-
- Réfugiés belges : le documentaire !
Le documentaire sur la famille belge réfugiée pendant la guerre de 14-18 à Graulhet a été diffusé sur l’antenne de la deuxième chaine flamande le 2 mai 2017. Voici le lien pour le visionner...même si c'est en langue flamande.
https://www.canvas.be/video/een-trieste-maar-vrolijke-tijd
Votre blog est partie prenante dans cet événement puisque Monsieur DEPOORTERE a écrit pour MEMOIRES DE GRAULHET le récit de sa famille et permis la publication de photos. L'Association Mémoire Sociale Graulhétoise a fait des recherches auprès des Archives Départementales du Tarn et Madame Line MAZENS - Co-Présidente de cette Association - a servi de guide dans les lieux graulhétois, témoins du passé de cette famille belge réfugiée .
JUIN 2016
Monsieur Johan Depoortere et son épouse sont venus à Graulhet le lundi 27 juin 2016 et ont pu (re)voir les lieux où la famille a vécu. Ils ont également rencontré Madame Monique MAUREL (ici en photo entre Madame et Monsieur DEPOORTERE), descendante de la famille SICARD ainsi que Line MAZENS co-présidente de l'Association Mémoire Sociale Graulhétoise et de Monsieur Robert PY membre également de cette association.
Madame Monique MAUREL en photo entre Madame et Monsieur DEPOORTERE
LA PRESSE FLAMANDE
Suite à l'article paru dans la Dépêche du Midi , le quotidien flamand HET NIEUWSBLAD a consacré une page à l'histoire de la famille Thevelein en titrant
" Je veux savoir qui a aidé ma mère à survivre à la guerre "LA PRESSE TARNAISE
L'article signé Gérard DURAND paru dans la Dépêche du dimanche 3 juillet 2016.
Un ancien journaliste belge sur la trace de ses aïeux
Pour contacter Johan Depoortere, pour d'éventuels renseignements, jdpwash@gmail.com.
Il était venu à Graulhet à 19 ans, avec sa mère en route pour Lourdes. À 72 ans Johan Depoortere, a refait la route dans le seul but de retrouver la trace de ceux qui ont accueilli ses grands-parents, durant 5 ans, il y a 100 ans. «Quand en juillet 1914 la guerre éclate, ils fuient leur village de Flandre Occidentale, pour prendre le bateau pour l'Angleterre, et au terme d'un long voyage indécis la famille Thevelein se retrouve à Graulhet. Elle est logée dans une maison modeste de la rue St Jean. Deux fils sont mobilisés, un autre travaille à la mégisserie, les filles vont à l'école. L'accueil a été chaleureux.». L'ancien journaliste international à la télévision belge flamande s'y est rendu, dès son arrivée. «C'est une quête d'histoire et de lieux, un pèlerinage familial !».
La ville a accueilli de nombreux réfugiés belges
Il y a quelques années, il avait retrouvé les correspondances d'après-guerre entre ses aïeux revenus au pays et un industriel graulhétois, Lucien Sicart qui semble avoir joué un rôle essentiel dans l'hébergement des réfugiés. «Je me rends compte que très peu de gens ici, savent que la ville a accueilli des réfugiés belges durant la Première Guerre Mondiale. Mes recherches, relayées par le blog d'histoire locale «Mémoires de Graulhet » pour l'instant restent vaines. J'ai rencontré ce mardi Madame Monique Maurel, qui est la petite fille du frère de Lucien Sicart. J'ai appris peu de chose, elle connaissait peu son grand-oncle. Il me manque beaucoup de détails qui me permettraient de me faire une représentation plus complète de ce qui s'est passé il y a plus d'un siècle». Recherches de moments finalement heureux dans le Tarn, avant le retour fin 1919 à Westrozebeke, dévasté par la bataille d'Ypres toute proche. «Tout était à reconstruire. Mais mon grand-père avant de partir avait enterré ses économies au pied d'un pommier. Il y était toujours miraculeusement à son retour. Cette chance les a aidés à reconstruire et repartir». Un périple qui intéresse la télévision belge qui envisage de réaliser un sujet.
Retrouvez l'article : Réfugiés belges à Graulhet en 1914
Tags : graulhet, réfugiés, belge, sicard, presse flamande
-
Commentaires