paraît sous la direction entre autres de Roger DURAND.

    - Roger CARLAC

    On peut retrouver la signature de Roger DURAND dans divers hebdomadaires et revues   tels que  " Marianne "(celui d'avant-guerre : Marianne  journal politique et littéraire orienté à gauche qui fut publié à Paris dans les années 1930. Pacifiste, il se présente comme « l'hebdomadaire de l'élite intellectuelle française et étrangère ») dans la NEF et autres publications sous divers articles : tel que cet inédit texte retrouvé par le blog MÉMOIRES DE GRAULHET et paru dans MARIANNE le 7 septembre 1938 " L'âme du bled marocain" . Mais également dans la revue Arts et Décoration où sa maison sera photographiée et revue à laquelle Roger DURAND participe. On pourra l'apercevoir également dans une émission de Danièle Gilbert.

    - Roger CARLAC

     

    - Roger CARLAC

    Roger DURAND recevra de nombreuses citations et médailles toute au long de sa carrière : Chevalier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre avec trois citations, Croix de Combattant, Officier des Palmes Académiques.


    Dans les dernières années de sa vie active Roger DURAND ouvre une agence immobilière à Sarzeau et passe ensuite une paisible retraite en Bretagne. Il décède à Sarzeau dans le Morbihan le 19 septembre 2007 où il est enterré.

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    Un grand merci à Madame Dany BAZIN - Henry Manavit (+)  - Archives Départementales du Tarn 

     


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    mardi 2 février ...7 h du matin...ça monte encore !

    - Février 2021 - Dadou haut !

     

     

    - Février 2021 - Dadou haut !

    - Février 2021 - Dadou haut !

    - Février 2021 - Dadou haut !

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    - Février 2021 - Dadou haut !

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    - Février 2021 - Dadou haut !

    Photos du photographe masqué

     Jardin de la rivière - Passerelle St Jean


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  • GRAULHET SGC

    -20 mai 1966

    - SCG - Ovale CINZANO - 20 mai 1966

    LA FÊTE DE L’AMITIÉ
    pour la deuxième fois, le SPORTING a reçu
    le mardi 17 mai 1966, l'Ovale CINZANO

    Rouge et noir les joueurs du Sporting illuminent la vaste et coquette Salle du Foyer Léo-Lagrange de Graulhet qui accueille les amis du club tarnais et les invités de la CDC à l'occasion de la remise de l'Ovale Cinzano aux demi-finalistes du championnat et vainqueurs du challenge de l’Espérance.
    Aux côtés de MM.Marcel Batigne président du S
    CG et M.François Chantôme directeur du service propagande CDC, MM.Dumontier maire de Graulhet ; Vieu président de la Chambre de commerce de Castres ; Albert, président du Conseil Général du Tarn ; Spénale, député du Tarn; Cayron, secrétaire général de la préfecture du Tarn; Delpech, adjoint au maire de Toulouse; Aybram, représentant la F.F.R ont pris place sur l'estrade devant les trophées remportés par les rugbymen graulhétois.
    Au premier rang d'une assistance considérable, MM Raymond Sautet, secrétaire général du jury des journalistes; Grimal, inspecteur départemental à la jeunesse et aux sports ; Pontier, conseiller général ; Vaissière, président de la Chambre syndicale des patrons mégissiers; le capitaine Araud, responsable des sports au 5e train de Toulouse, champion de France militaire; Francis Rouzières et Jean Satgé, entraîneurs du Sporting, sont entourés de tous les joueurs graulhétois, des " anciens" E.Saint-Ignian, L.Bourdariés, G.satgé, A.Pauthe, Oriols, Zarazola entre nombreux autres; des " amis" du club, parmi lesquels nous avons remarqué MM.Gabarrou et Garrigues, présidents du Castres-Olympique et de l'U 3Montauban ; Fourcade du FC Lourdes.

    -20 mai 1966

     

    - SCG - Ovale CINZANO - 20 mai 1966

     

    -20 mai 1966

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    - SCG - Ovale CINZANO - 20 mai 1966

     

    -20 mai 1966


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    Adieu à " BLANCHETTE "

    un graulhétois à New-York

     

    Fernand PAGES graulhétois, grand chef saucier au restaurant La Grenouille à New-York vient de nous quitter, MEMOIRES DE GRAULHET lui rend hommage à travers cet article publié il y a quelques années
    dans la Dépêche. Je me souviens d'une conversation téléphonique au début de la création de mon blog où il avait évoqué pour moi sa carrière à New-York.

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    - Adieu à " Blanchette " Un graulhétois à NEW-YORK

    Fernand et son épouse

    Retraité à Philadelphie, Fernand Pages a longtemps été chef saucier à « La Grenouille » le restaurant français le plus côté de New-York. Il a régalé les grands de ce monde.

    - " Blanchette " Un graulhétois à NEW-YORK

     

    - Un graulhétois à NEW-YORK

    L'équipe du restaurant LA GRENOUILLE

     

    Je suis né en 1929, dans la commune libre de St Jean ! ». Fernand Pages, comme chaque année passe le mois d'août en France, partagé entre Graulhet et l'Al­sace pays d'origine de Jacque­line son épouse. « C'est l'occa­sion de se ressourcer, de voir les amis, de retrouver cette ville que j'ai quittée alors qu'elle rayon­nait, de parler le patois et de me régaler de cette cuisine d'ici. » Le mot est lancé. Le regard mali­cieux s'allume. « Je m'enflam­me pour un cassoulet, facile­ment ! »

    Du poisson pour Nixon

    Pourtant rien ne prédestinait l'ouvrier mégissier aux four­neaux. En 1962, ses activités de syndicaliste l'embarquent pour New-York et il étudie pendant neuf mois l'économie américaine.

    Il en revient bouleversé. Il se marie et repart deux ans plus tard, en quête d'un travail. Jac­queline entre aux bureaux de la SNCF, mais lui cherche, échoue dans la filière cuir... Jusqu'au jour ou il se présente devant un restaurant français qui vient d'ouvrir, « La Grenouille ».

    Il se convertit à la cuisine en même temps que l'enseigne de­vient l'une des plus célèbres d'outre Atlantique. Le tout New-York défile.

    Salvador Dali déjeune toute les semaines d'une quenelle de brochet au Porto, Gala préférant le pamplemousse grillé au miel. Joséphine Baker gratifie le Graulhétois d'un « Qu'il est mi­gnon ce petit !» En se délectant de son « nègre en chemise ». John Wayne, à deux tables de Grégory Peck, déguste invaria­blement son foie de veau aux oi­gnons.Richard Nixon alors prési­dent des Etats-Unis se régale d'un poisson poché au beurre blanc.

     

    Fier de ses racines

     

    Fort de sa réputation, « Blan­chette » finira sa carrière dans deux grandes maisons. Au « Water-Club » rendez-vous des grands de ce monde, à deux pas du siège des Nations Unies, puis au « Georges Washington Manor » qui sert parfois jusqu'à 2 000 couverts pour les repas de fête de personnalités.

    Aujourd'hui à la retraite, le couple s'est retiré non-loin de Philadelphie, tout près de leur fille et de leurs deux petits en­fants. « Et nous insistons pour qu'ils apprennent le français. » Fernand tient à garder ses raci­nes autant que son accent du Sud-Ouest. « L'Amérique m'a donné beaucoup d'opportunités. La France et le Français y ont toujours autant la cote. »

    Un pays, au même nom que le paquebot qui l'a, un jour de 1965, emporté vers un excep­tionnel destin et qu'il porte tou­jours aussi fort dans son coeur.


    © LA DEPECHE / GERARD DURAND

    - Adieu à " Blanchette " Un graulhétois à NEW-YORK

     

     


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  • Tous les ans, à la fin des années 40 et dans les années 50, se déroulait à Graulhet un meeting aérien très réputé. Sur cette vidéo on peut voir de nombreux avions et un public enthousiaste. La majorité des gens "montait à l'aviation" pour assister à ce spectacle. On découvre en fin de film, un personnage en tenue d'aviateur. Il s'agit d'un cascadeur. Il montait dans les airs assis sur l'aile de l'avion et sautait en chute libre avant d'ouvrir son parachute sous les yeux ébahis des spectateurs. Merci au Docteur Jean ROUZET qui vient de nous quitter, d'avoir filmé, entre autres, ce meeting aérien, film d'ailleurs d'excellente qualité pour l'époque. C'est grâce à des personnes comme lui que l'on peut connaitre notre Graulhet d'antan.
    Texte et vidéo : Merci à Robert PY

     


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  • Merci à la Dépêche qui me consacre à sa demande un article le lundi 4 janvier 2021...pour débuter l'année des 10 ans de ce blog. Merci aux nombreux visiteurs-lecteurs et à tous ceux qui depuis 10 ans suivent ce blog et me permettent de l'enrichir. Bonne année !

    Mes collections que je suis heureux de partager avec vous à travers les articles, les enquêtes de ce blog mais aussi avec d'autres documents : photos, programmes,  des séries inédites : Graulhétois(e)s illustres , résultats inédits d'élections graulhétoises et aussi une Une qui se modifie en fonction des publications...un vrai blog journal ! Des questions, des cartes à partager, à échanger ou des documents à me prêter...n'hésitez pas ! Vous pouvez me laisser un message ici -  Consultez les différentes rubriques proposées à droite.

    177 000 visiteurs en 10 ans sur le blog
    « Mémoires de Graulhet »

    • Une photo ancienne parmi les centaines qui illustrent les articles du blog Mémoires de Graulhet. Une photo ancienne parmi les centaines qui illustrent les articles du blog Mémoires de Graulhet. 

    Parisien 90 % de l’année, pourquoi avoir créé ce blog ?

    « Je ne me suis jamais coupé de mes racines graulhétoises. Comme collectionneur de cartes postales, j’avais, en 2011, la possibilité d’éditer un ouvrage avec mes cartes postales. J’ai trouvé que partager mes collections à travers un blog était le meilleur moyen ».

    Pensiez-vous au départ qu’il aurait autant de succès ?

    « On n’imagine jamais le succès on l’espère c’est tout ».

    Comment établissez-vous vos choix de sujets ?

    « Je traite rarement de l’actualité mais j’utilise l’actualité pour parler du passé. J’ai une liste de sujets dont je veux parler et j’ai toujours quelques articles en réserve. Beaucoup de rencontres que je provoque. J’apprécie les participations de certains comme Pierre Austruy ou dernièrement Michel Viale, mais aussi des gens qui viennent vers moi pour me proposer des photos et des idées »

    Les sujets dont vous êtes le plus satisfait ?

    « Les « études » sur les résultats des élections municipales depuis 1945, avec l’interview des trois anciens maires élus qui restent et que je remercie à nouveau ici : Messieurs Picarel, Bousquet et Fita. L’article sur Mademba Sy ou j’ai eu le plaisir de rencontrer son fils, l’article sur Bartome (René Azémar) qui a fait un tabac et également l’article sur l’entreprise Weishardt. Beaucoup de documents inédits : le programme d’inauguration de l’aérodrome de 1935, toutes les photos des équipes de rugby ».

    Et prochainement ?

    « Des articles sur des personnalités : Roger Carlac, Charles Cathala, une étude sur les élections législatives à Graulhet et Graulhet en chansons »

    Propos recueillis par G.D.


    1 commentaire
  • GRAULHETOIS(E)

    le saviez-vous ?

    . Que l'ancienne école Gambetta s’élève sur l'ancien cimetière de la ville.

    . Que la Caisse d’Épargne construite de 1900 à 1902 et inaugurée en 1903 fut dessinée par l'architecte A.Mélissent.

    . Que la construction du Pont Neuf date de 1858

    . Que Graulhet comptait 85 usines et 2050 ouvriers en...1914.

    . Que c'est en 1962 que Graulhet passe le cap des 10.000 habitants

    . et en 1972 Graulhet compte 12073 habitants

    . Qu'Aux élections municipales de 1947 deux femmes sont élues conseillères

    . Que c'est en 1922 que fut construit le Pont de Saint-Pierre

    . Et en 1925 les écoles de Graulhet sont électrifiées.

    . Qu'en 1970 sera construit le Central téléphonique

     


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  • Souvenirs d'un graulhétois...de l'école des Tambours à La Courbe
    Michel Viale m'a transmis quelques photos et souvenirs de sa vie à Graulhet  Vous pouvez l'aider à retrouver des noms sur les visages...

    Je suis né le 1er mai 1954 à Albi mais j’ai passé mon enfance à Graulhet ou mon père exploitait un garage « éléctricité auto » , ma mère l’aidant à tenir sa comptabilité.

    J’étais d’ailleurs très honoré de voir que la Mairie hissait les drapeaux le jour de mon anniversaire.
    Après l’école maternelle rue Gambetta j’ai fait ma scolarité primaire à l’école des Grands (Victor Hugo, alias « Les tambours ». J’ai eu entre autres, comme instituteurs, Mme PUGINIER (l’épouse du Directeur), M. BERTHOUMIEU (spécialiste de la règle en bois tant pour montrer sur le tableau que taper sur les doigts…), Mme et M. CAMBOUNET grâce à qui j’ai passé quelques heures dans le couloir à attendre la fin du cours.
    Je suis allé ensuite en 6 éme « au CEG du Stade » et inauguré le nouveau CES en 5ème. De cette dernière année, je me souviens de mon prof principal M. ESPINASSE (Anglais) et de Mme BASSE (Français).
    Mes parents voulant absolument que j’apprenne l’allemand, j’ai rejoint le lycée Lapérouse à ALBI en 4ème et y suis resté jusqu’au bac (1972) en internat.

    La Courbe : Les moniteurs


    Nombre de Graulhétois m’ y ont rejoint en seconde.
    Je me souviens avoir assidûment fréquenté « La Courbe » en tant que colon et une année en tant qu’aide moniteur (1968-69?).
    J’ai arrêté « La Courbe » pour passer mes vacances d’ado à travailler chez  « MONTLAUR », la première « grande surface » de Graulhet, place Bosquet. On y était mieux payé...

    Goûter école de musique : 1964-65 ?

    Debouts contre le mur : Gabriel Satgé et Bernard Alquier (au fond)

    sax Bénos x

    trompettes :  ?,Tournier Michel (?), Camalet 

    clarinettes : ?, Héral Jacky, Cathalau, ?

    Table à gauche :

    banc contre le mur : Didier DUROC  3 ème

    banc vers le centre : Fabri 1er

    Table au fond : devant avec le Melodica 

    à gauche (tête tournée) : moi

    en face Michel Alibert

     

     - Souvenirs d'un graulhétois

    Concert Ste Cecile : Harmonie des jeunes 1970

    Adultes : Raoul Cathalo (au fond à g), Marc Héral (de dos, père de Jacky)

    Trompettes  (g à droite) : Dumontier (?), Duroc Didier, Delmas (?)

    Trombones : Michel Viale, ?, Hilaire, ?

    Sax :?, Gibert (baryton), Rodriguez (de dos), ?, ?

    Flutes : Esteban (? cachée), ?

    Cors : ?, Vaissière, Imart

    J’ai fréquenté l’école de musique et ensuite l’Union Musicale dés mon plus jeune âge et j’y venais encore lorsque j’étais étudiant et que je rentrais le week-end la maison pour me régénérer.
    Mon premier souvenir concerne Gabriel SATGE. En tant que Président de l’école de musique, il nous avait reçu dans son château de Damiatte et à cette occasion, il avait remis à chaque nouvel élève un livret (caisse d’Epargne) avec 5 francs…
    Tous les ans , il nous offrait aussi un goûter. (cf la photo jointe).
    Je me souviens aussi des cours de « solfège » dans l’école donnant rue Pasteur, de mon redoublement de classe ( le seul endroit ou j’ai redoublé…) et de l’attente interminable avant de prendre un instrument. Pas le niveau en solfège : pas d’instrument…On en prenait minimum pour 3 ans.
    Pour arranger le tout, le cours de solfège était dispensé en même temps que le catéchisme. En sortant du cours, la mine défaite, je rencontrais mes camarades qui se faisaient un malin plaisir de me raconter les blagues qu’ils faisaient à « Monsieur le Curé » comme ils disaient.
    Pour certainement rendre l’attente de la prise d’instrument moins longue, Bernard ALQUIER avait décidé de nous faire jouer quelques morceaux au Melodica. La flûte à bec n’était encore de mise et le Melodica était quand même autre chose.. On peut voir quelques élèves montrer fièrement le leur au fond de la classe.
    Puis est arrivé M. DONDEYNE, comptable le jour, prof d’instrument et directeur de l’Union Musicale le soir, la nuit et les week-end. C’est lui qui , vers mes 14 ans, a décidé que je jouerai du trombone .... Histoire de morphologie ? Anticipation d’une faiblesse à venir dans le pupitre de l’Harmonie ? Il m’appris les rudiments et m’a permis d’intégrer le pupitre.
    A partir de la, se sont enchaînés les défilés du 14 Juillet, les concerts sous le kiosque place du Jourdain, puis sous le préau du stade et les commémorations diverses.

    Concert Kursaal Prien am Chiemsee 1972- 73 ? Harmonie des jeunes

    Trombones : Michel Viale, Régnier, Martinez (?)

    Trompette : Didier Duroc (1er devant), ????

    Cors : Imart, Vaissière


    A titre anecdotique, c’est grâce à une commémoration d’un 11 Novembre, que mon ordinaire de lycéen s’est trouvé grandement amélioré.
    Chaque année, nous commémorions le 11 Novembre à Saint Paul Cap de Joux. Une année, à l’arrivée au monument aux morts (certainement dans l’énorme Traction Avant familiale de M. Régnier peut-être dans la DS Break de M. CALVEL), je reconnais un des portes-drapeaux anciens combattants. C’est lui qui distribuait le goûter aux pensionnaires : pain systématiquement de la veille (au mieux) accompagné alternativement de chocolat ou pâte de coing. Nous nous sommes rencontrés à la fin de la cérémonie. A compter de ce jour ce fût pain tendre avec chocolat ET pâte de coing à volonté tous les jours...

    Compte tenu de la richesse des effectifs de l’école de musique , il a été décidé de mettre en place une « Harmonie des jeunes ». Cela devait être vers 1970. Ce groupe répétait le Samedi en fin d’après-midi (à côté de l’école Victor Hugo) et s’est produit en multiples occasions et a même effectué en Allemagne, avec concert à Prien am Chiemsee (Allemagne) dans le cadre du jumelage avec Graulhet. Le groupe s’était déplacé en bus Déjà présent en Allemagne, je l’avais rejoint, royal, au volant de ma 2cv.

    Même si cela n’était pas toujours facile de concilier vie d’ado pensionnaire et apprentissage d’un instrument, je ne regrette pas ces efforts car je n’ai jamais arrêté de jouer du trombone .
    Je pense d’ailleurs avoir effectué un bref passage dans ce qui était déjà (?) ou allait devenir « Integral Orchestra » , orchestre qui recrutait largement dans les rangs de l’Harmonie (des jeunes) pour constituer une section de cuivres digne des arrangements de Claude François. C’était au tout début et je garde seulement en mémoire le départ dans le minibus Peugeot devant la maison Sicard (mécène principal si mes souvenirs sont exacts) et le travail que représentaient les montage/démontage de la sono.

    Voilà quelques éléments de mon parcours Graulhétois. Il y en certainement beaucoup d’autres, mais pour l’heure, il sont enfouis quelque part au fond de ma mémoire. Peut-être remonteront-ils à la surface à l’occasion de mes visites sur le blog…(Michel VIALE)

     

     

     


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  •  Camille Bonnet
     doyen du rugby français

    joueur et entraîneur à Graulhet

    1918-2020

    http://ekladata.com/48WDbP42pUPuiDUhHHBI0j6mFWc.jpg

    Debout de gauche à droite :Camille BONNET -  DAYDE - BENEZET - AZEMAR ( dit Le Carpan) - VILLEROUGE (qui a joué la demi-finale) - Marcel ROQUES - RIVALS - André LARRUE - ROUZIERES . Accroupis de gauche à droite : DELILLE - Jacqui FERRAZ - ORRIOLS - VIDAL - Guy PAUTHE - OLIVIER - José PLANES - CORPS

     

    http://ekladata.com/giRIlaaCIikOuSMylTqxbugFEv0.jpg N°1 Jean SERRA - N°2 René FERRASSE - N°3 André SEVERAC
    N°4 Lucien PHALIPPOT - N°5 Louis ROUVELLAT - N°6 Jean SATGE
    N°7 Inconnu - N°8 Jean ALQUIER - N°9 François COMBRES
    N°10 René AZEMAR (Carpan) - N°11 Inconnu - N°12 Roger GALIBERT
    N°13 Jean MAURIES - N°14 Camille BONNET - N°15 ABADIE - N°16 MURATET - N°17 Inconnu - N°18 DEFANTI

     

    Assis au premier rang de g à d : Camille Bonnet, Guy Maurel, Charles Calbet. Derrière la fameuse seconde ligne Albert Ferrasse-Robert Landes.

    Assis au premier rang de g à d : Camille Bonnet, Guy Maurel, Charles Calbet. Derrière la fameuse seconde ligne Albert Ferrasse-Robert Landes.

    - Hommage à Camille BONNET

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    Le doyen du rugby tricolore Camille Bonnet, champion de France avec Agen en 1945, est décédé le 17 novembre 2020 du Covid-19 à l'âge de 102 ans.

    Camille Bonnet est né le 31 août 1918 à Nogaro

    Camille Bonnet, trois-quart de talent, doté d'un coup de pied remarquable, avait porté le club d'Agen lors des phases finales du championnat de France 1945. Il avait inscrit un drop lors de chaque match éliminatoire (5 au total) dont un en finale contre Lourdes (7-3) au Parc des Princes.

     

    Ensuite, Camille Bonnet avait ensuite rejoint le SC Graulhet en 1948, comme joueur, puis comme entraîneur à succès. Avec le club tarnais, il fût notamment champion de France de troisième division, puis de deuxième division.

    Retiré dans la Drôme, il était apparu publiquement une dernière fois le 2 février 2020, invité à donner le coup d'envoi fictif du premier match du dernier Tournoi des 6 Nations contre l'Angleterre au Stade de France.

    - Hommage à Camille BONNET

     

     

     

     

     


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  •  22 novembre

    La Sainte Cécile patronne des musiciens fêtée par l'Union musicale de Graulhet :
    les jolis programmes

    1937 

     

     1932

    1948

     

     

    Sainte Cécile (au centre) peinte par Raphaël.

    Cécile de Rome, une des saintes Cécile, ou sainte Aziliz dans le calendrier breton des saints, est une sainte chrétienne. Elle aurait vécu à Rome, aux premiers temps du christianisme. Sa légende en fait une vierge qui, mariée de force, participa à la conversion de son mari et l'amena à respecter son vœu de virginité. Sa fête a été fixée au 22 novembre. Sainte Cécile est la patronne des musiciens et des musiciennes ainsi que des brodeurs

    En France, la cathédrale d'Albi est la seule cathédrale à porter le vocable de sainte Cécile. Cette cathédrale est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, et possède le plus grand orgue classique de France. Cécile y est honorée chaque année lors de sa solennité avec vénération des reliques lors de la messe solennelle de la sainte Cécile.

     

     

    Le reliquaire et la statue de sainte Cécile, à l'intérieur de la cathédrale d'Albi


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  •  

    Le mercredi 18 septembre 1968 restera la date de l'inauguration de la piscine municipale . La télévision française réalise un petit reportage de 32 secondes (sans son - certainement avec une voix off)- Voici plus de 52 ans après les captures d'écran de ce document tiré des trésors de l'iNA.

    De nombreux enfants sont là, en effet cette année là, la rentrée des classes s'effectuera le 30 septembre !

     

    - 18 septembre 1968 - Inauguation de la piscine

    vue d'ensemble du bassin

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    Les officiels...on reconnait Monsieur André PONTIER le 4ième en partant de la droite (premier adjoint)

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

     

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    Le bar buvette

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    L'employée chargée des vestiaires

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    Le grand plongeoir

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    La foule nombreuse

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    Les nageurs

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    Les étés suivants en photos inédites

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

     

    Les étés suivants en cartes postales

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

    - 18 septembre 1968 - Inauguration de la piscine

     

     

     


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  • Aimé SUDRE, un graulhétois si discret
    1890-1980
    Une rue à Graulhet honore cet homme

    - Aimé SUDRE

    - Aimé SUDRE

    Né le 8 février 1890 à Graulhet (Tarn) rue Gambetta, de Louis-Aristide, gendarme, et de Julie-Albanie Ségur.

    - Aimé SUDRE

     Après son bac sciences-langues-mathématiques, il prépare le concours d’entrée à Saint-Cyr. Admis, et tenu d’accomplir une année de service militaire, il est incorporé au 15e régiment d'infanterie l 9 octobre 1910 ; il y est promu caporal le 2 octobre 1911. Entré à l’École spéciale militaire le 2 octobre 1911 (promotion de la Moskova), il en sort deux ans plus tard classé 131e sur 249 élèves et choisit l’infanterie. Nommé sous-lieutenant le 1er octobre 1912, il est affecté à la 1re compagnie du 1er bataillon du 9e régiment d'infanterie, à Agen.Mobilisé avec cette unité le 2 août 1914, il est blessé par balle à la face à Raucourt, au sud de Sedan, dès le 27août ; mais il revient rapidement sur le front. Promu lieutenant le 1er octobre 1914, il exerce dès lors le commandement d’une compagnie avec savoir. Il se distingue ensuite en Champagne durant l’hiver 1914-1915. Le 17 mai 1919, il obtiendra une citation à l’ordre de la 33e division d'infanterie, la grande unité de rattachement du 9e régiment d'infanterie, pour son action lors des combats de 1914-1915 :« A participé avec entrain, courage et sang-froid à toutes les opérations du début de la campagne, blessé au Sud de Sedan, a rejoint de bonne heure le front où il s'est signalé dans toutes les attaques de Champagne durant l'hiver 1914-1915 et particulièrement dans celle des tranchées Brunes et Hurlus et des Perthes. »

    - Aimé SUDRE

    Le 5 mars 1915, il est fait prisonnier à Perthes-les-Hurlus, au Nord-Est de Châlons-en-Champagne et interné dans l’Oflag de Friedsberg, puis dans celui d’Illerwangen dans le Wurtemberg. Il est promu capitaine le 24 juin 1916.

    De retour en France le 30 novembre 1918, il est affecté au DTI de Toulouse puis, le 26 mars 1919, il réintègre comme commandant de compagnie le 9e régiment d'infanterie, à Agen, où il s’initie aux enseignements de la fin de la guerre.

     Le 22 février 1921, il passe au 109e régiment d'infanterie en Rhénanie, puis dans la Ruhr ; il commande une compagnie de fusiliers-voltigeurs puis une compagnie de mitrailleuses. Le 10 avril 1923, il passe au 14e régiment d'infanterie ; il commande une compagnie et, en l’absence de son chef de bataillon, le détachement de Foix. Dans ces différents emplois, il est jugé « d’une belle tenue, d’une conduite irréprochable et méritant à tous égards ».

    Le 10 juin 1926, il rejoint le 502e régiment de chars de combat, à Angoulême ; il en est détaché du 1er juillet au 1er septembre 1926 pour suivre les cours de l’école d’application des chars. Il commande ensuite remarquablement une compagnie avant de prendre, le 23 octobre 1927, la fonction d’adjoint au chef de corps, le colonel Dufoulon ; il s’y distingue par sa brillante intelligence, son aptitude à traiter vite et bien les questions les plus diverses.

     Le 27 mars 1930, il rejoint la 5e brigade de chars où il remplit avec la même facilité les fonctions d’adjoint au commandant de la brigade, le général Dufoulon. Revenu au 502e régiment de chars de combat le 10 mai 1932, et promu au grade de chef de bataillon le 26 juin de cette année, il prend le commandement du 2e bataillon qu’il  Bourguignon « exerce avec la plus belle maestria » note le colonel Bourguignon.

    Le 9 novembre 1934, il part pour l’école d’application de l’infanterie et des chars comme instructeur. Son supérieur, le général Touchon, loue son énergie, sa fermeté, son activité et ses qualités d’instructeur.

    Le 1er décembre 1935, il passe au centre d’instruction des chars à Versailles que dirige le colonel Bruché ; il se fait de nouveau remarquer à la tête des divisions d’application pour la « vigoureuse et productive impulsion qu’il donne de l'instruction ». Le 13 juillet 1937 le centre d’instruction des chars devient l’École des chars de combat où ilà l’instruction »prend les fonctions de directeur de l’instruction militaire et obtient le grade de lieutenant-colonel le 25 mars 1939.

    Maintenu à l’École des chars à la mobilisation, il continue à remplir brillamment sa mission puis devient commandant en second le 11 novembre 1939.

     Le 17 mars 1940, il est nommé au commandement du groupe de bataillons de chars n°533 ; jusqu’à la dernière minute, il se dévoue à l’école malgré la lourde charge que constitue la formation et l’instruction de son GBC (46e) qui devient la 6e demi-brigade de chars.et 47e BCC.

     Le 15 mai 1940, il entre avec sa demi-brigade dans la constitution de la 4e DCR du colonel de Gaulle. Il combat avec cette dernière à Montcornet, Crécy-sur-Serre puis Abbeville. Il retraite ensuite avec sa division entre Therainet Dordogne. Le général de la Font, commandant la 4e DCR, écrit : « La guerre l’a consacré comme un magnifique chef de chars. »

    - Aimé SUDRE

    Le général Sudre au sommet de son blindé à Marseille, le 27 août 1944

    © Collection Charles et Julien Jansana, DR Droits réservés

    Son rôle à la tête de la 6e demi-brigade pendant la campagne de mai-juin 1940 lui vaudra une citation à l’ordre du corps d’armée, le 15 mai 1943 : « Chef énergique payant de sa personne en toutes circonstances. A brillamment conduit sa demi-brigade à Montcornet, à Crécy, au Mont de Caubert, animant ses unités, manœuvrant avec habilité et audace, en particulier le 17 mai 1940 laissant son char à la garde d'un défilé, s'est porte à découvert aumilieu de ses unités afin de mieux les guider. » Entre-temps, il a reçu la croix d’officier de la Légion d’honneur le 2septembre 1940.

    Le 16 juillet 1940, après la dissolution de sa demi-brigade, il devient chef d’état-major de la subdivision de Brive. Maintenu dans les cadres de l’armée d’armistice, il est placé le 1er août 1940 à la tête du régiment de cuirassiers motorisés et classé pour ordre au 26e régiment d'infanterie le 1er septembre. Le 25 octobre 1940, l’armée d’armistice ayant interdiction de posséder des chars, il passe au 51e régiment d'infanterie, à Albi, où, comme commandant en second du colonel Foucault, il est chargé de diriger l’instruction, fonction dans laquelle il excelle et obtient les meilleurs résultats.

    Le 1er décembre 1941, il passe dans l’arme de la cavalerie et, le 22 janvier 1942, il quitte la métropole pour l’Algérie où il prend le commandement du 2e régiment de chasseurs d’Afrique, à Oran, où il est promu colonel le25 mars suivant. Il trouve ce régiment mal organisé et manquant d’impulsion à la suite d’une interruption de plusieurs mois dans le commandement. Malgré la lourdeur de cette unité (3 GE dont l’un de chars D2, l’autre d’AM motos, le 3e de portés), malgré les difficultés d’installation matérielle (3 quartiers dispersés dans Oran et un escadron à Misserghin), malgré son origine étrangère à la cavalerie, il réussit en quelques semaines à donner à son régiment une impulsion et une cohésion remarquables, sachant s’attacher ses cadres par son caractère franc et gai,sa justice et surtout son exemple.

    Du 8 au 10 novembre 1942, il s’oppose au débarquement américain sur la côte africaine. Engagé contre les forces germano-italiennes à partir de la mi-novembre, il est notamment au combat de Thala le 23 février 1943. Début mars 1943, il rentre à Oran où son régiment doit entrer dans la composition de la 1re division blindée et être équipé en matériel américain.

    Au moment de la création de la 1re division blindée, le chef de cette dernière, le général Touzet du Vigier,l’appelle le 25 avril 1943 à la tête de la brigade de chars de la division qui deviendra le Combat Command. Il y  donne toute la mesure de sa compétence et de son esprit d’organisation et, sans se laisser rebuter par des difficultés provenant aussi bien du personnel que du matériel, il réussit en peu de temps à créer de toutes pièces une brigade instruite sur un matériel américain entièrement nouveau, au moral très élevé et d’une magnifique tenue. Jusqu’à l’été 1944, il entraîne son Combat Command au cours de nombreuses manœuvres, travaillant beaucoup pour mettre  au point son emploi tactique selon les normes américaines. Le 25 juillet 1943, il est promu général de brigade à titre temporaire.

    Le 15 août 1944, le Combat Command débarque en Provence avec les éléments d’assaut du 6e corps américain. Il se distingue lors des combats pour la prise de Marseille puis entame la remontée du sillon rhodanien, atteignant successivement Lyon, Mâcon, Beaune, Dijon et Langres où il obtient la capitulation de la citadelle. Pour l’ensemble de ces opérations, il est fait commandeur de la Légion d’honneur le 24 septembre 1944.

    Le 9 octobre 1944, il abandonne le commandement du pour devenir adjoint du général du Vigier commandant la division. A ce titre, il le conseille et règle la coopération des différents  Combat Command de la division, jouant un rôle important lors des combats de la région du Thilliot, de la vallée de Servance et de Rupt-sur-Moselle au cours desquels il fait face à des situations très délicates avec des moyens faibles. Il participe ensuite à la conquête du sud de l’Alsace et à la prise de Mulhouse le 21 novembre 1944.

    Le 5 décembre 1944, il prend le commandement de la 1re DB, remplaçant le général du Vigier nommé gouverneur militaire de Strasbourg. Ce dernier écrit : « Je ne pouvais souhaiter mettre cette division en meilleures mains. »

    Il conduit sa division avec brio lors des opérations de la poche de Colmar en janvier-février 1945. Pour cette action, la 1re division blindée obtient une citation à l’ordre de l’armée le 29 avril 1945 :« Magnifique division blindée qui, aux ordres du général Sudre, a pendant trois semaines de combats incessants, dans des conditions atmosphériques très dures et contre un ennemi se défendent farouchement, puissamment contribué à la réduction de la poche de Haute-Alsace et à la victoire de Colmar. Du 20 janvier au 3 février, appuyant l'action des n°.division d'infanterie marocaine et n°. division d'infanterie coloniale, elle participe à la conquête pied à pied de tout le bassin minier des potasses, menant de durs et couteux combats de jour et de nuit dans un terrain fortement miné et âprement défendu, et devant les blindés allemands supérieurs en qualité. Profitant de la première percée,elle passe ensuite à l'exploitation et, après avoir fait sa jonction le 5 février à Sainte-Croix-en-Plaine avec les unités américaines venant du Nord, fait face à l'Est et force avec l'infanterie des lignes d'eau successives de l'Ill et du Canal du Rhône Au Rhin, atteignant le Rhin le 9 au matin au pont de Chalampe. A, au cours de ces vingt journées de lutte, capturé de nombreux prisonniers et un important butin achevant ainsi de façon particulièrement glorieuse la tâche qu'elle avait si brillamment commencée en libérant Mulhouse en novembre 1944. »

    Lui-même obtient la croix d’officier de la américaine Legion of Merit américaine « pour conduite exceptionnellement méritoire dans l'accomplissement des remarquables services en Afrique du Nord et dans le Sud de le France du 15 juillet au 20 août 1944. Comme général commandant le groupement tactique n°1 de la 1re division blindée française, le général Sudre a fait preuve de qualités techniques et professionnelles en entraînant et préparant son unité pour l'invasion alliée du Sud de la France. Le 15 août après le débarquement de ses unités blindées sur des plages difficiles, il a dirigé une avance brillamment conçue sur Goufaron puis sur le Luc et Brignolles et enfin sur Saint-Maximin, réussissant à désorganiser et à mettre en déroute une énergique résistance allemande. Cette manœuvre, qui a permis le capture d'un grand nombre de prisonniers et d'une importante quantité de matériel et d'équipement ennemie a contribué largement à l'avance victorieuse des forces alliées depuis leur tête de pont initiale. »

    En avril 1945, sa division constitue l’avant garde du 1er corps d’armée du général Béthouart, et joue un rôle déterminant dans les combats menés sur le sol allemand. Le 20 avril, il débouche de la région de Freudenstadt et fonce vers le Danube qu’il atteint à Müllheim puis à Tuttlingen. Sans laisser de répit à ses adversaires, il poursuit son avance le long du fleuve parcourant plus de 80 kilomètres en treize heures, atteignant Ulm le 23 avril et entrant dans la ville le lendemain, en même temps que les troupes américaines venues du Nord. Il s’élance ensuite vers le Sud-Est en direction des Alpes bavaroises et autrichiennes, arrivant à Immenstadt le 30 avril. Le lendemain, il franchit la frontière autrichienne à Aach.

    Pour sa participation brillante à la campagne d’Allemagne, la 1re DB obtiendra une nouvelle citation à l’ordre de l’armée le 23 juillet 1946 : « Magnifique division blindée qui, aux ordres du général Sudre, a joué à l'avant-garde du 1er corps d’armée un rôle déterminant au cours de la campagne d'Allemagne et d'Autriche d'avril-mai 1945. Débouchant le 20 avril de la région de Freudenstadt, la 1re DB, moins le CC3, qui participe avec la 9e DIC aux opérations de dégagement de la rive droite du Rhin et de la frontière Suisse, fonce sur le Danube qu'elle atteint le 21 à Müllheim puis à Tuttlingen, saisissant les ponts intacts par lesquels elle s'engouffre pour se rabattre aussitôt face à l'Est. Poussant résolument et sans un instant de répit le long du fleuve, parcourant en combattant plus de 80km en 23 heures, ses éléments de tête atteignent en fin de journée du 23 Ulm où ils entrent le 24 en même temps que les troupes alliées venant du Nord. S'élançant ensuite, face au Sud-Est, vers les Alpes bavaroises et autrichiennes, la division atteint Immenstadt le 30 avril et franchit le lendemain la frontière austro-allemande à Aach. Au cours de cette action fulgurante en territoire allemand, la 1re division blindée a capturé 30.000 prisonniers, dont 8 généraux, détruit ou pris intact un matériel considérable dont plus de 100 pièces d'artillerie,des trains entiers de matériel, un nombre impressionnant de véhicules de toutes sortes, plusieurs dizaines d'avions. Elle a, en deux semaines, réalisé la plus belle, la plus souple et la plus efficace des manœuvres d'exploitation pouvant être confiées à une division blindée. »

    Après la cessation des hostilités, la 1re DB rejoint sa zone d'occupation dans le Palatinat où elle passe deux mois,puis, dès que l'organisation du secteur français de Berlin le permet, l'état-major de la division s'y rend. Le 5 septembre, l'état-major de la division vient s’installer à Trèves. Du 6 septembre au 3 novembre 1945, il exerce le commandement provisoire du 2e corps d’armée et assure le commandement de la zone française Rhénanie et Hesse-Nassau. Le 1er octobre 1945, il est promu général de division. Après cinq mois d’occupation en Allemagne,la 1re DB, à effectifs réduits par la démobilisation, revient en France et stationne dans l’Ouest de la France ; elle est dissoute le 31 mars 1946.

    Le 10 avril 1946, le général Sudre prend à Tours la tête de l’élément divisionnaire blindé n°1, qui a succédé à la1re DB.

    Le 26 juin 1948, il devient inspecteur de l’arme blindée et de la cavalerie. Atteint par la limite d’âge, il quitte l’armée le 8 février 1949 et se retire à Lavaur. Bien que proposé en décembre 1947 pour le grade de général de corps d’armée, il n’obtient finalement pas sa quatrième étoile. Il est néanmoins élevé à la dignité de grand-officier de la Légion d’honneur le 27 octobre 1948.Le général Sudre est décédé le 20 novembre 1980 à Lavaur (Tarn). Il est inhumé dans le cimetière de cette ville.Il était grand-officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918 (1 citation), Croix de guerre 1939 (3 citations), Croix du Combattant, médaille coloniale avec agrafe « Tunisie 1942-1943 », médaille commémorative de la Grande guerre, médaille interalliée de la Victoire, médaille commémorative 1939-1945 avec agrafes « France », « Libération » et « Allemagne », médaille des Blessés. 

    Texte biographique émanant du site (achat par le blog MÉMOIRES DE GRAULHET)
    - Aimé SUDRE

     

     

     

     

     


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