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LE PROGRAMME COMPLET
DES FETES DE BIENFAISANCE ET d'AVIATIONLa visite des monoplans coûtait 25 centimes
DIMANCHE 11 NOVEMBRE 1912
L'AVIATEUR LUCIEN DEMAZEL A GRAULHETUne carte postale avec l'aviateur DEMAZEL dans le Gers à LECTOURE
LES AVIONS DANS LE CIEL DE GRAULHET A TRAVERS LES CARTES POSTALES
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LES FEMMES DE PANESSAC
Première diffusion le vendredi 8 MARS 2013
MEDIATHEQUE MARGUERITE YOURCENAR à GRAULHET
Exposition, témoignages et échanges sur les conditions de vie
dans le quartier de Panessac au XX° siècle
organisé par
MEMOIRE SOCIALE GRAULHETOISE
Merci à l'Association MEMOIRE SOCIALE GRAULHETOISE
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Il faudra si faire...l'ancienne gare est totalement démolie...
les photos du 13 au 15 février 2013Retrouvez l'histoire du petit train et de la gare dans les articles de MEMOIRESDEGRAULHET dans la rubrique PATRIMOINE
LES CARTES POSTALES DE LA GARE AU TEMPS DE SA SPENDEUR....
il y a quelques mois...
Les photos du 19 février 2013....
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En publiant, il y a quelques mois, les photos du Carnaval organisé par l'UCAG en 1962, je ne pensais pas susciter autant de réactions et surtout de souvenirs. Une graulhétoise vivant en région parisienne : Yvelise Z. s'est reconnue sur un char déguisée en escargot et mieux encore Christine P. qui vit à Graulhet m'a adressé une photo la montrant déguisée en escargot sur le char ! (qu'elle me permet de publier). La voici :
Le Char descendant la Côte des Peseignes
La preuve que ce Carnaval fut organisé par l'UCAG
en 1962 en dehors de la période de la Quinzaine commercialeMERCI à ces deux internautes fidèles et partageuses de souvenirs !
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La blogosphère graulhétoise est riche
MEMOIRESDEGRAULHET
met en avant le blog de Thierry CAYLA et sa passion pour
Robert VERGNES....Extrait de son blog
Salut l’Ami, adieu le Trésor !
Ce n’est pas le titre de son dernier livre , mais plutôt le dernier chapitre de la longue vie de baroudeur de l’Aventurier, Explorateur, Cinéaste, écrivain Robert VERGNES qui s’est éteint le 22 Avril 2004, à PARIS loin de sa terre natale GRAULHETOISE ou il vit le jour le 10 juillet 1927.Il était connu pour ses aventures sur la légendaire île del Coco au large du Costa Rica, à la recherche de l’un de ses Trésors, le plus fabuleux, celui de Lima du pirate MORGAN. Envoûté par cette île , il y consacrera d’ailleurs la plus grande partie de son temps et y effectuera environ une dizaine d’expéditions, sans réultat. Il rassemblera au cours de sa vie la plus importante documentation existante sur le sujet. (On le surnommera Docteur Es Coco) Ce sujet fera rêver longtemps, bien des hommes ( Mario BELLO le beau père de la Star Hollywoodienne Jean HARLOW à Franklin ROOSEVELT , trentième président des Etats Unis ).
Incontournable au travers de ses expositions d’Antiquités dans le monde entier. il ouvrira sa première boutique d’Antiquaire d’objet Précolombien, rue de l’Echaudé à Paris, puis une autre rue de Seine.
A vingt ans il vivait de son Art la peinture , sur la butte Montmartre, à PARIS....
Août 1952, il pose une énigme aux préhistoriens, en découvrant avec son jeune frère deux Vénus de l’époque Magdalénienne, près de Penne sur Tarn.
En 1953, avec Norbert CASTERET, il descend dans le gouffre le plus profond du monde à La Pierre Saint-Martin ....Puis l’aventure des contrées lointaines l’appelle, il part pour le PANAMA, il découvre les Indiens de la tribus des Chocos et se lie d’amitié avec leur chef GUAINORA…….La suite sur son site que je vous conseille vivement de découvrir
Parution d'un article dans La Depêche du 19/01/2013
Visitez son site " La Dernière Ile au Trésor "
Cliquez sur le lien dans la rubrique " Liens Tarnais "
© LA DEPECHE DU MIDI du 19/01/2013 - REPRODUCTION INTERDITE
Toujours aussi passionné depuis l'adolescence par l'Aventurier Robert Vergnes, à la recherche du moindre document qui puisse retracer une partie de la vie du Graulhétois, Thierry Cayla vient de rencontrer James Maingot un des compagnons d'Aventure d'une expédition en 1982 à l'île de Coco au Costa Rica à la recherche du Trésor de Lima. Les divers documents qu'il a rassemblés continueront à alimenter le site qu'il a créé depuis 2002.
Si vous possédez des documents, photos, films etc … vous pouvez le contacter par l'intermédiaire de son site www.cocostresors.com
A présent Thierry Cayla depuis quelques années s'intéresse au Trésor de Rennes le Château et coïncidence étrange il à souvent rencontré parmi les anciens chercheurs de Trésor, des anciens compagnons d'expéditions de Robert Vergnes sur la «Dernière Île au Trésor»
© MEMOIRES DE GRAULHET - REPRODUCTION INTERDITE sous quelque forme et quelque support que ce soit.
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Départ des enfants pendant la grève de 1909-1910 - rassemblement devant la Halle
Photos au fil des années... dans les années 70
Lors de sa démolition en ...1981
Bien avant dans les années 20....juste devant
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La Société des Tramways à vapeur du Tarn
par Martial Respaut et Jacques Chapuis
Article majeur et conséquent mais quasi introuvable publié dans la revue
" Chemins de fer régionaux et urbains n° 190 de 1985 " sur les tramways à vapeur du Tarn. MEMOIRES DE GRAULHET vous propose d'en lire les extraits concernant la ville de Graulhet..../...
SECTION GRAULHET - LABOUTARIE (12,718 km)
le tracé de LABOUTARIE à GRAULHET
L'inauguration eut lieu le dimanche 30 juin 1895.
Ouvrages
Aucun ouvrage d'art sur cette section, mis à part quelques allongements de buses sous la chaussée.
Description de la ligne.
L'avant projet prévoyait le départ de la ligne sur la place du marché de Graulhet, dite place du Foirail, mais devant l'opposition de la municipalité, la Compagnie acheta à M. Albigot, au lieu dit La Portanelle, une bande de terrain d'un peu plus de 300 mètres de longueur. Cet emplacement n'est alors couvert que de champs et l'avenue qui sera tracée, plus tard, le long de la gare n'existe pas encore. La cour des voyageurs est reliée au Pont Neuf par un court chemin.
La ligne quitte la gare par une courbe, à droite, de 50 m de rayon et gagne la partie droite de la route GC n° 86 (actuellement N 631) où elle est établie, sur tout son parcours jusqu'au pont du Midi à Laboutarié, en rails noyés en bordure de la chaussée. Au Pk 10,995 65 - les points kilométriques étant décomptés à partir de Laboutarié - se trouve la halte de Ferran, à l'angle de la route et du chemin desservant cette localité. Toujours à droite et sur l'emprise routière la ligne traverse le ruisseau de Mariote, avant la halte de Saint Hilaire (Pk 7, 235 35), près du hameau et du chemin de St Hilaire à St Mémy. La route se poursuit, presque en ligne droite, avec des courbes de 600 à 4 000 m. Peu après Saint Hilaire, traversée du ruisseau du Bouquet d'Aze. La vallée se resserrant, la route se rapproche du Dadou et, après des courbes de 950 et 550 m, la ligne dessert la halte de Bruc (Pk 5,540), sans évitement au coin du chemin de Bruc à Sieu ; entre cette halte et le Pont Vieux se trouvent des courbes plus nombreuses (une de 1 200 m, trois de 200 m et une de 400 m) et la petite rampe déjà mentionnée La voie traverse le ruisseau de Labit avant le hameau du Pont Vieux puis continuation en ligne droite et rayon de 2 000 m ; halte de Montdragon (Pk 3.P05 15) au chemin conduisant au villaqe sur le coteau. Peu après traversée du village de Laboutarié simple arrêt avec abri et franchissement du ruisseau d'Assou sur le pont routier de 12 m d'ouverture. A la sortie du village une courbe de 225 m précède la dernière ligne droite.Plusieurs arrêts furent créés postérieurement à la mise en service, notamment celui de La Ventenayé près de Ferran et au Pont Vieux.
SECTION DE GRAULHET - LAVAUR (20,870 km)
L'ouverture de cette section a eu lieu en deux étapes : pour les voyageurs le 26 mai 1903 et pour les marchandises le 26 octobre suivant.
Caractéristiques de la section
Le profil en long comporte quelques rampes ayant nécessité des travaux de terrassement assez importants (10 000 m3 au col d'Ambres).
De nombreux ouvrages d'art doivent être soit modifiés (ouvrages routiers) ou construits spécialement, les plus importants sont :La modification d'une arche du Pont Saint Jean, dit aussi Pont Neuf, à Graulhet ;
L'élargissement du pont du Verdaussou, dans Graulhet ;La construction du viaduc sur le Dadou, à Briatexte : pont métallique à poutres droites, espacées de 2,60 m, de 3,00 m de hauteur, en quatre portées de 23,20 m aux extrémités et de 29 m pour les travées centrales. Le niveau des rails, à la partie supérieure des poutres, se trouve à environ 24 mètres au dessus du lit du Dadou ; de part et d'autre de la voie sont aménagés deux trottoirs en bois, en encorbellement, la distance entre les garde fous étant de 4,00 m. Cet ouvrage a été réalisé par les Établissements Daydé et Pillé, 29, rue de Châteaudun à Paris avec ateliers à Creil ; les épreuves eurent lieu le 30 avril 1903 avec un train composé de 2 locomotives et de 6 wagons de ballast chargés à 14 tonnes brutes chacun. La proximité de la gare de Briatexte a conduit à établir la culée de ce côté en éventail ;
Élargissement du pont routier de La Ramière sur le Dadou ;
Construction d'un passage routier supérieur, à tablier métallique, sur la tranchée d'Ambres.
Élargissement du pont routier à trois arches sur l'Agout ;
Modification du pont métallique sur la ligne Midi à Lavaur.
Description de la ligne
Traversée de GraulhetPour la mise en service de cette section la gare de Graulhet va subir d'importantes extensions. En la quittant par une courbe de 60 m de rayon, la voie prend l'accotement droit du Chemin de Crins (Allée des Mûriers) puis coupe le boulevard de la gare (Amiral Jaurès) qu'il suit un moment à droite et atteint le pont Saint Jean par une courbe de 40 m et la traversée du boulevard ; le passage sur ce pont nécessita la démolition de l'escalier descendant à la rivière et la reconstruction d'une arche pour améliorer la courbe. Laissant le square de la gare (Foch) sur la gauche, traversant le pont et la place du Foirail, dite aussi du Jourdain, la voie, à gauche dans la rue Gambetta, attaque la rampe, passe devant la Caisse d'Épargne et, par une courbe de 40 m, traverse le ruisseau du Verdaussou. Par une autre courbe, de 50 m, dans la rue Gambetta, la voie passe de gauche à droite, traverse en courbe de 40 m le carrefour de la rue Saint Projet et de la route de Carcassonne (D 84 actuelle) et, suivant la droite de la rue de la République (Charles de Gaulle) arrive à l'arrêt de Graulhet -St Projet (Pk 13,513 de Laboutarié et 0,792 20 de la gare de Graulhet).
.../... La Compagnie demanda, le 7 janvier 1903, la création d'une voie de garage à la sortie de Graulhet, pour le retrait de la machine utilisée éventuellement en double traction, mais la municipalité s'y opposa pendant longtemps. Les machines Decauville développant un effort de traction de 2 400 kg, pouvaient théoriquement remorquer 40 tonnes, machine non comprise....
LES GARES
Comme indiqué précédemment, le réseau comportait 7 gares : Graulhet, la plus importante, centre de l'exploitation ; 3 gares de jonction au grand réseau : Laboutarié, Lavaur, Saint Sulpice sur Tarn ; une d'embranchement : La Ramière et deux de passage : Briatexte et Saint Lieux les Lavaur.
Gare de Graulhet.Trois stades successifs marquèrent l'évolution du réseau la première modification entraînant une véritable reconstruction, la seconde se limitant à des aménagements.
Première situation : La gare avait alors un BV (Bâtiment voyageurs) de 21,10 m de longueur sur 8,10 m de largeur, comportant un étage fortement mansardé comprenant cependant un logement pour le chef de gare. Le rez-de-chaussée était aménagé avec salles d'attente, hall d'accès avec guichet, banc à bagages, kiosque à journaux et tabac, ainsi que les bureaux du chef et du téléphone, dans la partie Nord, ces bureaux étant séparés par l'escalier, avec accès également par le pignon, du logement de l'étage.
Dans le prolongement de ce BV, au Nord, une remise, en bois, de 25 m sur 5 m utiles avait reçu une voie pour le remisage de deux voitures ; elle était prolongée par un local de 5 x 4 m sur cave. Dans le projet initial cette remise aurait du être installée le long de la propriété de M. Bonnet, en face de la gare de Laboutarié.
Plus loin, du même côté de la voie principale, une halle à marchandises en bois, avec auvents A l'extrémité Sud de la voie principale se trouvait une remise à machines, en bois, de 15 x 4,84 m, précédée d'une plaque tournante ; un atelier de 10,52 x 4,84 m était accolé à la remise.
Enfin, au Nord de la cour des voyageurs, un petit bâtiment de 6,72 x 3,34 m abritait la pompe qui puisait l'eau dans un puits voisin pour alimenter le château d'eau proche de la remise à machines. L'alimentation en eau constitua longtemps une pomme de discorde entre la Compagnie et la municipalité ; l'eau du puits avait une teneur élevée en calcaire d'où plusieurs projets de recours à l'eau de la Ville qui échouèrent successivement : la STT demandait un raccordement direct et on lui proposait de se raccorder à une mégisserie, puis elle souhaitait un tarif inférieur à celui finalement proposé, etc. La Ville il est vrai avait d'énormes problèmes d'adduction d'eau qui ne seront résolus que bien plus tard. En attendant un puisage directement dans le Dadou fut réalisé, avec construction d'une station souterraine de pompage et conduite de refoulement traversant le jardin dit « Square de la Gare ». Finalement l'eau du Dadou étant de plus en plus polluée par les mégisseries et la distribution urbaine s'améliorant, l'alimentation des machines fut assurée, à partir de 1929, par un branchement direct sur le réseau de la ville.
Seconde situation : La mise en service de la ligne de Lavaur allait entraîner un accroissement de trafic et de matériel qui nécessitait une adaptation des moyens dont disposait la gare de Graulhet. Le BV fut surélevé pour obtenir un premier étage non mansardé et permettre le transfert du siège de l'exploitation précédemment à Laboutarié qui occupait deux pièces de l'étage, l'appartement du chef de gare en comptant cinq plus une cuisine, si, toutefois, les plans en notre possession sont conformes à la répartition réelle.
Les anciens bâtiments en bols, remise et atelier, furent transférés à Lavaur et remplacés par un bâtiment en dur de 32 x 10,20 m ; la moitié, côté Nord, recevant trois voies permettant de remiser côté voie et côté ville, de 25 m de longueur, était encadrée par des quais hauts de 10 et 15 mètres. Au-delà, la voie longeant la halle côté ville desservait un important quai découvert.
machines, l'une des voies étant plus courte pour laisser la place au local abritant la machine motrice de l'atelier; celui-ci occupait toute la moitié Sud et était desservi par le prolongement de la voie centrale ; un bâtiment annexe de 4 x 6 m servait de magasin.
A l'extrémité de la voie en cul de sac, longeant le BV, un bâtiment en dur, de 16 x 7 m avait été installé pour recevoir les ateliers de menuiserie et de peinture.
La halle aux marchandises fut simplement allongée, en couvrant le quai de 10 m côté Sud et en le prolongeant par un bureau, en bois, de 5 x 5 m. Une seconde voie fut mise en place le long du grand quai découvert.
La remise à voitures, à l'extrémité du BV, reçut, probablement vers cette même époque une seconde voie, tandis qu'en 1916 le plan des voies fut remanié pour la desserte de la halle et du quai avec installation d'une traversée jonction double.Troisième situation : En 1928 une délibération du Conseil Général du Tarn, en date du 9 mai, faisant suite une demande de la STT qui avait acquis une bande de terrain au-delà de la voie principale, concerne de nouvelles modifications. Il est prévu de remplacer la halle primitive, en bois et en mauvais état, par l'installation en béton armé d'un quai couvert de 60 m de longueur, englobant l'ancienne voie principale, celle-ci étant remplacée par une nouvelle ; à ce quai couvert s'ajoutait, en prolongement, un quai découvert de même longueur.
Au-delà de la nouvelle voie principale étaient prévus une remise pour 4 voitures et un atelier de charpentier. A l'extrémité Nord une nouvelle voie devait recevoir le pont bascule, transféré de son ancien emplacement.
Devant le dépôt un pont tournant de 6,50 m devait remplacer l'ancienne plaque afin de pouvoir tourner l'auto-motrice reçue en 1925. L'ensemble comportait l'implantation de 585 m de voies nouvelles.
Toutefois le déficit apparu en 1929 mit un sérieux frein à ces travaux ; La halle fut simplement consolidée et allongée, mais en conservant le quai de 5 mètres de largeur, au lieu des 8 prévus et 14 m de largeur totale en englobant une voie. Au dépôt l'ancien local du moteur fut aménagé en vestiaire, lavabos et douches. Sur le nouveau terrain ne fut posée qu'une voie provisoire ayant servi aux terrassements.
En 1932 un garage de 6,80 x 3,38 m est édifié dans la cour des marchandises pour le camion utilisé pour les livraisons à domicile.
Actuellement : Une grande partie des emprises de la gare a été transformée en jardin public et en terrain de sports ; les seuls bâtiments qui restent sont le dépôt qui abrite des équipements sportifs et le BV, utilisé comme club omnisport de la Ville et logements en fonction.Haltes diverses.
Toutes les haltes de la première section se trouvaient en bordure de la route, la voie principale, rectiligne, restait en bordure de la chaussée, une voie d'évitement ou destinée à recevoir les wagons à charger ou décharger, avait une longueur de 85 et 91 m pour Ferran et Montdragon, de 58 m seulement, toujours entre aiguillages, pour Saint Hilaire. Cette voie était bordée, du côté opposé à la route, d'un emplacement empierré de 4 à 6 m de largeur, pour accueillir les véhicules de la clientèle venant charger ou décharge des wagons, et régnant sur une plus ou moins grande longueur. Sur cette section les abris, implantés à l'extrémité de l'évitement du côté de la route donnant accès à la localité desservie, n'avaient que 4 x 1,80 m, ouverts côté voie, avec toit à une seule pente et banc au fond.
Sur la section de Graulhet à Lavaur les abris des haltes avalent été améliorés : de 4,00 x 2,30 m sur dalle béton, ils avaient des petits côtés en briques, le fond restant en bois, la façade ayant une porte centrale avec des pans pleins, en briques sur ossature en bois, de part et d'autre.
Enfin existait encore un troisième modèle dont les extrémités étaient en briques mais avec ouverture de chaque côté et simples refends de part et d'autre des deux ouvertures, en bois ne descendant pas jusqu'au sol et abritant deux bancs
EXPLOITATION
L'exploitation de la section Laboutarié- Graulhet fut, dès son ouverture, des plus active mais avec des méthodes de travail assez artisanales.
Comme la plupart des réseaux de cette catégorie, les autorités locales, à la demande des habitants de fermes ou de hameaux, avaient tendance à demander une multiplication des arrêts tandis que la STT s'efforçait de les refuser en en faisant ressortir les inconvénients sur la marche des trains et les prix de revient. Parmi les modifications notons, au passage, la création des arrêts de La Ventenayé et du Pont Vieux, déjà mentionnés, sur Laboutarié ; un arrêt demandé à Mariote, fut refusé, étant trop près de Saint Hilaire
ACCIDENTSLes accidents touchant des personnes, souvent âgées ou handicapées, circulant sur la voie ou commettant des imprudences, furent le lot de tous les réseaux ; à partir des années vingt vinrent s'y ajouter les collisions avec les véhicules routiers à moteur conjointement à ceux des voitures à chevaux ou dus à des animaux.
Les quelques déraillements ne furent jamais graves et il semble bien qu'il n'y eut pas de victimes parmi le personnel du réseau.
A titre documentaire, pour situer l'ambiance de l'époque et, aussi, parce qu'il eut pour théâtre la partie de la ligne maintenant réutilisée par le Chemin de fer Touristique du Tarn, nous rapporterons un déraillement survenu le 28 avril 1925 : la machine Decauville n° 2 du train 16, parti de Graulhet à 10 h 35, dérailla une première fois à l’entrée de la gare de Saint Sulpice, le bissel ayant quitté les rails en entraînant la rupture d'une «chandelle» du ressort. Le mécanicien n'ayant pas aussi à remplacer la pièce, cala le rassort avec un taquet de bois et le train put repartir à 20 h 25, avec 1 h de retard, pendant que l’unique employé de Saint Sulpice en avisait Graulhet par téléphone. Le train arriva sans encombre à un point situé à Giroussens et Les Martels, sensiblement à l'endroit où cette machine avait déià déraillé le premier jour de l'exploitation. Cette fois six roues sortirent des rails. Le mécanicien, le chauffeur et le chef de train se mirent à l'œuvre mais ne purent réussir à remettre la machine sur les rails, le vérin s'enfonçant dans la terre meuble du remblai tandis qu'un fer à « U » se brisait. N'ayant pu aboutir, le chef de train partit, à pied, à La Ramière (3 600 m) demander le secours par téléphone mais ne put obtenir de réponse, le personnel de garde à Graulhet s'étant absenté. Il se rendit alors à Giroussens pour louer une voiture afin de rapatrier les six voyageurs du train. Pendant ce temps une personne de Graulhet dont le mari était dans le train, ne voyant pas arriver celui-ci, loua une autre voiture pour aller à sa rencontre. A Briatexte elle trouva le Chef de section VB et un cantonnier qui attendaient le train, les prit dans la voiture et le groupe se dirigea vers Saint Lieux où ils apprirent que le train était passé ; revenant vers Briatexte. Le Chef de section eut l'idée de s'arrêter du côté des Martels et retrouva le train en détresse. Retournant enfin à Graulhet grâce à la voiture, il avisa le Chef d'exploitation, le Chef de dépôt et trois ouvriers qui partirent avec une machine de secours et un wagon chargé du matériel nécessaire au relevage. Celui-ci effectué les deux trains arrivèrent à Graulhet à 7 h 46 après avoir croisé le train 11 à La Ramière. D'après l'enquête, le déraillement à Saint Sulpice avait pour origine l'absence de surécartement dans la courbe d'entrée. Il fut reconnu que les agents du train avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir, mais ceux d'astreinte à Graulhet furent sanctionnés pour faute lourde : manque d'avis au responsable du retard anormal du train et absence injustifiée.
SERVICE DES TRAINS
Jusqu'à la Guerre 1914-1918. la marche des trains s'élevait à 4 circulations dans chaque sens, entre Graulhet et Laboutarié, donnant et relevant les correspondances des trains d'AIbi ou de Castres. Pour éviter que les convois de Graulhet et le tramway à chevaux de Réalmont se trouvent simultanément sur les voies parallèles et entrecroisées à l'entrée de Laboutarié, la voiture de Réalmont passait 20 minutes après le premier train venant de Graulhet, 7 minutes avant le second, 3 après le troisième et 15 après le quatrième ; inversement la voiture de Réalmont quittait la gare 2 minutes avant les deux premiers trains et la quatrième et 10 avant le troisième.
En 1903 des trains spéciaux eurent lieu, notamment les 27 et 28 septembre pour l'inauguration, par le Ministre de la Marine Camille Pelletan de la statue de l'Amiral Jaurès et de divers bâtiments de la Ville de Graulhet un train transportant le Ministre et sa suite, un autre les Sociétés de musique, d'autres, enfin, la foule attirée par la manifestation. D'autres trains spéciaux étaient mis en marche pour les Fêtes de Lavaur, de Briatexte, de St Hilaire, etc C'est ainsi que pour les fêtes de Lavaur, en cette année 1903, en plus des trains normaux du samedi et du dimanche, 4 circulations durent être organisées, dont 2 pour le rapatriement du matériel.../...Ces trains spéciaux ramenant à Graulhet les joyeux fêtards restent dans les souvenirs des anciens cheminots, hélas peu nombreux aujourd'hui; d'autres trains reçurent des surnoms, tels celui « des laveuses » surtout fréquentés par ces ménagères allant laver leur linge à Saint Hilaire ou le Dadou n'était pas encore pollué par les mégisseries ; sa fréquentation était telle qu'un ou deux wagons plats devaient être réservés pour le transport des paniers de linge.
L'année 1907 sera troublée par une grève des ouvriers des mégisseries ; une autre grève de ce genre dura 4 mois à la fin de 1909, ayant nécessité la protection de la Troupe en gare de Graulhet et sur les trains transportant les peaux jusqu'à Laboutarié. Les seules conséquences pour la STT fut une diminution des dividendes versés en fin d'année aux actionnaires .Pendant la Guerre 1914-1918 l'arrêt dos trains de voyageurs provoqua une paralysie totale, suivie d'une reprise partielle avec 2 AR les lundis, jeudis samedis, puis les dimanches
De 1925 à 1930 les horaires des trains de voyageurs changeront peu. les variations de quelques minutes étant fonction des modifications des trains du Midi. Cette année 1930 est la dernière au cours de laquelle le service sera intégralement assuré par le rail.LE TRAFIC MARCHANDISES
Le principal trafic avait lieu entre Graulhet et Laboutarié qui fut toujours la section la plus rentable.
Le principal trafic portait sur le québracho, bois d'Amérique du Sud et particuilièrement d'Argentine dont on extrait le tannin qui, par la sulfitation, inventée par Robert Lepetit, permet le tannage rapide ; cette découverte, coïncidant presque avec l'ouverture de la ligne, entraîna un grand développement de la mégisserie. M. Bonnet par ses contacts avec les milieux profes-sionnels, était bien au courant du volume des transactions sur la place de Graulhet et, puissamment aidé par la Compagnie du Midi, réussit grâce à des abaissements des coûts de trans-port, â ramener à la ligne plus de 80 % de ce trafic en le faisant transiter par Le Havre et non plus par Bordeaux puis le PO et Gaillac.
Curieusement l'apogée de ce trafic s'était situé en 1914-1918, en raison des très importantes commandes de l'Intendance. Au cours de ces années le transit des peaux brutes à traiter entre Mazamet et Graulhet provoqua de tels engorgements en gare de Laboutarié que M. Valiech dut demander de suspendre l'acceptation des marchandises pour Graulhet pendant un certain temps la cour de la gare de Graulhet était en effet encombrée de 1 500 fûts de québracho que les megissiers, faute de main d'oeuvre, ne pouvaient décharger, quarante wagons se trouvaient en souffrance à Graulhet en février 1916.
Comme indiqué, le second trafic important était celui des peaux brutes pour lesquelles les accords entre Midi et STT avaient fait disparaître la concurrence après la mise en service de la ligne de Lavaur.
Un autre trafic important, mais sujet à des fluctuations, était celui des déchets de peaux pour la fabrication de colle.
En dehors de ces activités propres à la mégisserie, le réseau acheminait les charbons de Carmaux, via Laboutarié, pour Graulhet et Briatexte, ainsi que les autres transports habituels, vins en futs, fourrages, etc...Ces différents trafics allaient toutefois s'effondrer les uns après les au-res : à partir de 1925 l'ndustrie de la pausserie, tributaire des importations d'Australie et d'Amérique du Sud, subit une crise grave qui se répercute sur les tonnages transportés, les recet-tes diminuent de plus de 30 % mais, par le jeu des relèvements de tarifs qui, à la STT, étaient particulièrement bas et une gestion stricte, l'équilibre peut être maintenu jusqu'en 1928-1929 en ne versant plus de dividendes aux actionnaires depuis 1925-1926.
Les autres trafics, tels que les charbons de Carmaux, sont accaparés par la concurrence à tel point qu'en novembre 1929 le réseau n'enregistre que 8 wagons de 10 tonnes.
La mise en service d'un camion pour lutter contre la concurrence routière pour les peaux, livrées directement aux entreprises depuis Mazamet ou Gaillac, livraison incluse dans les tarifs STT, ne suffit pas ; en 1931, le trafic des québrachos du Havre atteignait encore 3 757 tonnes, l'année suivante il ne sera plus que de 84 tonnes.LES CARTES POSTALES DE LA GARE
© COLLECTION FRANCOIS ET MARCEL MAZENS.On aperçoit ici le château d'eau....
EPILOGUE
La disparition du réseau, en 1937, ne bouleversa pas outre mesure, la vie journalière de la région.
A la fermeture la STT restait propriétaire de tout le matériel de la voie et des installations diverses : téléphone, mobilier, outillages, approvisionnements, ainsi que du matériel roulant et conservait en plus les terrains des garages et des bâtiments et abris. Dès le déclassement promulgué, la Société procéda à la vente des terrains et bâtiments, en partie aux Services de l'Equipement. Le 20 avril , la gare de Graulhet d'abord loué ayant été expropriée par la Ville, la Compagnie ne possédant plus de biens, une Assemblée générale, présidée par Madame Veuve Cazals, décida la dissolution et la liquidation de la Société.
Les voies seront déposées, sur les ponts de l'Agout à Ambres et Saint Lieux et sur le Dadou à La Ramière dès 1936, puis la ligne de La Ramière - Lavaur en 1937, l'ensemble des autres voies en 1938, sauf la gare de Graulhet tandis que dans la traversée de la Ville les voies étaient recouvertes de goudron et ne seront enlevées qu'après la Libération en 1946-47.
Il n'a pas été possible de connaître les divers acheteurs ; d'après M. Cloup, dernier Chef de dépôt, plusieurs marchands de ferrailles se partagèrent les dernières dépouilles pendant l'occupation allemande.
Le « petit train » comme l'appelait les gens de la région, était mort. Grâce à une poignée de mordus dont le premier signataire de cette étude s'honore de faire partie, dont le farouche volonté a fini par vaincre les multiples obstacles, une petite section de la dernière partie construite entre La Ramière et Saint Lieux revit au-jourd'hui sous la forme du « Chemin de fer Touristique du Tarn, mais ceci est une autre histoire....© CHEMINS DE FER REGIONAUX ET URBAINS - REPRODUCTION INTERDITE
© cartes postales COLLECTION FRANCOIS ET MARCEL MAZENS.
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La brochure
du
SPORTING-CLUB GRAULHETOIS1950-1951
Je vous propose de feuilleter la brochure de 28 pages publiée pour la saison 1950-1951 par le Sporting Club Graulhétois. Vous pourrez découvrir la liste des joueurs et leurs mensurations, les dirigeants, des photos d'équipes, le calendrier des matches avec des résultats notés manuscritement par le possesseur de ce bulletin, mais aussi des pages de publicités et une histoire brève du SCG, qui vont vous replonger dans une époque pas si lointaine...les années 50....
Les photos d'équipes
La Brochure
Merci à Simone, Jean-Claude et au prêteur masqué.
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L’hommage de Monsieur Pelletan à l'Amiral Jaurès
Nos lecteurs ont vu dans le dernier numéro des Nouvelles Illustrées, une reproduction de la statue élevée à la mémoire de l'amiral Jaurès sur la place Jourdain, à Graulhet (Tarn), et ils savent que ce monument, œuvre du sculpteur albigeois PECH, a été inauguré par le ministre de la Marine, M. Camille Pelletan, au milieu d'une affluence considérable.
Cette inauguration empruntait un piquant intérêt à ce fait qu'on pouvait remarquer, de droit aux places d'honneur, auprès du ministre radical de la Marine, sur l'estrade dressée devant le monument : d'une part la veuve de l'amiral et son fils, conseiller d'arrondissement républicain antisocialiste et d'autre part M. Jean Jaurès, vice-président socialiste de la Chambre et son frère le capitaine de frégate, commandant le croiseur Galilée, qui vient de se distinguer en enlevant à la barbe des pillards de la côte marocaine les cinq marins de l'équipage LEBAUDY.
Au moment de l'inauguration, après les remerciements du fils de l'amiral et les discours de M. Serres, maire, et du président du comité, le ministre de la Marine a pris la parole. Il a retracé en même temps que la biographie et les hauts faits militaires de l'amiral Jaurès, les vertus qu'il a laissées en exemple aux républicains.
Il a profité de la circonstance pour préciser une définition du patriotisme, qu'il distingue « du chauvinisme particulier de certains partis, qui mettent toute la gloire d'un peuple dans l'adoration de la force brutale et dans les rêves sanglants de la conquête du monde ».
Enfin, le ministre a terminé son discours par un hommage sincère à la mémoire glorieuse de l'amiral Jaurès, général de la Défense nationale pendant la guerre de 1870-1871, à laquelle il prit part.
Le soir même, le ministre de la Marine et les personnes qui l'accompagnaient sont rentrées à Paris.
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J'ai retrouvé dans une revue municipale de 1978 nommée GRAULHET Informations (n°2 de 1978) un article sur le projet de construction d'une passerelle .....le voici. Ce fut longtemps un projet, abandonné ensuite mais qui aujourd'hui se concrétise.MEMOIRES DE GRAULHET ne traite pas de l'actualité sauf si il y a une référence au passé et 1978 c'était il y a...longtemps
Exceptionnellement je reproduis également un article de la revue ARC EN CIEL n°129 écrit par Henry MANAVIT : De l'Ilote et de Millet.L'article d'ARC EN CIEL n°129
(cliquez sur les images)
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Depuis 2006, le 25 octobre est la journée du cuir, journée de la Saint Crépin (le patron des cordonniers).
Crépin et Crépinien venus de Rome, étaient chrétiens et cordonniers à Soissons. Ils fabriquaient des chaussures pour les pauvres, qu'ils ne faisaient pas payer, et pour les riches qui appréciaient leur production.
En 285 ou 286, ils furent dénoncés et conduits devant l'empereur Maximien de passage dans le nord de la Gaule. L'empereur leur ordonna d'abjurer leur foi, ce qu'ils refusèrent vivement. Maximien les fit alors torturer par Rictiovarus, un de ses plus cruels exécuteurs. Celui-ci leur fit enfoncer des roseaux pointus sous les ongles, mais les roseaux jaillirent des mains des saints et vinrent blesser les bourreaux. On les précipita ensuite dans une rivière, avec une meule attachée à leur cou mais ils flottèrent à la surface sans se noyer. Puis l'empereur les fit jeter dans une citerne remplie de plomb fondu, mais une goutte de plomb rejaillit dans l'œil de l'exécuteur qui fut éborgné, tandis que Crépin et Crépinien en sortaient indemnes. Finalement, après qu'ils eurent résisté à plusieurs autres supplices, Rictiovarus les fit jeter dans de l'huile bouillante d'où deux anges vinrent les sortir, tandis que lui-même s'y jetait de rage. Crépin et Crépinien furent finalement décapités le lendemain.
Leurs tombes se trouvent dans l'église San Lorenzo in Panisperna à Rome.
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Graulhet est une commune française située dans le département du Tarn et la région Midi-Pyrénées.
Ses habitants sont appelés les Graulhétois et les Graulhétoises.
- La population de Graulhet est de 12 461 (2015) habitants.
- L'altitude de la mairie de Graulhet est de 150 mètres environ.
- L'altitude minimum et maximum de Graulhet sont respectivement de 126 m et 373 m.
- La superficie de Graulhet est de 56.75 km ² soit 5 675 hectares.
- La latitude de Graulhet est de 43.764 degrés Nord et la longitude de Graulhet est de 1.992 degrés Est.
- Les coordonnées géographiques de Graulhet en Degré Minute Seconde calculées dans le système géodésique WGS84 sont 43° 45' 39'' de latitude Nord et 01° 59' 19'' de longitude Est.
- Les coordonnées géographiques de Graulhet en Lambert 93 du chef-lieu en hectomètres sont: X = 6 185 hectomètres Y = 62 963 hectomètres
- Les villes et villages proches de Graulhet sont : Busque (81) à 3.20 km de Graulhet, Labessière-Candeil (81) à 4.32 km de Graulhet, Cabanès (81) à 5.52 km de Graulhet, Missècle (81) à 5.55 km de Graulhet, Saint-Julien-du-Puy (81) à 5.64 km de Graulhet.
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Après 50 ans de bons et loyaux services, Paris-Graulhet tire sa révérence. A compter du 13 novembre 2003 c'est la liquidation totale, une foule considérable se presse pour profiter des bonnes affaires et retrouver une dernière fois l'ambiance si chaleureuse de ce magasin.
La presse locale : Le réveil Graulhétois, la Dépêche du Midi, l'Echo du Tarn consacrent des articles à cet événement : voici les articles publiés en novembre 2003. (cliquez sur l'image pour l'agrandir et...lire)
Derniers préparatifs pour la liquidation des marchandises...
Les affiches sont collées....
LES INVITATIONS SONT LANCEES !!
La foule se presse...
PHOTOS DU POT DE FERMETURE
Madame Denise SIRVEN entourée de la plupart de ses employées...
La réception....
c'est fini
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PARIS-GRAULHET : 7 Place du Mercadial
Situé 7 place du Mercadial, le magasin PARIS-GRAULHET a pendant 50 ans, de 1953 à 2003, tenu le haut du pavé du commerce graulhétois sous l'égide de Denise SIRVEN.
Au départ c'était un magasin d'alimentation générale, ensuite Les Magasins Réunis, puis Paris-Graulhet (avec une succursale à Gaillac nommée....Paris-Gaillac), repris par Denise SIRVEN en 1953. Véritable bazar, on y trouvait de tout : vêtements, produits de beauté, jouets, papeterie, collants, laine, produits de mercerie...Au fil des années c'est une douzaine d'employées qui y travaillèrent avec en plus des extras pour les samedi et dimanche matin.
Je vous propose de (re)découvrir les cartes postales de la Place du Mercadial où figure ce magasin - avant Paris-Graulhet et avec Paris-Graulhet mais surtout les photos inédites du magasin, les articles de presse....
Je remercie Madame Nadine BONLEUX fille de Denise SIRVEN pour m'avoir confié ses documents, évoqué ses souvenirs et son autorisation de publication. Je remercie également Chantal pour l'évocation de ses souvenirs.
Tout d'abord deux photos aériennes de Graulhet (je vous laisse retrouver le magasin Paris-Graulhet) - © RICHARD NESPOULOUS
Cliquez sur les images pour les agrandir
© RICHARD NESPOULOUS
LES CARTES ANCIENNES DU MERCADIAL
LES CARTES POSTALES - ANNEES 60
LES PHOTOS INEDITES
le papier qui servait à emballer les achats !
↑ Au tout début du Paris-Graulhet de Denise SIRVEN
↑ Dans les années 60
↓ Les dernières années
L'INTERIEUR DU MAGASIN
Madame Denise SIRVEN et une de ses fidèles employées Chantal
Les employées...
ETONNANT !
en 1997 une voiture a violemment percuté la vitrine et est entièrement entrée dans la magasin ! Heureusement pas de blessés !RETROUVEZ également
LES ARTICLES DE PRESSE
ET
LES PHOTOS DU POT DE FERMETURE
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