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Par FRANCOIS M le 22 Février 2016 à 15:57
c'était un dimanche ....
© MEMOIRES DE GRAULHET - REPRODUCTION INTERDITE sous quelque forme et quelque support que ce soit.
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Par FRANCOIS M le 29 Janvier 2016 à 12:59
- Place du Mercadial avec sa célèbre Epicerie L’ÉTOILE DU MIDI
- La rue du Verdaussou - avec le magasin de chaussures
- Devant le Square des Bains-Douches
- Au début de la rue Jean Jaurès (ou Saint Projet) avec le magasin LES DOCKS MÉRIDIONAUX
Clique sur l'image vous pourrez la voir plus GRANDE
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Par FRANCOIS M le 23 Décembre 2014 à 20:28
Défilé de chars portant pour certains des noms de régions
( Bretagne...) ou de spécialités (cidre...), chants au kiosque...Défilés de vélos et de voitures....S'agit-il du même événement ? Pour l'instant je n'ai pas de date ni pour quel(s) événement(s) eut lieu ce défilé dans Graulhet. J'ai essayé de situer dans Graulhet le lieu passage des chars. Merci de m'aider si vous reconnaissez les endroits et bien sûr si vous avez des précisions à me donner sur cet événement
Je compte sur vousKiosque Place du Jourdain (démoli en 1964)
Kiosque Place du Jourdain (démoli en 1964)
Kiosque Place du Jourdain (démoli en 1964)
Entrée de la Place du Jourdain, sur la droite on aperçoit l'Hôtel DURAND et la maison FABRE Alimentation
Entrée de la Place du Jourdain, sur la droite on aperçoit la maison FABRE Alimentation
Devant l'ancienne gare - sur la droite
Devant l'ancienne gare - sur la droite
Avenue du Stade (face à la Gare)
Place du Jourdain
Avenue du Stade
Entrée de la Place du Jourdain
Devant le Square de Bains Douches (encore clôturé)
Avant le Pont de la ville (côté Saint Jean)
Place du Jourdain - Au fond la terrasse du " Château "
Place du Jourdain - Vu de la Terrasse du château
Place du Jourdain ( la rue coupait la Place en deux)
Place du Jourdain ( la rue coupait la Place en deux)
En haut de la Place du Jourdain
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Par FRANCOIS M le 30 Mai 2013 à 10:00
C'est en juin 1933 que la piscine de l'école des Tambours (Victor-Hugo) est inaugurée....deux rares photos.....
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Par FRANCOIS M le 24 Mai 2013 à 11:05
Brochure sur l'inauguration de la Place Jean MOULIN.
montage François M
Rappels historiques
JEAN MOULIN
Jean Moulin est né le 20 juin 1899 à Béziers où son père était professeur d'histoire et conseiller général radical-socialiste de l'Hérault.
Licencié en droit, il entre très tôt dans la carrière préfectorale : d'abord secrétaire général de Préfecture à Montpellier, il est en 1925 le plus jeune sous-préfet de France, à Albertville en Savoie. Il est successivement sous-préfet de Châteaulin (1930-1933), de Thonon (1933) puis secrétaire général de la Somme (1934-1936).
Il a également appartenu à plusieurs cabinets ministériels et notamment celui de Pierre Cot, Ministre de l'Air dans le gouvernement du Front populaire d'où il s'engage dans l'aide clandestine à l'Espagne républicaine. Nommé préfet en mars 1937, il est, là encore, le plus jeune préfet de France et est nommé à Rodez en 1938 puis à Chartres l'année suivante.
Lorsque la guerre éclate, il veut rejoindre les troupes, mais il est maintenu en affectation spéciale à Chartres où il fait face à l'exode de la population. Le 17 juin 1940, il reçoit alors les premières unités allemandes ; les autorités d’occupation veulent lui faire signer une déclaration accusant des unités de tirailleurs africains d'avoir commis des atrocités envers des civils à Saint-Georges-sur-Eure, en réalité victimes des bombardements allemands.
Maltraité et enfermé parce qu'il refuse de signer, il se tranche la gorge. Soigné in extremis par les Allemands, il reste à son poste avant d'être, comme préfet de gauche, révoqué par Vichy début novembre ; il part pour la zone sud, s'installe dans la maison familiale de Saint-Andiol (Bouches-du-Rhône) et prend contact avec les principaux mouvements de résistance de zone sud.
En septembre 1941, il quitte la France par ses propres moyens pour rejoindre l'Angleterre depuis le Portugal après avoir traversé l'Espagne. A Londres, il est reçu par le général de Gaulle auquel il fait le compte-rendu de l'état de la résistance en France et de ses besoins. Rapidement convaincu de l'intelligence et des capacités de son interlocuteur, le chef des Français libres renvoie Moulin en métropole avec pour mission de rallier et d'unir les mouvements de résistance. Il doit également créer une Armée secrète en séparant le militaire du politique.
Avec des moyens financiers et de transmission, Jean Moulin est parachuté sur les Alpilles le 2 janvier 1942 à 3h30 du matin.
Il installe son Q.G. à Lyon.
Délégué général du général de Gaulle, "Rex", alias Moulin, commence à mener à bien sa tâche complexe et délicate en zone sud. Il rencontre Henri Frenay, Emmanuel d'Astier et Jean-Pierre Lévy, respectivement responsables des trois principaux mouvements de la zone sud Combat, Libération et Franc-Tireur, leur apporte une aide financière, parvient, non sans mal, à aplanir leurs différends. Son action aboutit, en octobre 1942 à la création de l'Armée secrète (AS), fusion des groupes paramilitaires de ces trois grands mouvements, dont le commandement est confié au général Delestraint puis, au début de l'année 1943, à la création des Mouvements unis de Résistance (MUR) rassemblant Combat, Libération et Franc-Tireur.
Grand amateur d'art et dessinateur lui-même, l'ancien préfet Jean Moulin ouvre entretemps une galerie d'art à Nice, la galerie Romanin (son propre pseudonyme d'artiste), qui lui sert de couverture.
En février 1943, Jean Moulin se rend à nouveau à Londres où il rend compte de sa mission et est décoré par le général de Gaulle de la Croix de la Libération.
De retour en France le 20 mars par une opération Lysander, "Rex" devenu "Max" est le seul représentant du général de Gaulle pour la Résistance. Ses efforts dans toutes les directions, malgré certaines réticences, aboutissent bientôt à la constitution du Conseil national de la Résistance (CNR) dont la première réunion se tient sous sa présidence au 48 de la rue du Four à Paris, le 27 mai 1943. Il s'agit d'un conseil réunissant les responsables de mouvements de résistance des deux zones mais aussi des responsables politiques et syndicaux. Important politiquement car il symbolise aux yeux du monde - et surtout des Alliés - l'unité française, le CNR adopte lors de sa première réunion une motion reconnaissant le général de Gaulle comme le seul chef politique de la France combattante.
Dans le but d'organiser rapidement la relève à la tête de l'Armée secrète qui vient d'être décapitée par l'arrestation à Paris du général Delestraint, Moulin en convoque les responsables pour le 21 juin 1943 à Caluire, dans la banlieue de Lyon, chez le Docteur Dugoujon. Mais à la suite de dénonciations, la police de sécurité allemande (SIPO-SD) menée par Klaus Barbie intervient : tous sont arrêtés et emmenés à la prison du Fort Montluc.
Interrogé par Barbie qui l'identifie après deux ou trois jours, Jean Moulin ne dit rien. Il est transféré début juillet avenue Foch à Paris puis dans une villa de Neuilly, où la Gestapo avait coutume "d'interroger" des personnalités importantes ; sans que l'on sâche réellement si c'est à cause des tortures subies ou parce qu'il a tenté de se suicider, son état de santé est désespéré. C'est vraisemblablement pour tenter de le soigner et de le conserver comme otage qu'il est transféré en Allemagne. C'est dans le train, quelque part entre Metz et Francfort, alors qu'il n'a déjà plus figure humaine, qu'il meurt le 8 juillet 1943.
Ses cendres, jusqu'alors déposées au Père Lachaise, ont été transférées au Panthéon le 19 décembre 1964.
www.ordredelaliberation.frConseil national de la Résistance
Le Conseil national de la Résistance (CNR) était l'organe qui dirigea et coordonna les différents mouvements de la Résistance intérieure française, de la presse, des syndicats et des membres de partis politiques hostiles au gouvernement de Vichy à partir de mi-1943.
Le CNR sous Jean Moulin
Son premier président fut Jean Moulin, délégué du général de Gaulle, lequel voulait instaurer ce Conseil afin d'unifier les différents mouvements de Résistance qui s'étaient spontanément constitués depuis la défaite et son appel du 18 juin 1940, au lendemain de la demande d'armistice par le maréchal Pétain.
Selon les dirigeants de la France libre, en effet, les mouvements de Résistance, hormis les Francs-tireurs et partisans (FTP) et autres résistants d'obédience communiste, étaient le plus souvent inorganisés et n'étaient pas suffisamment coordonnés. Aussi, nombre de maquis n'entretenaient pas de relations entre eux et ce cloisonnement des mouvements de Résistance empêchait toute action commune organisée, et donc efficace.
Le 1er janvier 1942, Jean Moulin devient ainsi le représentant du général afin d'unifier l'ensemble des mouvements de Résistance. En juin, il met en place un Comité des experts chargé de penser la synthèse des projets politiques pour l'après guerre. Le tour de force qu'est l'unification se produit un an plus tard, le 27 mai 1943, lors de la première réunion du CNR qui se tient à Paris dans l'appartement de René Corbin, au premier étage du 48 rue du Four
Outre Moulin et ses deux collaborateurs, Pierre Meunier et Robert Chambeiron, ont participé à la réunion du 27 mai 1943 :
les représentants des huit grands mouvements de résistance :
Pierre Villon du Front national de la résistance créé par le Parti communiste français2
Roger Coquoin pour Ceux de la Libération,
Jacques Lecompte-Boinet pour Ceux de la Résistance,
Charles Laurent pour Libération-Nord,
Pascal Copeau pour Libération-Sud,
Jacques-Henri Simon pour Organisation civile et militaire,
Claude Bourdet pour Combat,
Eugène Claudius-Petit pour Franc-Tireur ;
les représentants des deux grands syndicats d'avant-guerre :
Louis Saillant pour la CGT,
Gaston Tessier pour la CFTC ;
et les représentants des six principaux partis politiques de la Troisième République :
André Mercier pour le PC,
André Le Troquer pour la SFIO,
Marc Rucart pour les radicaux,
Georges Bidault pour les démocrates-chrétiens,
Joseph Laniel pour l’Alliance démocratique (droite modérée et laïque),
Jacques Debû-Bridel pour la Fédération républicaine (droite conservatrice et catholique).
Cette réunion aura une importance politique considérable,….
« Après le 27 juin, les Américains ne peuvent plus douter de la légitimité de De Gaulle. La France devient un pays allié à part entière et, à ce titre, sera présente lors de la capitulation des armées nazies, le 8 mai 1945. D’autre part, les Alliés doivent abandonner leur projet d’administrer eux-mêmes la France au fur et à mesure de sa libération. Et, parce qu’il y a eu le CNR et de Gaulle, la France sera, lors de la création de l’Organisation des Nations unies, l’une des cinq grandes puissances à occuper un siège permanent au sein du Conseil de sécurité. » (source WIKIPEDIA)LES DOCUMENTS INEDITS
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Par FRANCOIS M le 1 Mai 2013 à 06:37
1953 : La premiere Quinzaine commerciale
et la première Reine de GraulhetL'Union du Commerce et de l'Artisanat Graulhétois (UCAG) existe depuis 1932 mais c'est à partir de 1948 qu'elle se révéla. En effet c'est du 3 au 18 novembre 1953 qu'eut lieu la première Quinzaine commerciale. Les rues se parèrent de guirlandes, la ville fut entièrement sonorisée et le vendredi soir Marie-Thérése Papaïx fut élue par le comité d'organisation augmenté de quelques personnalités, première Reine de Graulhet, au cours d'une soirée de gala dans l'ancienne salle de l'Odéon pleine à craquer ! Ses demoiselles d'honneur : Anne Martin et Brunette Maiguenon.
J'ai rencontré Marie-Thérése il y a quelques semaines qui m'a gentiment prêté toutes les photos publiées ci-après. Marie-Thérése garde la même spontanéité qui émane de ces clichés ainsi que le même plaisir a évoquer les souvenirs de ces journées de Novembre qui ont fait d'elle et pour toujours la première REINE de Graulhet.
REINE D'UN JOUR - REINE DE TOUJOURS !
La réception à la Mairie
Anne MARTIN, Marie-Thérése PAPAIX, Brunette MAIGUENON
Lors du Bal au Trianon avec Monsieur MASCAR, électricien et ....boxeur
Marie-Thérése et son futur époux Henri AZEMAR
Le portrait de la Reine offert par le Studio BIMOUAT
Pour attirer un maximum d'acheteurs, la Quinzaine fut dotée d'une grande tombola. Pour 10 F d'achat (20 F dans l'alimentation) on vous remettez un billet. Le premier prix pour 1953 fut une voiture 4 CV Renault modèle 1954, l'heureux gagnant fut Monsieur François Marquié (grand père de Francis Piquemil), le billet gagnant lui avait été remis par Monsieur Bories en achetant un pantalon ...!
Le gagnant Monsieur Marquié entouré de la
première Reine : Marie-Thérése PAPAÏX et de la Renault 4 CV 1954 !Les félicitations de la Reine à l'heureux gagnant
VOUS POSSEDEZ DES CLICHES , DES DOCUMENTS DE CETTE SOIREE, DE CETTE ELECTION , VOUS ETES SUR LES PHOTOS OU UN DE VOS PARENTS
CONTACTEZ MOI !
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Par FRANCOIS M le 30 Janvier 2013 à 12:53
En publiant, il y a quelques mois, les photos du Carnaval organisé par l'UCAG en 1962, je ne pensais pas susciter autant de réactions et surtout de souvenirs. Une graulhétoise vivant en région parisienne : Yvelise Z. s'est reconnue sur un char déguisée en escargot et mieux encore Christine P. qui vit à Graulhet m'a adressé une photo la montrant déguisée en escargot sur le char ! (qu'elle me permet de publier). La voici :
Le Char descendant la Côte des Peseignes
La preuve que ce Carnaval fut organisé par l'UCAG
en 1962 en dehors de la période de la Quinzaine commercialeMERCI à ces deux internautes fidèles et partageuses de souvenirs !
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Par FRANCOIS M le 21 Mai 2012 à 11:44
Février 1956, températures glaciales, le Dadou est gelé.....
© photo Claude VERGNES - Merci Robert P.
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Par FRANCOIS M le 3 Avril 2012 à 18:07
LA CLASSE 57 !
la photo officielle prise sur les marches de la Caisse d'Epargne
Cliquez sur la photo pour l'agrandir
N'HESITEZ pas à me contacter pour complèter ce document par les noms des différentes personnes , que je mettrais en ligne
De très nombreux Graulhétois se reconnaîtront et beaucoup reconnaîtront des parents et amis
© Collection André LATGER
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Par FRANCOIS M le 3 Avril 2012 à 13:03
En 1962...LE CARNAVAL DE L'UCAG
15 PHOTOS INEDITES
En Juillet 1962, dans le cadre des Fêtes du Jourdain un carnaval est organisé à Graulhet par l'UCAG (Union des Commerçants et Artisans de Graulhet)
Voici une série de 15 photos de cet événement© Collection André LATGER
Vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir !
Place du Jourdain
A la tribune d'honneur, on reconnait M.M CALVEL René, Georges OLIVIER, le premier Président Fondateur du Club des Supporters du SCG, Claude VERGNES animateur de la Quinzaine commerciale, Louis DURAND, Président des Fêtes du Jourdain et le Docteur PONTIER.L'ouverture du Défilé avec la clique
Le char de l'Union Musicale
Char du Foyer Léo Lagrange
Devant l'Hotel DURAND - Rue des Peseignes
Le Char des Pompiers
Le char de la Croix Rouge
Le Char de la Vigne et du Vin
Le Char des Photographes
Le Char du Château
Le Char de l'Aviation
Rue des Peseignes - Le Char des Fleuristes
Le Manège
Rue des Peseignes - L'escargot
Rue des Peseignes Le cygne
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Par FRANCOIS M le 1 Avril 2012 à 18:23
Essayez de deviner l'endroit de Graulhet qui figure sur ce cliché ....
Angle Quai RASPAIL et Avenue GAMBETTA (Emplacement à côté de BLANC Primeurs). Le ruisseau du Verdaussou passait à cet endroit avant sa canalisation.
© STUDIO SICART - GRAULHET
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