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Par FRANCOIS M le 28 Juillet 2020 à 18:21
les plus belles cartes des équipes
1910-1970
♥ Sporting Club Graulhétois 1910
♥ Sporting Club Graulhétois 1910
Debout de gauche à droite : Manelphe, Alquier, Bonnafé, Carel, Imart, Blanc, Meyeroffer
Accroupis : Cazelles, Fargues, Cathalau, Bourdariès , Saint Ignan
Assis : Gabriel Satgé, Louis Durand, VIDALCapitaine de l'équipe : LOUIS DURAND
♥ Sporting Club Graulhétois 1914 (janvier)
♥ Sporting Club Graulhétois 1920
les champions de 4° série - Le 25 avril 1920 le Sporting décroche son premier titre de champion de France en 4° série en battant Podensac 3 à 0Les 5 personnes en civil ne sont pas nommés
Debouts : Bastide avec la fanion, Le Président Balzame, Ferrières, Armengaud, Louis Durand , Bosc, Bardou, Rivals et Satgé
Assis : Larrue, Vergnes, Bourdariès, Bruyere
Accroupis: Bramary, Aspe, MauryChar des supporters 1920
Carte photo dont le verso porte la mention manuscrite:
" le char du S.C.G. rugby Graulhet "
♥ Sporting Club Graulhétois
ÉTONNANTE CARTE POSTALE DE L’ÉQUIPE DE RUGBY DE GRAULHET ANNÉES 20
Debout de gauche à droite :
Raymond (Pradinou) - Grousset - Alquier (Lambret) - Bastide - Julia - Boyer
Accroupis : Pélissier - Guilhem - Pauthe - ? - Imart
♥ Sporting Club Graulhétois 1923-1924
Jules TOURNIER est né le 14 juin 1900 à Lésignan et décédé en 1962 a été capitaine de l’équipe de rugby de Graulhet - Joueur tout d'abord à Lésignan sa ville natale et peut-être à Castres après sa période graulhétoise. Habitant avenue Victor-Hugo face à l’école des Tambours. Jules Tournier a été maroquinier avenue du Docteur Bastié avant de devenir représentant en peausserie.
Étonnante photo retouchée à la peinture de l’équipe du Sporting-Graulhétois 1923-1924, qui appartient au fils du Capitaine Jules Tournier, photo prise à la Bouscayrolle.
la version sépia officielle
Les noms des joueurs : De gauche à droite
Debout : Andral - Groffal - Azémar - Galou - Satgé - Sel - Lautard - Bardou - Ferrières (entraîneur)
Assis : Andrieu - Bel - Pauthe - Manavit - Tournier (capitaine) - Azémar
♥ Sporting Club Graulhétois
Vétérans 1925♥ Les Arlequins 1926
En 1925 lors d'un match contre Lavelanet, une grande bagarre générale s'étendit au delà du terrain. La Fédération suspendit le club pour un an. pour contourner l'interdit, un autre club est créé " Les Arlequins Graulhétois" qui officieront de 1926 à 1930
Le 4° debout en partant de la gauche : Charles TEYSSEYRE (dit Le Phyllox) - Merci à son petit-fils
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♥ Sporting Club Graulhétois 1935
♥ Sporting Club Graulhétois 1936-1937
♥ Sporting Club Graulhétois 1941
♥ Sporting Club Graulhétois 1946
1
♥ Sporting Club Graulhétois 1948-1949
CHAMPION FRANCE EXCELLENCE 1948-1949N°1 Jean SERRA - N°2 René FERRASSE - N°3 André SEVERAC
N°4 Lucien PHALIPPOT - N°5 Louis ROUVELLAT - N°6 Jean SATGE
N°7 Inconnu - N°8 Jean ALQUIER - N°9 François COMBRES
N°10 René AZEMAR (Carpan) - N°11 Inconnu - N°12 Roger GALIBERT
N°13 Jean MAURIES - N°14 Camille BONNET - N°15 ABADIE - N°16 MURATET - N°17 Inconnu - N°18 DEFANTI
♥ Sporting Club Graulhétois 1952
Equipe Juniors B - 1952
Photo prise au Stade de la BouscayrolleDebout de gauche à droite
Robert SALESSES - VILLET - André LATGER - DURAND - BARTHEZ - LAVIT - GASC - SEGUR
Entraîneur RAYMOND (dit Le Pradinou)
Accroupis de gauche à droite
LAVIT - DAYDE - MAZEL - BONNET - Maurice BARDOU - CRESPO - FOURNIER (dit Rapette)
♥ Sporting Club Graulhétois
Equipe junior du SCG - 1956
Debout de gauche à droite
DOUZIECH - BENAZECH - LATGER - VILLET - ASSALIT - BRUYERE - MONTELS BATTUT - DURAND
Accroupis de gauche à droite
LAVIT - MAZEL - CATHALAU - CAZALS - VIDAL - MALET - AZAM
♥ Sporting Club Graulhétois
Photo prise au Stade de la Bouscayrolle
Photo prise au stade de la Bouscayrolle
Sur la photo
N°1 GALIBERT - N°2 Michel ANDRIEU - N°3 Roland PAILHAS - N°4 Marcel HUC - N°5 Jacques CAZELLES - N°6 Jean SAEZ - N°7 GALTIE - N°8 Claude SIADOUS
N°9 Pierre BELLIERES - N°10 Francis ROUZIERES - N°11 Jean MAURIESN°12 Maurice ROUQUARIES - N°13 Paul FOURNIER (fils du N°19) - N°14 Marcel FONTANIE
N°15 Guy PAUTHE - N°16 Jacky FAGET - N°17 José PLANES - N°18 André GAU
N°19 FOURNIER dit RAPETTE♥ Sporting Club Graulhétois Equipe - 1957
Demi-finaliste du Championnat de France
contre le Racing-Club de ParisDebout de gauche à droite
DAYDE - BENEZET - AZEMAR ( dit Le Carpan) - LEGAT - Marcel ROQUES - RIVALS - André LARRUE - ROUZIERES
Accroupis de gauche à droite
DELILLE - Jacqui FERRAZ - ORRIOLS - VIDAL - Guy PAUTHE - OLIVIER - José PLANES - CORPS
ETONNANTE VIGNETTE PUBLICITAIRE OFFERTE PAR LES CHEWING GUM OLYMPIAD
♥ Sporting Club Graulhétois 1964-1965
Debout de gauche à droite
Jean SATGE, Jean PUIG, André LARRUE, René VILLENEUVE, André PECH, André ABADIE ( capitaine) Jean-Pierre ANDOQUE, Jo Naval, René CUSSAC, X, Francis ROUZIERES
Accroupis de gauche à droite
Michel MAZEL, Paul BATIGNE, Guy PAUTHE, Jean SABY, Germinal CAZALS, Jacky FERRAZ, Claude VIDAL♥ Sporting Club Graulhétois 1966
Demie-finaliste (contre DAX)
du Championnat de FranceDebout de gauche à droite
Robert FORT (imperméable) - Marcel PEYRUSSE - PUIG - NAVAL- ANDOQUE - ABADIE - Marcel BATIGNE - LAMAZOUADE - PECH - CUSSAC - CAVE - André LARRUE - SATGE
Accroupis de gauche à droite
TEYSSEYRE ( dit LE PHYLOX) - Paul BATIGNE - BOUE - Guy PAUTHE - Germinal CAZALS -ANDRIEU - ROUCH- MAZEL - ROUZIERES
♥ Sporting Club Graulhétois 1967-1968
En haut de gauche à droite:
Rouzières - Entraineur- Villeneuve, Larrue, Cussac, Andoque, Abadie, Naval, Lamazouade, Pech, Puig (blessé).
En bas de gauche à droite :
Batigne, Mazel, Pauthe, Casals, Andrieu, Saby, Rouch, Joffre entraineur
Photo prise par le Studio BIMOUAT
♥ Sporting Club Graulhétois - Cadets 1969
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Photo prise à SIROU ? A priori ce n'est pas le SCG
Jean(not) SAEZ ...N°6 sur la photo
Merci aux contributeurs suivants pour leur aide (photos - noms) :
Pierre Bardou, José Planès, Jérôme Rouzière, Gérard Durand, Jean-Luc Cathalau, Robert Tournier, Robert Py, François Saez, André Latger, Christophe Fabriés , Raymond VergnesUn site très intéressant pour les amateurs de rugby avec un historique sur le SCG tiré du Forum du Boucau-Tarnos-Stade ( merci ! )
N'hésitez pas à me contacter pour signaler toute erreur
ou pour toute information à rajouter !
4 commentaires -
Par FRANCOIS M le 18 Mai 2020 à 19:30
Grande course cycliste à Graulhet le 28 septembre 1903
Né le 24 avril 1882 en Allemagne
Décédé le 21 mai 1946 en SuisseJournal LE VELO du 1er octobre 1903
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Par FRANCOIS M le 8 Août 2019 à 10:59
la
du 12 avril 1969
se met en fête pour un huitième de finale contre ROMANSNOMS DES JOUEURS PHOTO DU HAUT
2 commentaires -
Par FRANCOIS M le 30 Juillet 2019 à 16:10
Serge Blanco à Graulhet pour la manifestation SPORTEZ VOUS BIEN...
Vous vous reconnaissez ? dites le moi ...
2 commentaires -
Par FRANCOIS M le 4 Juillet 2018 à 08:24
Étonnantes photos de ces courses cyclistes à Graulhet
Vous reconnaissez un coureur, un spectateur, un organisateur ?
Contactez-moi ! en laissant un commentaire à la suite de cet articleDépart Place du Jourdain
Départ Rue Saint-Projet devant la Halle
pour la Course du BarrageÉquipe cycliste
Merci à J et JL
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Par FRANCOIS M le 9 Mai 2017 à 16:20
12 mai 1957, Graulhet allait vivre une demi-finale historique de rugby. MÉMOIRES DE GRAULHET célèbre à sa façon cet événement en publiant comme d'habitude, photos et documents inédits, presses d'époque en particulier le Graulhet Républicain avec retranscription des articles, le rappel du contexte rugbystique, deux vidéos rares sur ce match et également l'article spécialement écrit pour ce blog par Gérard DURAND, ancien pilier emblématique du S.C.G.
Bonne lecture !
Vive le Sporting ! et Vive Graulhet !Une époque épique
« De tous ces sports le plus athlétique, je vous le dis, c’est le rugby » chanterait à tue-tête Georgette Plana dans les Transistors. C’était l’époque des serre-têtes, des lacets blancs, des épaules matelassées et des chevillères. C’était l’époque épique d’un rugby disparu, celle ou les bourgades pouvaient prétendre à être les plus fortes, à se foutre à coups de boules, des chefs-lieux comme des préfectures. Et Graulhet, qui inaugurait son stade de Crins, jardin autant que sanctuaire, à ce jeu-là était irrésistible. Du courage et du cran à revendre, des gaillards farouches, prêts pour les gageures, face à des adversaires aussi déterminés, qu’ils soient catalans, basques, savoyards, provençaux ou même parisiens. Paris ville lumière était une fête permanente ! Graulhet la laborieuse, dans l'ombre de ses usines, pas habituée aux lampions, voulait la sienne aussi. Le Sporting en 1957 avait d’abord renversé Aurillac, puis Vienne et enfin Perpignan avant cette première demi-finale historique. Et ils étaient des centaines sinon des milliers les supporters graulhétois, en bus, en voiture et même à vélo, à basculer via le Ramel vers cette arène du Stadium toulousain, en surchauffe printanière dans lequel se serraient 26 000 spectateurs. L’affrontement face au Racing était rude, le défi permanent, les forces équilibrées, et le public en haleine. Camille Bonnet donnait de la voix, la foule grondait sur les mêlées, hurlait sur les empoignades, se levait comme un sur les percées, se tombait dans les bras à chaque point marqué. Et des points justement il n’y en eut peu et pas d’écart au terme du temps réglementaire. Le règlement qui devait sûrement dater de la Rome antique, ou rédigé à la hâte, fut sorti, lu dans les interlignes, et engagé dans la procédure de match perdu par les tarnais, plus vieux de 29 ans que les parisiens sur une moyenne née de division par quinze du cumul des âges des participants à ce cas unique de sénilité décisionnelle sportive de la part des gros pardessus d’un sport qui se cherchait encore une éthique. Le long cortège reprit la route vers le Dadou dans l’expectative pour préparer une réception aussi digne que solennelle. L’incohérence était manifeste, la mise en scène criarde, l’affront fait à une équipe et une ville, inoubliable et les acteurs inconsolables. Seule Laïka dans sa capsule a dû ne pas être mise au courant de l’injustice faite aux rouges et noirs en bas sur Terre, dans les sombres corridors d’un Stadium ensoleillé de corrida et dont il se parle encore soixante ans plus tard. Brel pouvait sortir sa « valse à mille temps ». On vous le dit, une époque épique !
Gérard DURANDL’Équipe 1957 du Sporting-Club graulhétois
Debout de gauche à droite :DAYDE - BENEZET - AZEMAR ( dit Le Carpan) - LEGAT - Marcel ROQUES - RIVALS - André LARRUE - ROUZIERES - Accroupis de gauche à droite : DELILLE - Jacqui FERRAZ - ORRIOLS - VIDAL - Guy PAUTHE - OLIVIER - José PLANES - CORPS
Debout de gauche à droite :Camille BONNET - DAYDE - BENEZET - AZEMAR ( dit Le Carpan) - VILLEROUGE (qui a joué la demi-finale) - Marcel ROQUES - RIVALS - André LARRUE - ROUZIERES . Accroupis de gauche à droite : DELILLE - Jacqui FERRAZ - ORRIOLS - VIDAL - Guy PAUTHE - OLIVIER - José PLANES - CORPS
L'Effigie éditée pour la saison 1956-1957
Un extrait vidéo de la demi-finale
un autre extrait
Belle photo ! José PLANES, GUY PAUTHE et Lucien PHALIPPOT
le jour de l'inauguration du Stade de Crins en 1955
-------------------------------------------------------Le contexte
Le championnat de France de rugby à XV 1956-1957 est disputé par 48 clubs groupés en six poules de huit. Les cinq premiers de chaque poule et les deux meilleurs sixièmes (soit 32 clubs) sont qualifiés pour disputer une phase par élimination directe à partir des seizièmes de finale. Le championnat a été remporté par le FC Lourdes qui a battu le Racing club de France en finale. Le F.C. Lourdais conserve le titre acquis en 1956.
Phase de qualification
Les équipesPoule A
FC Lourdes
Union sportive Orthez
RC Toulon
AS Roanne (Roanne)
SC Mazamet
US Montélimar (Montélimar)
Cahors rugby
FC GrenoblePoule B
Stade rochelais
Aviron bayonnais
AS Montferrand
US Dax
CA Bègles
La Voulte sportif
RC Vichy
US CognacPoule C
Stade toulousain
Lyon OU
US Montauban
Paris université club
SC Graulhet
CA Périgueux
Saint-Girons SC
Castres olympiquePoule D
Section paloise
SO Chambéry
FC Auch
SU Agen
Stade niortais
SC Angoulême
RC Narbonne
US CarmauxPoule E
USA Perpignan
US Bergerac
SC Tulle
AS Soustons
AS Béziers
SC Albi
Biarritz olympique
US RomansPoule F
Stade montois
TOEC
Stade aurillacois
Racing club de France
CS Vienne
Stadoceste tarbais
Tyrosse RCS
Stade lavelanétienSeizièmes de finale
EQUIPE 1 EQUIPE 2 EQUIPE 3 FC Lourdes La Voulte sportif 37-13 FC Auch Stadoceste tarbais 12-6 AS Béziers SC Tulle 8-6 Stade montois US Carmaux 8-3 Stade toulousain Section paloise 3-0 FC Grenoble Biarritz olympique 3-0 US Dax RC Narbonne 11-3 Saint-Girons SC SC Angoulême 8-6 Racing club de France SU Agen 19-3 US Romans US Cognac 3-0 Aviron bayonnais RC Vichy 29-3 AS Montferrand SC Mazamet 6-0 SC Graulhet Stade aurillacois 16-0 CS Vienne Castres olympique 5-3 USA Perpignan RC Toulon 8-3 Cahors rugby US Montauban 16-6 Huitièmes de finale
EQUIPE 1 EQUIPE 2 EQUIPE 3 FC Lourdes FC Auch 19-3 AS Béziers Stade montois 14-6 Stade toulousain FC Grenoble 9-5 US Dax Saint-Girons SC 8-3 Racing club de France US Romans 6-0 Aviron bayonnais AS Montferrand 10-0 SC Graulhet CS Vienne 12-3 USA Perpignan Cahors rugby 6-5 Quarts de finale
EQUIPE 1 EQUIPE 2 EQUIPE 3 FC Lourdes AS Béziers 8-6 Stade toulousain US Dax 6-3 Racing club de France Aviron bayonnais 14-3 SC Graulhet USA Perpignan 14-3 SCG - USAP en 1/4 DE FINALE EN 1957
Demi-finale
EQUIPE 1 EQUIPE 2 EQUIPE 3 FC Lourdes Stade toulousain 9-0 Racing club de France SC Graulhet 6-6 A défaut de se départager aux points, l'équipe la plus jeune sera désignée gagnante. Ce sera le Racing-Club de France. Les Graulhétois avaient 29 ans de plus ! Finale
EQUIPE 1 EQUIPE 2 EQUIPE 3 FC Lourdes Racing club de France 16-13 LES DOCUMENTS INÉDITS
LE LIVRE D'OR
SCG RCF 1/2 FINALE DU CHAMPIONNAT DE FRANCE
Au Stadium devant plus de 25 000 spectateurs !!!INÉDIT
Lors du repas pris à Toulouse et offert par les dirigeants , un parchemin offert à chaque joueur
Extrait du Quotidien l’Équipe du 16 (ou 17) mai 1957
Les extraits se lisent par blocsLouise SALITOT qui est citée dans cet article est la mère de Madame Simone SABY, célèbre marchande de journaux à Graulhet
Un merci particulier à Messieurs José et Olivier PLANES ainsi qu'à Gérard DURAND
RETROUVEZ LES ARTICLES
du
GRAULHET RÉPUBLICAIN DU 19 MAI 1957
8 commentaires -
Par FRANCOIS M le 9 Mai 2017 à 16:19
POÈME en une du GRAULHET RÉPUBLICAIN
En tout bien, tout honneur
Avec notre admiratif hommage
A notre valeureux « SPORTING-CLUB GRAULHETOIS »Voici les « Trente » . Ils ont vaillamment combattu !
Mais, pourquoi faut-il donc qu'en l'unique dimanche
Où deux compétiteurs demeurent manche à manche,
L'un doive s'incliner, qu'on n'a pas abattu ?Pourrait-on abdiquer ? Dire qu'on a rompu ?
Les points sont là : Marqués ! Équilibrant la chance :
Égaux partout ! Alors ? La belle ou la revanche ?
Hé bien, non ! La victoire est à ceux qui n'ont pu !SPORTING ! Votre action parle un autre langage !
Lorsqu'on vous fait buter sur l'on ne sait quel âge
Dont on devrait vous rendre au contraire, l'honneur.
Voici qu'on vous impose - est-ce une erreur..ou pire
Une loi qu'on requiert ! Mais, nous pouvons bien dire :
« Où il n'est nul vaincu, il n'est point de vainqueur !Paul CALVIGNAC - Graulhet ce 14 mai 1957.
Le Bar des Sports
REPRODUCTION INTÉGRALE
des articles "Rugby" du
GRAULHET RÉPUBLICAIN
du 18 mai 1957HONNEUR AU SPORTING !
Honneur aux invaincus !Il était 18 h 30 quand les basketteuses du Foyer Léo Lagrange offrirent de magnifiques gerbes rouge et noire aux joueurs et aux dirigeants du Sporting Club Graulhétois, suivies par un groupe de fillettes des quartiers Pannessac et Grand-Rue qui firent de même, s'associant ainsi à l'hommage de la Municipalité envers nos joueurs.
Le soleil presque crépusculaire s'était paré de rouge et le large pesage de Crins était noir de monde. A la porte principale flottaient les pavillons rouge et noir.Le cortège s'ébranla avec la Clique et l’Union Musicale en tête, précédant les joueurs et les dirigeants : M. Maurice Mennecier sous-préfet, encadré par M.Noël Pélissou maire de Graulhet et René Calvel conseiller général, suivaient avec M. Grimal et Albet représentant le secrétariat de la Jeunesse et des Sports, les conseillers municipaux et les représentants de tous les corps constitués et des sociétés de la ville.
Tout le long du parcours, la population faisait une imposante haie d'honneur et la rue Verdaussou fut très remarquée par ses décorations aux couleurs du Sporting. Arrêt devant le siège - Café des Américains - où clique et et musique jouèrent à nos joueurs (qui ont si souvent joué pour eux) une vibrante marche où ils mirent tout leur cœur, tellement de cœur que le cymbaliste vit se fêler un des disques métalliques de son instrument. Nouveau départ pour la Mairie, tandis que passant devant le Bar des Sports du meilleur butteur de France s'étalaient de nouveaux drapeaux. L'arrivée sur la Place Élie Théophile fut saluée par des bravos ininterrompus. Les joueurs et les dirigeants furent ensuite reçus dans la salle du Conseil municipal par Monsieur le Maire entouré des personnalités départementales et locales et par Monsieur Verdeille sénateur du Tarn.
Après avoir remercié, de leur participation à cette fête Monsieur le Sous-Préfet Monsieur Verdeille, MM.Grimal et Albet et tous ceux qui étaient présents. M.Noël Pélissou, maire de Graulhet s'adresse aux rouges et noirs en ces termes :Cette manifestation d'amitié organisée de cœur et avec l'unanimité de notre active population a pour but principal de vous exprimer publiquement les sentiments de reconnaissance et de gratitude qui vous sont largement dus. Depuis le début de la saison 56-57 et plus particulièrement depuis les seizièmes de finale vous avez été l'objet de toutes les conversations : de la maternelle au Foyer des Vieux travailleurs en passant par toutes les couches de la population: un seul sujet, un seul espoir : Graulhet champion de France en Nationale !
" Le bouclier de Brennus suprême récompense de la compétition était en effet à votre portée.
" Après avoir brillamment triomphé des Auvergnats d'Aurillac, des Alpins de Vienne, des Catalans de Perpignan, ceux de l'Ile-de-France vous ont barré la route par un paradoxe déconcertant, sans vous battre, bénéficiant en tout et pour tout d'un règlement élaboré par ces Messieurs de la Chaussée d'Antin, dans une soirée nébuleuse, que la presse entière, avec nous, qualifie d'absurde et d'injuste. Cette presse qui nous découvre bien tardivement et contre laquelle nous n'avons aucun ressentiment puisque la valeur du sporting est nettement établie. Pour nous, que l'on veuille ou non, au terme du match du Stadium, vous êtes victorieux : le David graulhétois a eu raison du Goliath parisien.
Comme les Poilus de Verdun d'illustre mémoire, vous avez dit : " Ils ne passeront pas ! " Et ils ne sont pas passés . Tous vos adversaires de jeu sont venus s'effritaient sur le bloc de granit graulhétois, ce bloc de granit qui ne fait qu'un bloc homogène, soudé par l'amitié, par une discipline librement consentie et par une compréhension réciproque des dirigeants et des joueurs . C'est tout simplement magnifique : Aussi connaissant les sentiments fraternels qui vous unissent, connaissant votre modestie à tous, je serais sans doute mal venu de vous tresser des lauriers individuels ; je resterai donc dans le domaine général puisqu’il y est avéré que chacun de vous, dirigeants et entraineur, joueurs, à la place, au poste remarqué ou obscur qui vous est dévolu, avez rempli votre tâche avec la même volonté, avec le même espoir pour le même but : faire triompher les couleurs rouge et noir
" Au nom de la population je vous en remercie et vous félicite ; vous pouvez passer dans nos rues la tête haute confiant dans l'avenir.
" Chers amis, notre ville est fière de vous; elle ne peut s'enorgueillir à juste titre de posséder une formation telle que la votre , qui contribue à faire connaitre encore mieux Graulhet, et qui par son action vient appuyer d'une façon éclatante les quelques paroles d'une partie de l'allocution que j'avais prononcée du jour de l'inauguration du Stade de Crins à savoir : La ville de Graulhet simple chef lieu de canton à pousser par ses propres moyens, n'ayant pas bénéficié autrefois d'une fonction administrative, elle n'avait pas été aidé à s'équiper en monuments, en beaux jardins. Graulhet a toujours suivi le seul chemin qui lui était tracé : celui du travail. Il faut lui ouvrir d'autres routes et aider son épanouissement..."
C'est exactement ce que vous faites et je vous en remercie. " Un axiome dit : " Dans la vie ce qui fait du mal aux uns, fais du bien aux autres." Pour en prouver l'exactitude un petit retour en arrière est nécessaire : En 1949, dans cette même salle, nous fêtions ensemble le retentissant succès du Championnat d'Excellence. Ce jour-là je ne croyais pas être si près de la vérité ; je vous avais dit " Continuez sur cette lancée, la grande voie conduisant au championnat de Nationale vous est ouverte et si cela se produit un jour , moi primaire tout court je prononcerai à cette occasion un laïus en langue anglaise ". Cette gageure vous avez bien failli me la faire payer mais le résultat étant mitigé je n'emploierai que quelques mots dans l'idiome régional que je connais le mieux et qui m'est cher : BIBO LOU SANG D'AL PEPI !
Chers amis du Sporting encore une fois mes compliments. continuez votre chemin pour le bon renom de notre Graulhet. Le Conseil municipal ne vous ménagera pas son appui.
VIVE LE SPORTING !
VIVE GRAULHET !Souvent interrompu par les applaudissements des Graulhétois massés sur la place impeccablement sonorisée. Monsieur le Maire passe la parole à René Calvel, conseiller général qui apporte les félicitations de tout le canton qu'il représente, rappelant que le Sporting est suivi et applaudi aussi autour de Graulhet. il félicite Camille Bonnet qui a su se faire aimer de ses joueurs tout en les commandant. Il leur demande d'obtenir ce titre envié de champion de la Coupe de l'Espérance et leur annonce qu'il sera offert des plaquettes-souvenir à chaque joueur ainsi qu'une Coupe de la Municipalité au Club. " Car il faut dit-il fêter ce match, perdu sans être battu ".
M.Maurice Armengaud succède à M.Calvel :
" Demi-finaliste hier, du Championnat, le Sporting sera demain, à l'issue de la compétition et avec les Champions de France, le seul club invaincu en division Nationale . Ce résultat auquel beaucoup pensaient sans trop y croire, ce résultat magnifique nous le devons d'abord à une grande équipe, au courage et à l'amour du blason qu'ont montré tout au long de la saison les joueurs du Sporting.
Mais nous le devons aussi à tous ceux dont les encouragements et les continuelles marques de sympathie ont été pour nous le plus actif des stimulants. Qu'il me doit donc permis de les remercier. Merci à vous, Monsieur le Maire, vous êtes, je le crois, l'instigateur de cette bien sympathique réunion, mais vous avez bien d'autres droits à notre reconnaissance : Les magnifiques installations de Crins ont favorisé l'essor du rugby, certes, mais aussi de tous les autres sports; les Graulhétois et les dirigeants du Sporting plus que tous autres, savent que c'est à vous, Monsieur le Maire qu'ils le doivent. Merci à vous, amis sportifs et supporters; si nous sommes montés si haut, soyez surs que votre enthousiasme et votre attachement indéfectibles y sont pour beaucoup. Je remercie aussi nos amis mazamétains, MM. Escande et Borie qui, au nom du Comité de la Coupe du Tarn et du Sporting-Club Mazamétain viennent nous remettre la Coupe du Tarn."
M.Verdeille, Sénateur du Tarn, félicite à son tour les jours et cite cette phrase entendue d'un supporter anonyme: " Graulhet, ville de 8000 habitants n'a pas été battu par 8 millions d'habitants" Il voit un avenir brillant " Il voit un avenir brillant pour le SCG et assure ses membres qu'il sera là l'an prochain pour féliciter les Champions de France, car sans cette absurde " moyenne d'âge " c'eût été la réalité cette saison.
Retenons ensuite cette phrase de M.Albet, directeur départemental de la Jeunesse et des Sports: " Vous êtes l'équipe-reine dans le département-roi du rugby"M. Charles Auque apporte les félicitations des cent dix entreprises de mégisserie et de leur personnel aux joueurs et à l'entraîneur C. Bonnet qui a contribué à faire atteindre à son équipe les plus hauts sommets du rugby, grâce à leur ardeur, leur courage, leur volonté et leur camaraderie.
M.Maurice Mennecier Sous- Préfet, excuse Monsieur le Préfet retenu à la dernière minute et démontre combien est grande sa sympathie pour cette équipe du SCG. " J'étais à Toulouse, vous avez fait un match superbe ; vous êtes de véritables champions, champions par votre jeu, par votre endurance, par votre discipline et votre volonté, et ce qui est un véritable record c'est d'avoir su vous entourer de toutes les sympathies de votre ville qui est entièrement debout sur cette place et qui vous acclame."
La coupe de la Municipalité est remise par M. Noël Pélissou à Monsieur Maurice Armengaud. Sur la plaque de ce magnifique objet d'art nous lisons : " Offert par la Ville de Graulhet - Championnat de France de Rugby à XV - Saison 1956-57 - Demi-finale : Racing-Club de France - Sporting-club Graulhétois - Toulouse le 12 mai 1957 - Match perdu à la moyenne de l'âge "Chaque joueur reçoit ensuite une magnifique plaquette-souvenir : Camille Bonnet, Bénézet, Daydé, Azémar, Villerouge, Larrue, Roques, Rouzières, Rivals, Pauthe, Vidal, Corp, Planès, Orriols, Ferraz, Olivier, Delille, Legat, Cazelles, Serra, Cayuela.
M.Borie du Sporting Club Mazamétain, apporte les félicitations de son club et remet la Coupe du Tarn à Guy Pauthe, où le SCG inscrira son nom après ceux de Carmaux et Castres précédents vainqueurs.
M. Auque, au nom du Comité directeur de la Chambre syndicale des Patrons mégissiers offre ensuite à chaque joueur un magnifique portefeuille frappé du nom de chaque joueur et sur un bristol on peut lire : Le comité directeur de la la Chambre syndicale des Patrons mégissiers avec ces cent dix entreprises et leur personnel, employés et ouvriers, te remercient pour avoir donné le meilleur de toi-même pendant la saison de rugby 1956-1957."
Tandis que M. Henri Manavit fait signer les joueurs le livre d'Or de Graulhet, le champagne coule dans les coupes et on boit au futur succès du SCG.
Après cette magnifique fête offerte par la Municipalité en l'honneur de nos héros qui se sont hissés au niveau des meilleurs, je puis affirmer et je me fais volontiers, leur porte-parole, qu'ils remercieront à leur tour les représentants de la Ville et leurs supporters en remportant cette Coupe de l’Espérance et en la ramenant à Graulhet à côté de la Coupe de la Municipalité et de celle du Tarn.
Le mot de la fin nous le saisons prononcer à Villerouge ( Honneur aux " vieux ") qui nous a confié : " Je n’avais jamais vu une manifestation aussi sympathique en l'honneur d'une équipe de rugby comme celle qui s'est déroulée ce soir, aussi je voudrais à n'importe quel prix rejouer ce match et nous le gagnerions."Savoureux potins du rugby !
Je vous conseille vivement de lire ces échos autour de la 1/2 finale !⇓
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Je remercie particulièrement Monsieur Olivier PLANES et son père José PLANES et bien évidemment Gérard DURAND
RETROUVEZ
tous les photos, documents inédits
sur cette demi-finale ici
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Par FRANCOIS M le 2 Août 2016 à 10:38
André LATGER avait été désigné parmi les 100 jeunes Français pour représenter la jeunesse française aux Jeux Olympiques de TOKYO et par la même notre chère ville de Graulhet.Découvrez l'article paru dans le Graulhet Républicain et des photos de ce voyage issues des archives personnelles d'André LATGER.
ANDRÉ LATGER de retour de TOKYO
Maintenant, tout le monde sait que notre jeune compatriote, André LATGER avait été désigné parmi les 100 jeunes Français pour représenter la jeunesse française aux Jeux Olympiques de TOKYO et par la même notre chère ville de Graulhet.
André Latger est maintenant de retour. Bien sûr, avant son arrivée à Graulhet, il a été interrogé par nombre de journalistes, mais il a tenu à donner ses premières impressions de voyages à notre journal « Graulhet - Républicain ». Nous lui avons posé des questions. C’est donc avec grand plaisir que nous reproduisons ses réponses intégrales en le remerciant et en le félicitant encore.
La population Graulhétoise a eu le privilège d'avoir un représentant à Tokyo, c'est un honneur pour notre ville et pour notre compatriote « Dédé Latger ».
Question : Comment es-tu allé à Tokyo, tes impressions de voyage et de séjour, etc.
Réponse : Si mon voyage à Tokyo est passé du rêve à la réalité, je le dois à la Fédération des Foyers Léo Lagrange et en grande partie à mes amis Graulhétois qui on tout fait pour que ma candidature soit prise en considération.
Dès mon arrivée à Paris j'ai eu la chance d'être reçu par M. Mitrani de la Fédération Nationale, qui m’a présenté mes camarades de voyages : Mlle Fouquart Danielle (secrétaire) de Montfermeil (Seine-et-Oise) qui est une championne de tennis. Fourcade Philippe (étudiant) de Perpignan (Pyrénées Orientales), goal de l'équipe de foot au Foyer de Perpignan. Toppia Jean-Marie (adjoint enseignant) de Berre l'Etang (Bouches du Rhône), un grand sportif un peu touche-à-tout, comme moi d'ailleurs, qui a gagné son voyage grâce au journal « Jeunesse ».Tout trois de la Fédération Léo Lagrange.
Avec une blague du Marseillais Toppia, l'ambiance était déjà au départ et elle a été conservée tout au long du voyage. Arrivés à l'aéroport d'Orly et après avoir fait enregistrer nos bagages notre première idée a été d'aller voir l'avion avec lequel nous allions partir. C'est le commandant et l'équipage du « Chenonceaux », Boeing 707 International quadriréacteur géant de 140 tonnes qui peut emmener 180 passagers à une vitesse de 100 Kms.
Après avoir survolé Paris, l'Irlande, traversé l'Océan Atlantique, la mer de Norvège, passé le Cercle Polaire Arctique, le Détroit de Danemark puis le Danemark (Groenland), les Iles de la Reine Elisabeth, les Iles Melville puis l'Alaska, nous sommes arrivés à Anchorage où nous faisions escale après dix heures de vol. Après avoir respiré un peu d’air frais (-12°), échangé Francs contre Dollars et acheté quelques souvenirs, un nouvel équipage nous prenait en charge pour effectuer notre deuxième étape : Anchorage - Tokyo. Ces huit heures de vol ont été assez fatigantes ; je ne tenais plus en place, je me promenais dans l'avion et faisait connaissance avec l'un et l'autre. Soudain, l'hôtesse nous annonce notre arrivée prochaine ; à travers le hublot nous voyons le Japon, il est 10 heures 10 en France, au Japon il est 18 heures 10 soit huit heures de décalage horaire.
Après avoir vu le Mont Fudji, on nous avertissait d'attacher nos ceintures, nous allions atterrir à Tokyo.
Dès notre descente d'avion nous étions mitraillés par les flashs, les jeunes nous tendaient les mains en nous disant : « Comment ça va ? ». C’était tout ce qu’ils savaient, mais cela faisait tout de même plaisir. La télé aussi était là.
De l'aéroport, on nous dirigeait vers le Yout Camp qui est un lycée aménagé pour recevoir pendant 25 jours 1200 jeunes de tous pays : Américains, Allemands, Anglais, Belges, Brésiliens, Russes, Coréens, Chinois, qui formaient les plus importantes délégations. La France, avec 110 participants, se classait deuxième après l'Allemagne avec 150 participants.
Quelques journalistes Japonais nous ont demandé ce que nous pensions des installations olympiques et de l'organisation des jeux. Nous n'avons pas forcé pour répondre, tout étant magnifique et l'organisation parfaite.
Voici quel devait être notre emploi du temps.
Réveil : 6H30 / Douche ou Bain / 7H00 : conférence / 7H30 : Petit-déjeuner / Libre de 8H00 à 11H00 / 11H30 : Déjeuner / Libre de 12H00 à 18H00 / Dîner : 19H00 / Réunion : 21H00 / Extinction des feux. Mais en bon Français, cet emploi du temps n'a pas été très bien respecté.Pour nous, le réveil était à 8 heures, douche et petit-déjeuner. Bien sûr nous étions là à 11 heures 30 pour le déjeuner et à 18 heures 30 pour le dîner. L'extinction des feux se fait pour nous à minuit ou 1 heure du matin.
Après la cérémonie d'ouverture j'ai assisté aux éliminatoires et finales d'Aviron, en tout, trois journées et la première médaille d'argent avec les Frères Morel.
Deux soirées de natation où j'ai vu Kiki Caron gagner sa médaille d'argent
Une journée d'escrime où le Français Magnant gagnait la troisième médaille d'argent qui aurait dû être d'or sans la malchance qui continuait à planer sur le clan Français. Une soirée aussi d'escrime où la France gagnait la médaille de bronze au fleuret par équipe. J'ai fait la connaissance, ce soir-là de Magnant et aussi de Louison Bobet qui était venu encourager les Français.
Sept journées d'athlétisme avec les finales du 100 mètres plat, disque, poids, javelot, saut en hauteur et la perche qui dura de 14 heures à 21 heures.
Les éliminatoires du 5000 où Jazy gagnait très à son aise, du 1500 m. avec Michel Bernard, du 800 m. féminin avec Mme Depureur, le 3000 steeple avec Texereau, le 400 m. avec Boccardo, le saut en longueur avec Lefevre et Cochard, et la médaille d'or de Doriola.
Mais de toutes ces épreuves, celle que j'ai pu suivre le mieux est sans nul doute l'aviron.
Ayant sympathisé avec le Marseillais Masson Benoît, entraîneur, barreur du club d'aviron marseillais, j'ai pu grâce à lui, entrer dans le village olympique et passer trois journées avec les rameurs Français.
C'est au plan d'eau de Toda que j'ai pu lier conversation avec les Frères Morel et le sympathique barreur Darrouy. A la tribune de presse où j'étais confortablement assis, j'ai eu l'honneur de faire la connaissance de M. Herzog, Secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports qui s'est joint à nous pour encourager les équipages Français.
Au village olympique j'ai pu voir Jazy, Kiki Caron, Mme Depureur, Duhamel et Monereau. Après avoir assisté à la cérémonie de clôture qui était impressionnante, j'ai pu, au bar « l'Ambion » très connu dans Tokyo, faire la connaissance de Vaillant et Wadoux qui sont tous deux très sympathiques. Au même bar nous avons vu également les boxeurs Français et Gonzales du Foyer Léo Lagrange de Narbonne, médaille d'argent.
Après les jeux j'ai fait un petit voyage à travers le Japon. Kyoto - Narra - Kobe -Osaka. Ces villes sont très belles. C'est davantage le Japon que Tokyo qui vit à l'heure américaine. .
En conclusion je peux dire que le Japon est un très beau pays où les Français sont très bien accueillis et Tokyo une ville qui dans six mois a changé de peau pour recevoir les athlètes de monde entier. C'est donc pour moi un voyage inoubliable et une fois encore je remercie le Foyer Léo Lagrange.
Question : Combien y avait-il, d'après toi, de Français à Tokyo, y compris les athlètes ? Réponse : 1000 à peine au total. Question : Combien y avait-il de Tarnais ?
Réponse : Je n'ai rencontré aucun Tarnais, j'ai entendu dire qu’il y avait un Albigeois.
Question : Quels ont été les contacts avec les jeunes d'autres pays ?
Réponse ; Ces contacts ont été amicaux avec les Allemands, les Japonais qui nous témoignaient de la sympathie, plus froids avec les Américains. Les Japonais entre autres nous offraient des cadeaux.
Question : L'accueil de la population Japonaise.
Réponse : L'accueil fut touchant. Dans la rue lorsque nous étions reconnus par les Japonais, ceux-ci venaient vers nous pour nous offrir de petits cadeaux souvenirs et des tickets pour le métro ou le bus. Le jour de la cérémonie de l'ouverture du camp, le 9 octobre, à l’occasion du défilé des jeunes de tous les pays, les jeunes Français avec leur survêtement formant le drapeau bleu blanc rouge, furent les plus ovationnés. Ceci nous fit un immense plaisir.
Question : As-tu interrogé par des journalistes et as-tu donné des autographes ?
Réponse : oui, j'ai souvent été interrogé par des journalistes japonais et j'ai donné plus de
200 autographes. Chaque fois j'ai parlé de Graulhet et au bas de ma signature j'ai toujours précisé le nom de ma ville « Graulhet - Tarn - France ».
Cette dernière réponse nous comble de joie. Latger n'a pas oublié sa ville, notre ville. Bravo Latger.
© Photos extraites des Archives personnelles d'André LATGER
Merci à André et Rose-Marie LATGER
1 commentaire -
Par FRANCOIS M le 31 Mars 2016 à 16:57
Alain VERGNES, Graulhétois, aujourd'hui expatrié, m'a fait parvenir quelques documents et photos intéressants du Lac de Miquélou, où il pratiquait le nautisme ainsi que des photos de moules que l'on pouvait trouver dans le lac....époque révolue...
Les souvenirs d'Alain VERGNES....
Voici les photos du lac avec des régates ...
Les photos ont été prises par ma mère, prises de vues estimées entre 1968 et 1972 ...Les bateaux sont des "420" ... 4m20 de longueur tout simplement.On les retrouve (pour ceux du club de Graulhet) sur une carte postale moderne amarrées à la berge.Ce club a été animé, pour le coté éducation nationale, par un des professeurs de sport du Collège Pasteur à Graulhet
(Monsieur Marcaillou), le mercredi après-midi et les bateaux servaient aussi le samedi après-midi au club de voile affilié à la fédération nationale de voile (FFV) et animé entre autres par Monsieur FRESQUET .Il y avait aussi des bateaux type "optimist" pour apprendre ... sur lesquels j'ai débuté ... pour la petite histoire ces bateaux avaient été construit par le LEP de Graulhet.Extrait du journal TARN OUEST du 13 juillet 1979
A gauche sur la photo de groupe "nautisme" Alain VERGNES
Les moules du Lac de MIQUELOU
Étonnante photo !
Merci à Alain VERGNES
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Par FRANCOIS M le 18 Janvier 2016 à 15:02
C'est en 1973 qu'Anne-Marie FREZOULS a crée le groupe des majorettes de l'Avant Garde Graulhétoise. Il y a eu environ 80 majorettes - Des sorties tous les week-end dans le Tarn et ailleurs - Anne-Marie FREZOULS était également la créatrice des costumes. Une bien belle époque ! Retrouvez l'ambiance à travers une série de photos inédites ! Si vous avez des souvenirs n'hésitez pas à nous les raconter !
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Carte postale (collection François et Marcel Mazens)
LES PHOTOS INÉDITES
Défilé dans les rues de Graulhet
Place BOSQUET
Photo de groupe
Parade dans les rues de Graulhet
Place du Jourdain
Défilé à CADALEN
GRAND FESTIVAL DE
MAJORETTES en 1978 pendant les
FÊTES DU MUGUET
CHRISTOPHE le " majorette " homme acclamé par une nombreuse foule
le show des majorettes de l'Avant Garde Graulhétoise
Élisabeth FREZOULS
Merci à Madame Anne-Marie FREZOULS
© MEMOIRES DE GRAULHET - REPRODUCTION INTERDITE sous quelque forme et quelque support que ce soit.
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Par FRANCOIS M le 10 Septembre 2015 à 14:20
C'est le 23 octobre 1943 que nait à Graulhet le CLUB NAUTIQUE GRAULHETOIS avec pour Président : Irénée Cathalo. André Thuriés et Jean Tignol comme vices-présidents, Jacques Bonnet comme secrétaire et Georges Satgé pour trésorier . Les entrainements se font en rivière dans le Dadou à Ferran . Le Club comporte 36 licenciés.
En 1944 à Ferran
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Le plan initial du Stade de Crins prévoyait d'inclure le complexe nautique dans l'enceinte du Stade à gauche de l'entrée principale comme le prouve ce plan officiel
( cliquez sur l'image)Après quelques décennies de sommeil le Club revit à partir de 1968 avec l'inauguration de la piscine municipale avec ses deux bassins d'été
de 50 et 25 mètresL'inauguration par Jacques LIMOUZY , devant le maire Monsieur DUMONTIER
Quelques événements :
De 1968 à 1972 la piscine est un club d'été ouvert de mai à septembre. Le 8 janvier 1973 grâce à une structure gonflable le club devient également club d'hiver. Ses couleurs sont le parme et le jaune pour se différencier et éviter toute confusion avec d'autres clubs. Les premiers années Monsieur Georges Vergnes est président. Monsieur Claude Jean, Messieurs Raymond et Georges Vergnes deviennent les premiers graulhétois officiels de la fédération Française de Natation. Philippe Jean est le 1er champion des Pyrénées du club grâce à ses performances sur 100 mètres papillon à 13 ans !
Philippe Jean recevant un trophée des mains de Jean-Henri ARGELES,
au deuxième plan André PONTIER.-----------------------------------
Le 9 mai 1981 la structure gonflable s'envole, après quelques mois de travaux une nouvelle piscine en dur est inaugurée le 14 juillet 1982 en présence du Directeur Départemental de la Jeunesse et des Sports. Pendant la saison 1984/1985 les couleurs du Club redeviennent le rouge et le noir ! Les récompenses se sont succédées jusqu'à nos jours et font la fierté des graulhétois .
Parmi les Présidents nous pouvons citer : Georges Vergnes, Roger Méric, Guy Gayraud, Jean Nespoulous ainsi que Claude Jean qui a reçu il y a quelques années la médaille de la Ville de Graulhet.
Contacté par MÉMOIRES DE GRAULHET, Monsieur Claude JEAN ne souhaite pas être mis en vedette dans ces pages, sa modestie l'honore. Des souvenirs nous unissent depuis bien longtemps et malgré tout je ne pouvais faire l'impasse. Voici l'extrait de la Dépêche du 12 janvier 2011 qui revient sur sa remise de médaille et un petit texte sur le bénévolat qui le caractérise bien.
Claude «papi» Jean médaillé au cœur d'orIls n'auront été que cinq dans toute la France à être décorés de la médaille d'or de la Fédération française de natation en 2010. Claude Jean en fait partie. Officiellement décoré en octobre dernier, il a été, en fin de semaine dernière, fêté comme il se doit par son club de Graulhet et par la municipalité, qui lui a remis, des mains de Claude Fita, la médaille de la ville. Un maire interpellé par le nombre de nageurs qui ont profité des compétences de l'actuel président d'honneur du club. «Vous avez donné du temps, du savoir, sans compter et du fond du cœur». C'est Jean Nespoulous, le président actuel de la section natation du Sporting qui a relaté la carrière de l'ancien fonctionnaire de la DDE qui a toujours, en parallèle, suivi un chemin de bénévole. Claude Jean est entré au club d'été en 1968, date de la construction de la piscine, puis au club annuel , en 1973, dès que le bassin d'hiver a été couvert d'une structure gonflable. Président de 1979 à 1995, il a été tour à tour trésorier, entraîneur, secrétaire du Comité du Tarn, chronométreur fédéral, puis formateur des officiels départementaux.../...On lui doit aussi l'essor de la section, ouverte à toutes les sollicitations et organisatrice de multiples manifestations de masse. Il est aussi un acteur principal du jumelage avec les clubs de Prien et Bernau. « Il faut que tout le monde soit convaincu que la natation en général et la natation graulhétoise en particulier, doivent beaucoup à ce grand petit homme », a conclu Jean Nespoulous....La Dépêche du Midi du 12/01/2011
Le bénévolat
Le bénévolat est une maladie virale que l'on attrape lorsqu’on est en contact
avec d'autres personnes atteintes du même mal.En général cela commence le jour où votre enfant vous demande
de s'inscrire dans un club (sportif de préférence)Les premiers symptômes sont sournois, car ils procurent une certaine exaltation
qui incite à faire toujours mieux, donc à s'investir davantage.La durée de cette maladie est très variable selon les individus.
Certains réagissent anormalement victimes de leur inconstance changent très vite d’horizon.La plupart, au contraire, se complaisent dans leur béatitude.
Quelquefois tout de même entachée de réactions de refoulement vite réprimées.La guérison de cette maladie intervient souvent très tard lorsque
la fatigue accumulée devient très dure à supporter.Le malade est contraint alors, à son cœur défendant, à arrêter toute action
et se tourner vers d’autres occupations qui peuvent être aussi prenantes
et toujours pas rémunérées.---------------------------------
Le pin's du Club de natation
On ne doit pas oublier la piscine de l’École des Tambours inaugurée en juin 1933 où de nombreux graulhétois ont appris à nager ....
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LES CARTES POSTALES
Vue d'ensemble
Carte amusante
Cartes multi-vues
Avant la construction de la piscine
Merci à Claude JEAN
Merci à Jean NESPOULOUSInformations tirées de la brochure
S C Graulhet Natation 1943-2003
2 commentaires -
Par FRANCOIS M le 26 Juillet 2015 à 16:21
ALBUM PHOTOS
photos vidéo
Photos Eugène BERBOLINGOT
Vidéo amateur ( Merci Laura Blanc)
Captures d'écran
2 commentaires -
Par FRANCOIS M le 9 Juin 2015 à 12:54
LES PASSAGES DU TOUR DE FRANCE à GRAULHET
Enquête inédite
On sait tous que le Tour de France est passé à Graulhet mais quand...MÉMOIRES DE GRAULHET vous donne les réponses...
Le Tour de France est passé 5 fois à Graulhet* :
- le mercredi 15 juillet 1953
- le mardi 7 juillet 1959
- le dimanche 14 juillet 1968
- le mercredi 13 juillet 2011
- le vendredi 17 juillet 2015Avec l'aide précieuse des sites Le Dico du Tour et La Grande Boucle, je vous propose de découvrir les différents passages dans notre ville, à travers quelques vidéos étonnantes, résumés et cartes. Si vous avez des photos ou des coupures de presse relatant le passage dans Graulhet , je suis preneur....
* de 1947 à 2015
LE TOUR DE FRANCE 1953
40 ième Tour de France
3 au 26 juillet 1953Passage à Graulhet le mercredi 15 juillet 1953 lors de la 12ème étape : Luchon - Albi - 228 kilomètres - Albi ville étape pour la première fois.
Résumé de l'étape (site La Grande boucle)
Robic ne défend pas son maillot
Lorsque 25 coureurs (Mallejac, Van Est, Ernzer, Anzile, Diot, Renaud, Dupont...) s’extraient du peloton à partir de Martres-Tolosane (km 71), le maillot jaune Jean Robic n’intervient pas. Son équipier de l’équipe de l’Ouest François Mahé fait partie de la belle aventure et il est le mieux placé au général (7ème).
A l’arrivée, ces hommes ont 20’44’’ d’avance sur le peloton.
Le classement général s’en trouve bouleversé : Mahé s’empare du maillot jaune, Robic conserve une belle position d’attente (4ème) et revêt le maillot vert. Tout va bien pour les bretons !1ère victoire de Darrigade
Le sprint a été facilement remporté par un jeune coureur de 24 ans appartenant à l’équipe du Sud-Ouest : André Darrigade.
Personne ne sait encore que le dacquois inscrira son nom au palmarès des vainqueurs d’étape jusqu’en 1964, et ce, à 22 reprises, excusez du peu !LE TOUR DE FRANCE 1959
46 ième Tour de France
25 juin au 18 juillet 1959Passage à Graulhet le mardi 7 juillet 1959 lors de la 12ème étape Saint-Gaudens - Albi - 184 kilomètres.
Images Archives INA
Résumé - 07/07/1959 - 05'08"
Production, Producteur ou co-producteur : Radiodiffusion Télévision Française
Résumé de l'étape (site La Grande boucle)Vermeulin augmente son avance
Emmanuel Busto (Centre-Midi) et Félix Le Buhotel (Ouest-Sud-Ouest) s’échappent au 65ème km. Pendant une centaine de bornes, ils roulent ensemble sans pour autant s’entendre parfaitement, l’un accusant l’autre d’en garder sous la pédale, l’autre affirmant qu’il est fatigué.
Finalement, tous les 2 sont repris à 15 km d’Albi. C’est alors que Rolf Graf surgit. Le maillot jaune Vermeulin est attentif. Il fonce dans son sillage et se laisse aspirer par cette véritable locomotive. Puis, sur les conseils de son directeur technique Jean Mazier, le parisien relaie efficacement le suisse.
Derrière, on ne parvient pas à organiser la poursuite et le tour est joué : Graf l’emporte, Vermeulin récupère 56’’ sur ses adversaires + 30’’ de bonifications. Bravo !Graf et Vermeulin foncent vers Albi
LE TOUR DE FRANCE 1968
55 ième Tour de France
27 juin au 21 juillet 1968Passage à Graulhet le dimanche 14 juillet 1968 lors de la 15ème étape Font-Romeu - Albi - 250.5 kilomètres. Font-Romeu ville étape pour la première fois.
Résumé de la 15 ème étape du tour de France 1968
Une étape de 250 km entre Font-Romeu et Albi, remportée par Roger PINGEON au terme d'un long raid solitaire et marquée par la lourde chute de Raymond POULIDOR, qui termine l'étape le visage ensanglanté (il abandonnera le surlendemain).
Images Archives INA
Résumé - 14/07/1968 - 05'47"
Production, producteur ou co-producteur : Office national de radiodiffusion télévision française
Générique : journaliste : Pierre LoctinRésumé de l'étape (site La Grande boucle)Pingeon : 190 km en solitaire
Roger Pingeon n’a pas abordé le Tour de France dans les meilleures conditions possibles mais, depuis quelques jours, la forme est là. Alors, pourquoi ne pas rééditer l’exploit du long raid solitaire de Jambes ?
Le vainqueur sortant démarre donc dans la côte de la Chapelle (km 59 ; 4ème cat.). 10 km plus loin, dans la côte d’Espezel, il possède déjà 1’55’’ d’avance. Devant l’apathie du peloton, les contre-attaques italiennes étant systématiquement neutralisées par les tricolores, l’écart prend une ampleur considérable (12’50’’ au 175ème km). Pingeon est en passe de gagner le Tour !Poulidor est maudit
Mais, à l’arrière, les événements se précipitent.
Vers le 200ème km, une moto de presse fait un écart pour éviter des spectateurs, touche Gonzalez puis heurte la roue arrière du vélo de Poulidor qui s’effondre. Raymond se relève le visage en sang (touché à la bouche, au nez et aux arcades sourcilières), les coudes et les genoux couverts de plaies et souffrant de la jambe droite. A peine ses adversaires (Janssen et l’équipe de France B en particulier) ont-ils connaissance de l’incident qu’ils accélèrent considérablement l’allure. Poulidor, bien aidé par Guyot, se lance dans une course-poursuite effrénée. A l’arrivée, il ne concède qu’1’5’’ mais il est meurtri tant psychologiquement (« Je ne comprendrai jamais que l’on attaque un homme blessé ») que physiquement. On ne sait pas s’il pourra prendre le départ demain.Pingeon en fait les frais
Jusque là, Pingeon avait roulé très régulièrement, 5 heures durant à une vitesse avoisinant les 38 km/h de moyenne, malgré un vent souvent défavorable.
L’accélération subite du peloton lui a fait très mal et le champion de la firme Peugeot, certes victorieux, n’a pu empocher que 3’18’’, bonifications comprises. 4ème du général, il s’est superbement replacé. N’empêche, si Poulidor n’était pas tombé. Ne vous y trompez pas ! Pingeon n’a pas attendu Poulidor. Il s’agit simplement du fait que Pingeon possède un tour d’avance sur le circuit d’Albi, c’est à dire à peu près 4 km.Stablinski méritait mieux
Après Samyn, c’est Jean Stablinski qui fait les frais des nouveaux contrôles anti-dopage. Pour son dernier Tour, à 36 ans, le champion du monde 1962 a été reconnu positif aux amphétamines et exclu de l’épreuve.LE TOUR DE FRANCE 2011
98 ième Tour de France
2 juillet au 24 juillet 2011Passage à Graulhet le mercredi 13 juillet 2011 lors de la 11ème étape Blaye-les-Mines - Lavaur - 167.5 kilomètres. Blaye-les-Mines ville étape pour la première fois (ainsi que Carmaux la veille)
La carte de l'étape (site La Grande boucle)
LE TOUR DE FRANCE 2015
102 ième Tour de France
4 juillet au 26 juillet 2015Passage à Graulhet le vendredi 17 juillet 2015 lors de la 13ème étape Muret - Rodez - 198.5 kilomètres.
Merci aux sites suivants
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