• - Les députés du Tarn de 1789 à 1957

    1789- 1957

    LES DEPUTES DU TARN

    Avant de découvrir la liste des députés du Tarn de 1789 à 1957 Découvrez quatre biographies de députés
    nés à Graulhet :

    Baron Charles-Philippe-Auguste CORBIERE

     

    Représentant à la Chambre des Cent-Jours, né à Graulhet (Généralité de Toulouse), le 4 septembre 1759 « fils de monsieur Louis Corbière avocat en Parlement et de Delle Jeanne Roques mariés », mort à Toulouse (Haute-Garonne), le 21 juillet 1845, il débuta, le 16 janvier 1788, dans la magistrature de l'ancien régime, comme lieutenant de juge à Guitalens (Tarn); il occupa cette fonction jusqu'au 20 novembre 1790.

    Pendant la période révolutionnaire, Corbière remplit divers postes administratifs et judiciaires, et, après avoir été, du 21 novembre 1790 au 15 septembre 1791, officier municipal de Graulhet, juge de paix de ce canton de 1791 à 1792, juge au tribunal du district de Lavaur le 4 avril 1792, et commissaire du roi près le même tribunal le 8 août de la même année, il devint successivement membre du directoire du département du Tarn (novembre 1792), membre du directoire du district de Castres (an II), procureur syndic du district de Lavaur (1er messidor an III), et commissaire du Directoire près l'administration municipale de Graulhet (18 brumaire an IV). En l'an V, il rentra dans la magistrature en qualité de commissaire près les tribunaux civil et criminel du Tarn. Juge à la Cour de cassation, le 1er prairial an VII, il reçut la décoration de la Légion d'honneur lors de la création de cet ordre. L'Empire lui conféra en outre les titres de chevalier (1810) et de baron (1813) et le poste de procureur général prés la Cour impériale de Toulouse.

    Le 16 mai 1815, le collège électoral de son département d'origine, le Tarn, l'envoya, par 52 voix sur 57 votants, le représenter à la Chambre des Cent-Jours. Il s'y montra fidèle aux institutions impériales, et dut se tenir à l'écart pendant le règne des Bourbons.

    La révolution de Juillet le rappela aux honneurs, en le replaçant (20 août 1830) à la tête du parquet de la Cour royale de Toulouse. Officier de la Légion d'honneur, du 28 novembre 1831, il termina sa carrière comme premier président honoraire de la même cour.

    (Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

    Son portrait complet ici

    Jean-Pierre Abrial

    Jean-Pierre Léon Abrial (1836 -1894) est un homme politique français du XIXe siècle. Monarchiste, il est élu à trois reprises député du Tarn.

    Né le 28 décembre 1836 à Graulhet (Tarn), Jean-Pierre Abrial est issu d'une famille de magistrats tarnais. Son arrière grand-père, Barthélemy Abrial, était magistrat à Lavaur vers 1800, tandis que son arrière grand-oncle, le comte André-Joseph Abrial, était un homme politique. Il est lui-même avocat.

    Il est élu député du Tarn par 9181 voix (sur 16 830 votants), en tant que conservateur monarchiste, le 23 mars 1884. Il remplace alors le républicain Frédéric Thomas, décédé la même année. Il ne siège alors que quelques mois avant les élections, et vote toujours à droite. Lors des élections du 4 octobre 1885, il n'est pas réélu avec 46 353 voix (sur 94 149 votants).

    Il se représente de nouveau le 22 septembre 1889 et bat Jean Jaurès par 9619 voix contre 8776. Il se fait élire sur la base du programme suivant.

    « Je demanderai que l'on abroge la disposition du 30 octobre 1886 qui impose l'obligation de laïciser à bref délai les écoles primaires communales, je réclamerai la diminution des impôts qui écrasent l'agriculture, je repousserai tout traité de commerce qui sacrifierait l'industrie nationale à la concurrence étrangère et serai favorable à toutes les mesures de nature à améliorer la situation des ouvriers. Ennemi de toute politique qui jetterait la France dans de nouvelles aventures coloniales, mon concours est acquis à une politique respectueuse des croyances religieuses de tous. Désireux de rendre au suffrage universel le rôle prépondérant qui doit lui appartenir, je réclamerai la révision de la Constitution »

    Il ne prend jamais la parole devant l'Assemblée, mais fait partie de différentes commissions. Il est élu pour un troisième mandat le 3 septembre 1893, au deuxième tour par 8.672 voix contre 7.285 pour le socialiste Caraguel. Néanmoins, il tombe gravement malade, et meurt quelques mois après, le 4 février 1894 à Montech (Tarn-et-Garonne). Il est inhumé à Graulhet, et reçoit un éloge funèbre devant l'Assemblée, réalisée par Charles Dupuy, le président. Il est remplacé par André Reille.

    (Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

    Charles Poulié

     - Les député du TARN de 1789 à 1957

    Né le 4 février 1845 à Graulhet (Tarn), mort le 16 juillet 1914 à Graulhet. Député du Tarn de 1889 à 1893. Charles Poulié est issu d'une vieille famille graulhétoise. Son père exploita dans cette ville une tannerie puis plus tard une fabrique de gélatine. Charles Poulié lui succède et se déclare industriel-propriétaire, mégissier fabricant de colle forte à Graulhet. Lorsqu'il se présente en 1889 aux élections législatives il est déjà conseiller municipal de Graulhet. Il est, pour l'arrondissement de Lavaur, le candidat du comité conservateur. Fermement hostile à la politique opportuniste il réclame dans son programme des réformes financières, des économies et des diminutions d'impôts. Il est partisan d'une révision de la Constitution et affirme la nécessité de défendre la liberté de conscience menacée et de rétablir les droits du père de famille. Au premier tour de scrutin Charles Poulié recueille 7.066 voix contre 7.042 à Compayre, professeur de droit à Toulouse, député sortant. Il bat ce dernier au second tour par 7.378 voix contre 6.094.Député discret, il se contente de prendre part à la discussion du budget de 1891.Charles Poulié se représentera sans succès aux élections législatives de 1893 et 1898. En ces deux occasions il sera battu de justesse au second tour de scrutin par Compayre : en 1893 par 6.781 voix contre 6.565 et en 1898 par 7.180 voix contre 6.239. Il meurt à Graulhet le 16 juillet 1914.

    (Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1889 à 1940 (Jean Jolly)

    L'article complet sur son entreprise c'est ici

     

    François Morel

     - Les députés du Tarn de 1789 à 1957

     - Les députés du Tarn de 1789 à 1957

    Étonnante carte postale tirée de ma collection où l'expéditeur annote l'image et précise le lieu d'habitation de Monsieur François MOREL candidat à la députation avenue de Lavaur (aujourd'hui Avenue Charles de Gaulle)

     - Les député du TARN de 1789 à 1957

     

    François Morel, né le 22 mars 1871 à Graulhet (Tarn) et décédé le 17 janvier 1938 à Paris, est un homme politique français. Industriel, propriétaire viticulteur, il est conseiller général du canton de Graulhet de 1904 à sa mort et député du Tarn de 1924 à 1928, siégeant sur les bancs radicaux. 

    Industriel, puis propriétaire viticulteur, François Morel est conseiller général du Tarn quand il se présente, dans son département, aux élections législatives de 1924 sur la liste du bloc des gauches dont Paul-Boncour est la tête. Il est élu avec 47.322 voix sur 82.755 suffrages exprimés.

    A la Chambre, il s'inscrit au groupe radical et radical-socialiste et fait partie de plusieurs commissions, notamment de la commission de l'enseignement et des beaux-arts au nom de laquelle il rapporte, en 1925, un projet de loi relatif à l'enseignement secondaire des jeunes filles ; de la commission des pensions qui le désigne comme rapporteur d'une proposition de loi modifiant la législation des pensions des armées de terre.

    Auteur, en 1927, d'une proposition de loi ayant pour objet de modifier la loi électorale rétablissant le scrutin uninominal pour l'élection des députés, il avait en 1924 fait partie d'une commission d'enquête chargée de rechercher l'origine des fonds ayant servi à tous les partis durant la campagne électorale.

    Il ne s'est pas représenté aux élections de 1928. Il est mort le 17 janvier 1938 à Paris dans sa soixante-septième année.

    (Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1889 à 1940 (Jean Jolly)

    Liste des députés du Tarn de 1789 à 1957 

     

    Liste des députés aux États généraux de 1789

      
    Les États généraux de 1789 sont décidés par des arrêts du Conseil royal des 5 juillet 1788 et 8 août 1788 pour se réunir le 1er mai suivant. Il s'ouvriront finalement le 5 mai 1789 à Versailles devant Louis XVI. Un règlement, joint à cette convocation, prescrit l'envoi de députés par ordre, par bailliage et par sénéchaussée.

    Le nombre des députés aux États généraux de 1789 s'élève à 1 154, dont 291 pour le clergé, 285 pour la noblesse et 578 pour le tiers état

     

    Assemblée législative (1791-1792)

    L'élection des députés de la Législative qui a lieu entre le 29 août et le 5 septembre 1791 se déroule dans une période agitée par l’émotion qu’ont suscité la fuite du roi et son arrestation à Varennes (20-21 juin), la scission des jacobins (16 juillet), la fusillade du Champ-de-Mars (17 juillet), et enfin la déclaration de Pillnitz (27 août).

    Pour le nouveau club des Feuillants il s’agit, par cette première élection en France après la réinstallation de Louis XVI sur le trône et la fusillade du Champ-de-Mars, de pérenniser le régime constitutionnel afin de fixer ses limites à la Révolution conformément à la Constitution de 1791.

    Jean-Paul Gouzy
    Marc David Lasource
    Bernard Esperou
    Pierre Séverin Audoÿ
    Louis François Sancerre
    Louis Jean Gausserand
    Jean-Pierre Lacombe-Saint-Michel
    Jean-Baptiste Leroy de Flagis
    Antoine Larroque-Labécède
    Jean-Charles Coubé

     

    Convention nationale (1792-1795)

    Les élections législatives françaises de 1792 ont lieu du 2 au 19 septembre 1792, après l'élection des collèges électoraux par les assemblées primaires le 26 août afin d'élire les députés de la Convention nationale. Elle se déroule juste après la journée du 10 août et la suspension de Louis XVI, durant une période de transition très perturbée. À la suite de ces événements, la Constitution de 1791 devient caduque, et dans l’immédiat, les charges qui incombent à la nouvelle Assemblée sont de proclamer la déchéance du roi, de fonder le nouveau régime et surtout de rédiger une nouvelle Constitution

    Jean-Paul Gouzy
    Marc David Lasource
    Pierre Jean Louis Campmas
    Jean Deltel
    Jean-Pierre Lacombe-Saint-Michel
    Jean-Baptiste Meyer
    Joseph Terral
    François Antoine Daubermesnil
    François Solomiac
    Henri Pascal de Rochegude
    Louis Gaspard Tridoulat
    Pierre Stanislas Maruejouls

     

    Conseil des Cinq-Cents (1795-1799)

     

    Les élections législatives françaises de 1795 ont lieu du 20 au 29 vendémiaire an IV (12 au 21 octobre 1795) afin d'élire les premiers représentants législatifs selon les principes établis par la Constitution de l'an III qui inaugure le régime du Directoire. Le mode de scrutin employé est alors le suffrage censitaire à deux degrés. Il s'agit d'élire l'ensemble du corps législatif devant ensuite composer le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens, selon une procédure permettant que les 2/3 des sièges reviennent à d'anciens conventionnels, en vertu du décret des deux tiers pris auparavant pour éviter un retour en force des royalistes.

    Les résultats en termes de partis, comme pour toutes les élections de l'époque, ne peuvent être déterminés avec précision tant les affiliations politiques sont alors susceptibles d'évoluer au cours du temps. Les deux tiers de conventionnels élus sont principalement des républicains de tendance thermidorienne, tandis que le tiers nouvellement élu est composé d'une grande majorité de royalistes. Cette poussée est perçue comme une menace pour le régime par les républicains.

    Pierre de Cardonnel
    Jean-François-Joseph Azaïs
    Antoine Castagné
    Jean-Paul Gouzy
    Jean Laurans
    Marie-Joseph Jacques Bermond
    Jean-Baptiste Meyer
    Guillaume-Charles Robert
    Jean-Henri-Guy-Nicolas de Frégeville, marquis de Grandval
    Étienne Compayré
    François Antoine Daubermesnil

     

    Corps législatif (1800-1814)

    Pierre de Cardonnel
    Antoine Castagné
    Jean Guibal
    Pierre-Nicolas-Joseph de Bourguet de Travanet
    Jean-Baptiste Meyer
    Jean-Baptiste Guy
    Étienne Compayré

     

    Chambre des députés des départements (1re Restauration)

    Pierre de Cardonnel

     

    Chambre des représentants (Cent-Jours)


    Des élections législatives ont eu lieu les 8 et 22 mai 1815 en France, durant la période des Cent-Jours. Elles ont désigné les députés de la Chambre des représentants instaurée par l'Acte additionnel du 22 avril 1815.

    Louis de Séganville
    Bernard Juéry
    Pierre-Benoît Soult
    Jean-Jacques Pascal Crouzet
    Antoine Castagné
    Charles Philippe Auguste Corbière

    Chambre des députés des départements (2e Restauration)

    Ire législature (1815–1816)

    Les élections législatives ont eu lieu les 14 et 28 août 1815 en France. Elles ont élu les députés de la première législature de la Seconde Restauration.

    Jean Jacques Augustin Rey de Saint-Géry
    Pierre de Cardonnel (homme politique)
    Henri Félix de Pélissier
    Marie-Joseph Dor de Lastours

    IIe législature (1816-1823)
    Les élections législatives ont eu lieu les 25 septembre et 4 octobre 1816 dans le but de désigner les députés à la suite de la dissolution de la chambre dite « Chambre introuvable » par le roi Louis XVIII.

    Jean Jacques Augustin Rey de Saint-Géry
    Pierre de Cardonnel (homme politique)
    Philippe de Ranchin-Lacan
    Marie-Joseph Dor de Lastours

    IIIe législature (1824-1827)
    Les élections législatives ont eu lieu les 25 février et 6 mars 1824.


    Jean Jacques Augustin Rey de Saint-Géry
    Pierre de Cardonnel (homme politique)
    Philippe de Ranchin-Lacan
    Marie-Joseph Dor de Lastours

    IVe législature (1828-1830)
    Les élections législatives ont eu lieu les 17 novembre et 24 novembre 1827.


    Charles Dupin
    Jean-Baptiste Augustin de Gélis
    Louis-Alexandre de Cambon
    Pierre de Cardonnel (homme politique)
    Marie-Joseph Dor de Lastours

    Ve législature (23 juin 1830 - 28 juillet 1830)

    Marius de Voisins-Lavernière
    Jean-Baptiste Augustin de Gélis
    Jean Jacques Augustin Rey de Saint-Géry
    Marie-Joseph Dor de Lastours

     

    Chambre des députés (monarchie de Juillet)


    Ire Législature (1830-1831)

    Les élections législatives françaises de 1830 ont eu lieu les 5, 13 et 19 juillet 1830, à la suite de la dissolution de la chambre sortante par le roi Charles X.La nouvelle chambre élue, majoritairement hostile au roi Charles X, fut immédiatement dissoute par celui-ci mais elle continua de siéger et appela sur le trône Louis-Philippe d'Orléans.

    Auguste de Mornay
    François de Falguerolles
    Joseph-Léonard Decazes
    Louis-Alexandre de Cambon

    IIe Législature (1831-1834)


    Les élections législatives ont eu lieu le 5 juillet 1831.

    François de Falguerolles
    Gustave Daguilhon-Pujol
    Marc François Alby
    Jean Sébastien Falgayrac
    Marie-Joseph Jacques Bermond

    IIIe Législature (1834-1837)

    Les élections législatives ont eu lieu le 21 juin 1834. Elles sont consécutives à une dissolution de la Chambre des députés prononcée par Louis-Philippe afin de réduire la représentation de l'opposition républicaine, laquelle était suspectée de soutenir des troubles dans le pays. La majorité orléaniste sort confortée du scrutin.

    Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
    Raymond Gardès
    Jean-Jacques de Lacombe
    François de Falguerolles
    Philippe de Ranchin-Lacan

    IVe Législature (1837-1839)

    Les élections législatives ont eu lieu le 4 novembre 1837 à la suite de la dissolution de la chambre sortante par le Roi Louis-Philippe Ier le 3 octobre précédent. Il s'agissait de conforter son président du conseil, le comte Mathieu Molé, en proie à de vives contestations au sein de la majorité parlementaire orléaniste et animées notamment par son prédécesseur Adolphe Thiers.

    Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
    Jean Louis Vincent Bernardou
    Jean-Jacques de Lacombe
    Joseph-Léonard Decazes
    Philippe de Ranchin-Lacan

    Ve Législature (1839-1842)

    Les élections législatives ont eu lieu les 2 et 6 mars 1839, à la suite de la dissolution de la chambre sortante par le Roi Louis-Philippe Ier. Elle fait suite à la démission du comte de Molé, jusqu'alors président du conseil, vivement attaqué au sein même de la majorité parlementaire orléaniste. À travers lui, c'est l'interventionnisme jugé excessif de Louis-Philippe dans la conduite des affaires du gouvernement qui est en cause. Le Roi presse le maréchal Soult mais celui-ci est dans l'incapacité de constituer une majorité parlementaire solide autour de lui. C'est pourquoi la dissolution de la Chambre est prononcée. L'opposition républicaine est rejointe pour l'occasion par certaines personnalités orléanistes influentes (Adolphe Thiers, François Guizot) qui reprochent aux ministres de laisser le Roi s'exposer.

    Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
    Jean Louis Vincent Bernardou
    Joseph Espigat-Sieurac
    Jean-Jacques de Lacombe
    Joseph-Léonard Decazes

    VIe Législature (1842-1846)

    Les élections législatives françaises de 1842 font suite à la dissolution de la Chambre des députés par le roi Louis-Philippe Ier. Cette dissolution vise à conforter la majorité parlementaire de François Guizot. Ce scrutin a lieu le 9 juillet 1842.

    Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
    Jean Louis Vincent Bernardou
    Joseph Espigat-Sieurac
    Jean-Jacques de Lacombe
    Joseph-Léonard Decazes

    VIIe Législature (17/08/1846-24/02/1848)

    Charles-François-Armand de Bancalis de Maurel d'Aragon
    Edmond de Carayon-Latour
    Louis Daguilhon-Lasselve
    Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
    Jean-Jacques de Lacombe

     

    Assemblée nationale législative (1849-1851)
    Les élections législatives françaises de 1849 eurent lieu au suffrage universel masculin les 13 et 14 mai 1849 afin d’élire les membres de l’Assemblée nationale législative. Elles montrent une géographie électorale de la France qui se maintiendra pour l'essentiel pendant plus d'un siècle.

    Raymond Besse-Lamothe
    Bertrand Lavergne
    Jean-Jacques Fourgassié-Vidal
    Louis Daguilhon-Lasselve
    Edmond Canet
    Joseph Rigal
    Benjamin Juéry
    Philippe Rey (homme politique)

    IIe République


    Élections au suffrage universel masculin à partir de 1848 - Des élections législatives ont lieu en France les 23 et 24 avril 1848. 

    Assemblée nationale constituante (1848-1849)


    Étienne de Voisins-Lavernière
    Charles-François-Armand de Bancalis de Maurel d'Aragon
    Edmond de Carayon-Latour
    Jules Boyer
    Auguste de Puységur
    Pierre Moutou
    Jean Gisclard, remplacé par Augustin de Marliave
    Hippolyte de Tonnac
    Philippe Rey (homme politique)
    Félix de Costecaude de Saint-Victor

    Second Empire

     

    Ire législature (1852-1857)

    Les élections législatives françaises de 1852 ont lieu les 29 février et 14 mars 1852 en France, afin d'élire la première législature du Corps législatif, chambre basse du parlement mise en place par la constitution du 14 janvier 1852. Elles prennent place à la fin de la Deuxième République, après le coup d'État du 2 décembre 1851, au cours duquel Louis-Napoléon Bonaparte, président de la République en exercice, a dissout l'Assemblée nationale.

    Ces élections donnent la quasi-totalité des 261 sièges aux candidats officiels bonapartistes. L'assemblée ainsi élue est la toute dernière de la Deuxième République (jusqu'au 2 décembre 1852) et la première du Second Empire (jusqu'aux élections de 1857).

    Augustin Gorsse
    Edmond de Carayon-Latour
    Jean Gisclard

    IIe législature (1857-1863)


    Les élections législatives ont lieu les 21 juin et 5 juillet 1857 afin de renouveler, pour la première fois, le Corps législatif du Second Empire. Ces élections au suffrage universel masculin se tiennent pendant la phase dite de l'« Empire autoritaire ». Marquées par les pressions du pouvoir et la fraude électorale, ainsi qu'un taux d'abstention de plus d'un tiers des inscrits, ces élections marquent cependant l'acmé du succès électoral de l'Empire (90 % des votants), avant le recul marqué de 1863.

    Augustin Gorsse
    Edmond de Carayon-Latour
    Jean Gisclard

    IIIe législature (1863-1869)

    Les élections législatives ont eu lieu les 31 mai et 14 juin 1863. Il s'agit d'élire la troisième législature du Second Empire. Elles interviennent dans un contexte marqué par des difficultés économiques liées aux mauvaises récoltes, aux effets désastreux sur l'industrie textile, en raison de la pénurie de coton, du blocus des côtes sudistes par les troupes de Lincoln, provoquant faillites et montée du chômage1.

    Les élections se déroulent au suffrage universel masculin. Il y eut 7 292 094 votants. Comme pour les autres élections précédentes depuis 1852, des candidats officiels sont présentés par le gouvernement avec l'appui de l'administration locale.

    Augustin Gorsse décédé en 1868, remplacé par Raymond Gorsse
    Eugène Pereire
    Gustave Daguilhon-Pujol

    IVe législature (1869-1870)


    Les élections législatives de 1869 renforcent l'opposition libérale et républicaine au régime du Second Empire. Elles se déroulent au suffrage universel masculin, comme toutes les élections depuis 1848.

    René Reille
    Raymond Gorsse
    Pierre Daguilhon-Pujol

    IIIe République


    Assemblée nationale (1871-1876)

    Charles-Jean-Joseph-Louis Decazes
    Benjamin Jaurès
    Auguste Jamme
    Alexandre de Bermont
    Paul David Guibal
    Louis Daguilhon-Lasselve
    Alexandre Lecamus

    Ire législature (1876-1877)

    René Reille
    Louis Cavalié
    Bernard Marty
    Jean-Louis Combes-Gary
    Bertrand Lavergne

    IIe législature (1877-1881)

    René Reille
    Raymond Gorsse invalidé, remplacé par Louis Cavalié
    Jean-Louis Combes-Gary
    Pierre Daguilhon-Pujol
    Bertrand Lavergne

    IIIe législature (1881-1885)

    Frédéric Thomas décédé en 1884, remplacé par Jean-Pierre Abrial
    Gabriel Compayré
    René Reille
    Louis Cavalié
    Bertrand Lavergne

     - Les député du TARN de 1789 à 1957

    IVe législature (1885-1889)

    Jean Jaurès
    Gabriel Compayré
    René Reille
    Louis Cavalié
    Jean-Baptiste Héral
    Bertrand Lavergne

    Ve législature (1889-1893)

    Jérôme Ludovic de Solages
    Jean-Pierre Abrial
    Ludovic Dupuy-Dutemps
    Charles Poulié
    René Reille
    Louis Cavalié

    VIe législature (1893-1898)

    Jean-Pierre Abrial décédé en 1894, remplacé par André Charles Henri Marie Reille
    Jean Jaurès
    Émile Compayré
    Auguste de Berne-Lagarde
    Ludovic Dupuy-Dutemps
    René Reille

    VIIe législature (1898-1902)

    René Reille remplacé en 1898 par Amédée Reille
    Xavier Reille
    Édouard Andrieu
    Jérôme Ludovic de Solages
    Émile Compayré
    Paul Gouzy

    VIIIe législature (1902-1906)

    Amédée Reille
    Xavier Reille
    Édouard Andrieu
    Jean Jaurès
    Émile Compayré
    Paul Gouzy

    IXe législature (1906-1910)

    Amédée Reille
    Xavier Reille
    Édouard Andrieu
    Jean Jaurès
    Paul Gouzy élu sénateur en 1909, remplacé par Jacques Rolland
    Joseph de Belcastel

    Xe législature (1910-1914)

    Henry Simon
    Amédée Reille
    Jean Sabin
    Édouard Andrieu
    Jean Jaurès
    Jean-Marie Guiraud

    XIe législature (1914-1919)

    René Reille-Soult de Dalmatie décédé en 1917
    Henry Simon
    Jean Sabin
    Édouard Andrieu
    Jean Jaurès décédé en 1914
    Jean-Marie Guiraud

    XIIe législature (1919-1924)

    François Reille-Soult
    Louis Mauriès
    Albert Thomas (homme politique) démissionne en 1921
    Élie Dor de Lastours
    Henry Simon
    Joseph de Belcastel

    XIIIe législature (1924-1928)

    Henry Simon décédé en 1926, remplacé par Lucien Coudert
    Henri Sizaire
    Joseph Paul-Boncour
    François Morel (homme politique)

    XIVe législature (1928-1932)

    François Reille-Soult
    Jean Calvet
    Laurent Camboulives
    Henri Sizaire
    Joseph Paul-Boncour élu sénateur en 1931

    XVe législature (1932-1936)

    François Reille-Soult
    Lucien Coudert
    Ernest Malric
    Laurent Camboulives
    Louis Fieu
    Emery Compayré

    XVIe législature (1936-1940)

    Augustin Malroux
    François Reille-Soult
    Salomon Grumbach
    Ernest Malric
    Louis Fieu
    Emery Compayré

    Gouvernement Provisoire de la République Française
    Deuxième assemblée constituante (1946)

    Roger Garaudy (PCF)

    Maurice Deixonne (SFIO)

    François Reille-Soult-Dalmatie (MRP)

    Clément Taillade (MRP)

    Première assemblée constituante (1945-1946)


    Roger Garaudy (PCF)

    Salomon Grumbach (SFIO)

    François Reille-Soult-Dalmatie (MRP)

    Clément Taillade (MRP)

     

    Quatrième République


    Troisième législature (1956-1958)


    Marcel Pélissou (PCF)

    Maurice Deixonne (SFIO)

    François Reille-Soult-Dalmatie (MRP)

    Alfred Reynès (UFF)

    Deuxième législature (1951-1956)


    Maurice Deixonne (SFIO)

    Lucien Coudert (Radical)

    François Reille-Soult-Dalmatie (MRP)

    Clément Taillade (MRP)

    Première législature (1946-1951)


    Roger Garaudy (PCF)

    Maurice Deixonne (SFIO)

    François Reille-Soult-Dalmatie (MRP)

    Clément Taillade (MRP)

     


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